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hersen
20/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime le dépaysement apporté par l'air et le vocabulaire marin.
C'est bien agréable à lire mais il nous faudra attendre la quasi-fin pour comprendre à quoi rime cette bouteille. On nage un peu (pour rester dans l'ambiance) dans le beau bon sentiment, et je m'interroge : cette nouvelle est-elle le prétexte à parler de la marine ou d'interpeler sur les enfants battus ? ça fait un peu histoire à l'américaine, mais l'auteur nous prévient que c'est une histoire à la c...lue dans un journal. Donc, un incipit en porte-à-faux par rapport à l'histoire ? Je ne sais pas tout à fait quoi en penser. Ni surtout ce qu'en pense l'auteur. Et John Doe est dans les parages... Mais j'aime le dépaysement apporté par l'air et le vocabulaire marin... Il me faut maintenant battre pavillon de non-complaisance. Pas simple. |
vendularge
21/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
D'abord, merci pour le contexte qui m'a appris les vraquiers et nous emmène agréablement dans ses périples méconnus. Cela donne un côté complètement exotique et bien venu. L'écriture ensuite, aérienne et précise qui sous entend plus qu'elle ne dit, ce qui dans l'histoire racontée est très important.. Et enfin, cette superbe histoire, de celles qu'on aimerait lire tant de fois pour tant d'autres détresses. Ca fait chaud dans le cœur et on a envie de serrer le coq dans nos bras, histoire de prendre un peu de ce regard affuté et tendre qui nous grandit de ce que nous serions capables de faire si seulement nos yeux aveugles se mettaient à connaître. Un grand merci et encore bravo Vendularge |
fried
8/3/2016
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J'ai pris en stop il y a peu un gars qui avait travaillé dans la marine marchande, comme mécano dans la salle des machines. Il m'a raconte quelques uns de ces voyages dans notre vaste monde qu'il découvrait le temps d'une escale. Cette histoire est bien raconté, se lit bien et m'a passionné. Elle m'a aussi bien fait rire, un joli tour joué a la presse. Je me replonge dans la belle aventure de Jules verne, "les enfants du capitaine Grant" qui commence elle aussi par une bouteille a la mer.
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Bidis
8/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est une adorable histoire, très bien racontée, mais... ce doit être dû à mon cerveau ramolli : je n'ai pas compris. Pourquoi Clare dit-elle : "La pauvre !" ? La petite fille, elle, n'est pas à plaindre.
Cela ne m'empêche pas d'avoir apprécié ce moment de lecture. |
David
8/3/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Salut i-zimbra,
Elle est un peu en retard comme histoire de Noël, au final, c'est l'impression qu'elle me laisse, elle est jolie avec une espèce de "magie" dont on se retrouve complice en tant que lecteur, un mensonge sur la façon dont cette bouteille a traversé l'océan. Juste ça, ça faisait une "histoire", le titre aussi et l'étrange chemin sur les usages et les sens de "complaisance" participait à ne pas laisser voir le véritable récit quasiment avant la toute fin, où c'est Julien, à mon avis, qui mange dans le resto de Long John. Ça faisait une seconde "magie" le "sauvetage de Julien, pas vraiment une histoire dans l'histoire, mais une sacré façon d'amener les choses, "formidable" plutôt que "incroyable" comme le rappelle le texte ! |
Anonyme
8/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut i-zimbra ! Le Passionnément de David, que je remercie au passage, m'a fait embarquer sur ton vraquier et je n'ai pas été déçu du voyage... Super histoire comme je les aime, un peu conte de Noël avec ses bons sentiments et une chute vraiment bien trouvée... le tout servi par une plume qui n'a plus rien à prouver sur Oniris !
Par les temps qui courent c'est comme une bouffée d'air pur ! Bravo et merci pour ce tour du monde... ou presque |
fried
9/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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j'avais juste oublié l'appréciation.
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Alcirion
9/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une histoire au scénario précis, très bien construite, qui réussit son coup : tenir le lecteur jusqu'à la dernière ligne.
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Coline-Dé
11/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une histoire très cinématographique, je trouve ( même si je ne connais pas grand chose à la fabrication de films...) il y a tous les ingédients qui en feraient un chouette film d'aventure : du voyage, une histoire d'amour, une histoire d'amitié entre un adulte et un enfant , un peu de magie, de jolis sentiments et une fin en clin d'oeil, le tout admirablement découpé, j'ai beaucoup aimé !
La "pincée" d'humour dès le début m'a immédiatement accrochée Le vocabulaire maritime est irrésistiblement séduisant, les noms d'escale font rêver, l'écriture va vite sans être avare de détails intéressants, bref : une réussite qui m'a presque fait de vacances ! |
carbona
20/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Une histoire à laquelle j'ai eu du mal à accrocher non en raison du fond mais en raison de l'écriture, qui je trouve, manque de fluidité. Je bute sur le vocabulaire, sur la construction de phrases. L'idée est originale mais le traitement ne me séduit pas vraiment. Le fait que l'enfant soit placé en famille d'accueil à la fin me paraît être une happy-end précipitée et trop inattendue par rapport à ce qu'on connaît du personnage. Merci. |
Anonyme
25/3/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Votre écriture aux petits oignons m’a fait tanguer dans son sillage.
Nul besoin de complaisance, je vous ai suivi autour de votre globe avec beaucoup de plaisir. De Mobile au Havre, en passant par Palos Verde, Bâton Rouge et bouteille à la mer, j’ai adoré bourlinguer sur votre Madeleine de Proust. Vous racontez vivant, c’est du pur délice ! Je reste persuadée que d’aussi belles histoires existent pour de vrai. Au diable les journaux et leurs sempiternelles mauvaises nouvelles ! Le quotidien est pétri de bons sentiments, qu’on se le dise. Il suffit de se pencher à peine pour les voir courir sous sa fenêtre et en apprécier tout le merveilleux. Croire aux contes de fées, c’est savoir effleurer la vie avec le bonheur simple qui lui sied à merveille. Surtout que l’exotisme n’est jamais aussi loin qu’on le croit, il se tient timide à portée d’un sourire ou d’un mot chaleureux. J’adore les héros qui cachent sous des airs de faux dur un cœur gros comac. Merci pour le voyage, i-zimbra. C’est promis, ce soir, c’est frites à gogo pour tous, blondes et croustillantes à souhait. Dites-le à Long John, je vous prie, je suis certaine qu’il sera content d’avoir donné l’exemple. |
jaimme
4/4/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour I-Zimbra,
J'ai lu avec plaisir ta nouvelle, elle est riche. Riche de contextes, de lieux, de gens, d'histoires et de sentiments. Et pourtant elle est courte. La documentation est riche aussi, et ça j'aime. Un truc me chiffonne: le gamin (en CM2 si j'ai bien compris et en plus qui va redoubler) est capable de sortir le terme: "arborer". J'ai du mal à y croire. Quant au chef il a dû faire des études supérieures, ou alors c'est un excellent autodidacte. Pourquoi pas d'ailleurs, mais alors (sauf si j'ai loupé quelque chose) il aurait fallu une allusion qui explique son niveau culturel. Bref, une belle histoire. Merci! Jaimme |