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Anonyme
19/8/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Ah, quel début merveilleux ! J'ai adoré le premier paragraphe, la description de la vie du chômeur en plein marasme.
Le chat qui parle, pourquoi pas, on va voir ce que ça donne... (que je me suis dit). Ensuite, déception, déception. Les conseils du chat, certes excellents, amènent le narrateur à replonger dans une vie d'une banalité telle que je ne peux pas m'empêcher de me demander si ce n'est pas ça au départ (sa vie sans intérêt) qui l'a rendu dépressif. Et la chute est vraiment pour moi en queue de poisson : bonheur parfait STOP plus besoin du chat STOP il crève STOP. Cette histoire m'a fait penser à certains films d'action où le héros accomplit des exploits incroyables tout en conquérant ou reconquérant la fille de ses rêves qui soit l'ignorait superbement soit le détestait (par exemple c'est son ex). À chaque fois j'ai l'impression que la catastrophe/fin du monde annoncée n'est là que pour permettre au gars de rouler les mécaniques et se faire la fille qui l'intéresse. J'appelle ces films "Qu'est-ce qu'il faut pas faire pour trouver une copine". Quel rapport ? Eh bien, là, l'auteur fait intervenir un miracle extraordinaire rien que pour permettre au narrateur de s'installer dans un confort pépère. Je trouverais ça marrant, ce décalage entre les moyens et le résultat, s'il y avait un second degré marquant l'ironie de la chose, mais je ne l'ai pas du tout ressenti. |
monlokiana
21/9/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Oh la belle histoire. J’ai adoré. Je dirai plutôt que ce texte touche plus de l’humour/détente que du fantastique/merveilleux. Mais c’est le choix de l’auteur et je le respecte. J’ai ri tout le long du texte. Disons que c’est le chat qui parle qui rend drôle ce texte.
Adoré la maladresse de cet homme devant la voisine. C’est vrai, on peut y croire. J’ai aimé le premier paragraphe, décrivant la paresse du maitre et du chat. Les choses ont vite évolués après les premières paroles du chat : boulots, réussites, femme de rêve. Les chats seraient-ils devenus de plus bon conseillers que les hommes ? La fin ? Déchirante. Balthazar est mort, je n’y crois pas. Une fin qui pourrait bien faire pleurer. Merci pour ce petit moment de délire |
Mistinguette
13/9/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oh non ! Pas cette fin !
Une nouvelle qui démarre sur les chapeaux de roue et qui maintient La cadence. J’ai vraiment adoré cette plume entrainante qui ne s’encombre pas de fioritures. L’auteur n’a pas besoin de conseil d’écriture, en ce qui me concerne, son style frise la perfection. Par contre, au niveau du fond : pourquoi avoir terminée l’histoire de cette façon ? Jusqu’à la dernière partie je me suis énormément amusée. Un chat parleur, conseilleur et buveur, c’est vraiment original. Mais pour moi la chute gâche tout. Elle arrive comme un poil de chat sur les sushis (si je puis dire). Bon ! Pour que mon bonheur soit parfait, ne me reste plus qu’à m’imaginer un dénouement plus en adéquation avec le reste du récit. Sinon, mis à part la fin, le seul minuscule bémol serait pour cette phrase : « … et croisa ses deux colonnes de nylon » Le mot « colonne » se subtilise immédiatement dans mon esprit au mot « poteau », ce qui fait que je ne visualise pas une jolie paire de jambes gainées de nylon mais plutôt deux gros poteaux informes… Ce qui, j’en conviens, est très subjectif. Entre autre, beaucoup aimé ce passage : « Le lendemain, pour ma première journée de travail, je vendais deux voitures. La première à un riche à qui j’ai fait un geste commercial, et l’autre à un pauvre qui avait économisé toute sa vie pour se payer une Mercedes et, à qui j’ai fait payer plein pot pensant qu’une ristourne dévaluerait l’objet de ses rêves. » J’ai également trouvé les dialogues très réalistes et le nom du chat sympa. Malgré la chute, un grand MERCI à l’auteur pour cette lecture (et relecture) et au plaisir de le lire à nouveau. |
macaron
21/9/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bien aimé cette histoire tendre et drôle. Le language populaire correspond bien aux personnages. Un régal pour les amoureux des chats. Tout en lisant votre nouvelle, j'imaginais Titus mon chat dans ce rôle et je me suis bien amusé. Bon, la fin est triste et l'on sent chez l'auteur une petite panne d'imagination. Il aurait fallu demandé son avis à Balthazar, il en était tout à fait capable.
