|
|
vb
23/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
Très bien écrit. Quelques uns crieront au surplus d'adjectifs mais j'aime bien les adjectifs - et les adverbes aussi, d'ailleurs. La fin m'a surpris et m'a fait sourire. Je l'ai trouvée un peu trop bon enfant et j'aurais aimé une touche un peu acide à cette parabole politiquement correcte. Merci pour ce beau récit. VB |
Anonyme
28/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
J'ai trouvé cette intrigue bien menée et, tout comme ce journaliste, cherchant un bon sujet de reportage, je me suis trouvé dépaysé à la lecture de ce texte. Comme lui y a regardé à deux fois pour distinguer les subtilités derrière l'évidence, je me suis interrogé sur les qualités de ce texte, et je suis heureux d'avoir su les trouver : ma quête ressemble à la sienne, lui a trouvé son sujet, moi, une bonne nouvelle. Merci, et bravo ! |
maria
14/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour hersen,
Je ne voyais pas du tout 'où cette description de la misère matérielle, ces détails sordides allaient m'amener. Et cet "incessant martèlement joyeux" en plein soleil fut une savoureuse surprise. Une belle histoire, très bien racontée, sur la résilience des plus pauvres. Merci du reportage, hersen. |
cherbiacuespe
14/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Une enquête digne d'Hercule Poirot en somme, sans la réunion finale ni les déductions/révélations lumineuses. Juste un journaliste débutant qui découvre un monde qu'il supputait mais qu'il n'avait jamais côtoyé. Excellent ! Avec un final qui m'a bien amusé.
Enfin, la misère dans tout son désespoir et toute sa malice pour survivre. Et, si on ne tient pas compte de cette détresse sordide, je ne sais pas comment nous pourrons nous tirer des problèmes qui arriveront inéluctablement. Voilà un texte qui ajoute un ingrédient à un menu déjà long comme le fleuve Amazone. |
jfmoods
15/8/2021
|
I) Une scène de comédie
1) Une hôtesse peu amène et très occupée 2) Un journaliste trop curieux et passablement encombrant II) Chronique de la misère ordinaire 1) Un étranger instrumentalisé 2) L'indéfectible solidarité des démunis Merci pour ce partage ! |
Corto
15/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Nous voici plongés dans un reportage sur un reportage.
Dans la première partie, sordide et crasseuse à souhait, j'ai admiré la constance du journaliste qui, après l'expérience du café infâme, commande à déjeuner. Facilité ou inconscience ? Cela caractérise en tout cas les velléités de s'immerger dans l'inconnu... La seconde partie nous confirme la plongée dans la misère extrême, agrémentée par une volonté collective de construire tout de même ! Et les enfants sont les héros du projet. J'apprécie la construction du récit, la caractérisation des personnages, et bien sûr ce semblant d'espoir dans l'avenir marqué par la construction de l'école à partir de presque rien. Bravo. |
Robot
16/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Une nouvelle en forme de conte tragique dont la rédaction en forme de suspense est efficace. Ce n'est qu'à la toute fin que j'ai découvert ou la lecture me conduisait.
Tout est réglé pour retenir l'attention jusqu'au final. Comment de l'apparence étrange on passe à la triste réalité mais avec une note d'espoir que la construction de l'école semble promettre. |
Myo
19/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Une nouvelle très bien écrite, un dépaysement garanti et une intrigue originale.
Il y a juste quelques formulations qui m'ont semblé un peu poussives " ...satisfait de lui-même d'avoir cette compréhension." "C'est le métier qui rentre, se dit-il. Il est vrai qu’il n’avait pas choisi le plus facile, se dit-il avec une petite pointe d’autosatisfaction." Je pense que le 2e se dit-il et ce qui suit n'est pas nécessaire et alourdit l'ensemble. Mais, un vrai plaisir de vous lire. Merci du partage |
hersen
20/8/2021
|
|
Pepito
14/9/2021
|
Salut Hersen,
Un texte bien mignon, mais assez peu réaliste. Pour en faire des tuiles, j'ai un gros doute. De toute façon, pas écrasées au marteau, mais dépliées. Comment, dans un pays pôvre, ne pas croiser un ou une ramasseuse de canettes dès la sortie (voir à l’intérieur) de l'aéroport ? Il est vrai que mon premier « ramasseur » date de tellement longtemps que j’ai oublié ma réaction de l’époque. ^^ Un adage raconte que, pour voyager, il ne faut pas seulement ouvrir ses valises mais aussi son esprit. Dis-moi, tu es tombé sur le reporter le plus niais à l'ouest du Pecos ? ;-) Coté kriture, sur un ensemble très bien écrit, celle-là m’a paru drôlement hachée : « Le dépouillement habitait le paysage et ne se détachait plus de vous. » C’est pour faire couleur locale ? ^^ « Puis il lui demanda s'il voulait toujours faire son reportage sur la misère. » là aussi j’ai un doute, admettre son dénuement devant un inconnu ne me semble pas si facile que cela. Quand on fait partie de la famille, il n’est pas rare d’entendre parler d’Amérique Latrine… mais cela vient bien plus tard. ^^ Voilou, voilou… |
plumette
24/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Cet apprenti "reporter" livre son regard avec un prisme de bonne conscience et une certaine autosatisfaction qui se révèlent clairement au lecteur avec la chute.
Avant cette chute, on peut être plutôt de son côté, un peu dégoûté mais essayant de n'en rien montrer, empathique mais finalement vite lassé de cette immersion dans la misère, et presque donneur de leçon! Cette posture du "documentariste" n'est sûrement pas simple! mais tu en montre finement le côté ambigu. où es-t-on exactement? ( a part sous le soleil!) tu as fait le choix de ne pas désigner ce pays, ce n'est pas le plus important en effet! libre au lecteur, s'il en a besoin, d' imaginer un espace à partir de toutes tes descriptions. il y a un "holà " au début, et non pas un hello! Un texte qui sous couvert d'avoir une fin positive, dénonce une certaine indécence du regard de ceux qui viennent voir la misère! A te lire encore |