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brabant
21/9/2011
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Hugal,
J'ai tout bonnement "adoré" ce texte. L'humour en est léger, le ton toujours juste. Pile poil, jamais trop, jamais trop peu. Aucune vulgarité, y compris dans les 'laisser-aller' des personnages, aucun mauvais goût, y compris dans les scènes de séduction humaine et animale. A un moment je me suis dit (aux sushis) : elle n'aimera pas les chats, ou il s'empoisonnera... Mais non, elle a toutes les qualités cette Sandra. Lecture facile et très agréable, jamais pesante. Cela faisait un moment que je n'avais pas vu cela. Du petit lait ! ps: Pourquoi Balthazar ? Because Jéroboam ? Ben oui, maintenant "... Must go on..." |
alvinabec
21/9/2011
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Très jouissif, drôle, frais, ça glisse comme un bock de bière.
L' expression "madeleine de proust" ne me semble pas à sa place et "nager dans le bonheur" un peu éculée, ne trouvez-vous pas? Bcp mieux "deux colonnes de nylon" pour la Sandra aux yeux VERTS... Moins apprécié la chute qui change le ton du récit vers un compassionnel incongru dans ce texte. A vous lire... |
Palimpseste
21/9/2011
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J'aurais bien volontiers pris une fin plus longue. Elle est un peu abrupte et c'est dommage.
séquence "petits chipotages pas méchants" : '(...) une commission à chaque voiture vendue": retirer le "de" 'si tu t'en remets à Dieu (...), quand Il a vu (...)": maj seule, pas "IL" 'il s'appelle Balthazar, mais tu peux l'appeler Ducon (...)": la première qui renomme mon chat-chéri, je lui enfonce ses sushis dans la gorge sans qu'elle puisse les mâcher! pas vous ? :-) |
toc-art
23/9/2011
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Bonjour,
j'ai bien aimé l'accroche, le premier paragraphe qui met en scène le narrateur et son chat, mais ensuite, pour moi ça se gâte franchement. Le coup du chat déjanté qui parle, ben, c'est quand même pas tout jeune et en plus, franchement, je me suis ennuyé à lire le déroulé de différentes petites saynètes dont l'humour m'apparaît à la fois très laborieux et sans grand intérêt. mais c'est une appréciation toute personnelle. Et non, je ne vais pas m'émerveiller parce qu'un texte fait d'un chat son héros, même si le pauvre chéri meurt à la fin (mon dieu que c'est triste, oh la la !) ah oui, une autre chose, je comprends tout à fait qu'on puisse vouloir jouer de la virgule, mais là je crois que les virgules se jouent de vous, si, si, je vous assure, vraiment... bonne continuation. |
Anonyme
24/9/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un chat qui parle, pourquoi pas ! Il y a bien le "Chat du rabbin", une BD de Joann Sfar. Et puis, je dois bien avouer que lors de mes délires éthyliques il m'arrive d'entendre parler les chats... Sauf que je n'ai pas de chat. À moins que ce soit le chien. Je ne sais plus. Enfin, peu importe parce que ça n'amène rien à l'auteur (encore que, si le texte est le fruit d'une expérience vécue, on pourra échanger sur ce thème).
Un bon texte, ton léger, pil poil comme dirait mon chat (que je n'ai pas) et un précédent commentateur (que je n'ai pas non plus). J'ai remarqué que Sandra savait faire les sushats pas bons (ceci étant j'aime pas, alors bons ou pas bons). J'ai remarqué également que le chat n'en a pas voulu (l'a bien raison, beurk) et puis, ils sont irradiés. Vous remarquerez que j'ai essayé d'introduire autant de légèreté dans mon commentaire que vous dans votre nouvelle et je peux vous dire qu'affalé dans mon divan et imbibé de bière ce n'est pas un exercice facile. Bravo à nous donc. |