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Bidis
16/9/2007
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Pour le fond :
Un conflit éclate à cause d’une pomme. Qu'il s’agisse d’une fable, d’une parabole, ou d'un fait divers, le texte devrait continuer sur cette lancée. Un enfant vole une pomme. Le vieillard intervient auprès de la maman, laquelle habite le village voisin. L’enfant récidive. Nouveau conflit entre adultes. Et puis montrer comment par exemple, cela fait l’affaire des maires des deux villages, ou de riches notables, lesquels enveniment la situation et étendent le conflit aux deux villages. Mettre en parallèle les blessures (voire la mort) des uns et la richesse, le confort des autres. Et puis faire une réflexion sur des conflits internationaux provoqués par l’appât du gain. Mais passer d’un vol de pomme à une guerre internationale, non. Pour la forme : -Bla bla bla : ce n’est pas très heureux, je trouve que des points de suspensions suffisent -« les arbres étaient occupés à profiter » : lourd et peu heureux : les arbres profitent, tout simplement -« que la Vie suive son cours impétueux » : les adjectifs alourdissent souvent et affaiblissent presque toujours – « que la Vie suive son cours ». -« qu’un arbre enraciné dans un jardin de l’autre côté de la frontière avait le malheur de déployer ses branches » : même remarque que plus haut, « l’arbre n’a pas le malheur de », non « malheureusement l’arbre déployait ses branches » -« la mère du village d’en face » : j’ai un moment cru qu’il s’agissait du maire ; cette personne n’est pas la mère de tous les habitants du village, donc la mère qui habitait le village d’en face -« Il n’a peur que d’une chose : revenir en vie… » : je suppose qu’il a peur de mourir, non de revenir vivant -« Il s’en fout… il s’en foutrait toujours autant » : termes argotiques dans un texte qui n’en contient pas par ailleurs, donc cela choque. |
macalys
16/9/2007
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je n'aurais pas la patience comme Bidis de relever les tournures de phrases maladroites, mais beaucoup m'ont gênées dans le texte. Une parmi d'autres, qui m'a vraiment choquée :
"Ils s’amusaient à des jeux qu’eux seuls pouvaient comprendre, trop simples et infantiles pour l’univers si compliqué des adultes, qui les considéraient comme un peu attardés." --> j'ai du mal à imaginer que des adultes qui ont eux-mêmes été des enfants puissent les considérer comme "attardés". Surtout que plus tard, prise à partie, la mère rit de leurs jeux. Je crois que le terme n'est pas du tout approprié. En ce qui concerne la construction du texte, je trouve aussi que la guerre est mal amenée. L'explication de l'escalade n'est pas assez détaillée et donc pas très crédible. Et puisqu'on est pas convaincu par ce conflit provoqué par le vol d'une pomme, la deuxième partie qui insiste tant sur la guerre, son inutilité, et ses sacrifices ( et qui au passage est bien meilleure que la première partie du texte), perd beaucoup en intérêt et en force. Selon moi, il y a un problème dans le rythme dès le début du texte : En effet, pourquoi annoncer la guerre d'entrée de jeu ? On se prépare à lire quelque chose de grave, puis tout à coup le soleil brille et les oiseaux chantent. Personnellement, je n'ai pas du tout pu profiter de l'ambiance rieuse de la campagne parce que j'étais encore plongée dans l'ambiance sérieuse de l'annonce de la guerre, et mon premier réflexe a été de parcourir le texte en diagonale jusqu'à la cause de la guerre. De plus, cela casse l'effet de surprise. Finalement, je crois que l'aspect "humoristique par l'absurde" du texte serait renforcé si l'escalade à la guerre se faisait plus progressivement et si le texte commençait par l'histoire de la pomme. A mon avis il y a donc des choses à retravailler dans ce texte qui peut vraiment devenir une belle diatribe contre la guerre. |
Lariviere
17/9/2007
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Moi j'ai bien aimé blablabla... Comme quoi...
C'était osé et ça m'a donné l'envie d'aller plus loin. Pour le reste je rejoins l'avis de Bidis. Je pense que la parabole de la pomme est voulu, mais dans ces cas là je trouve que le texte n'est pas à la hauteur de la parabole et c'est dommage. La pomme, c'est le fruit défendu du savoir et non celui de l'appat du gain ou autres choses qui mènent dans ton histoire, ces imbéciles heureux qui sont né quelques part, a aller mourir a la guerre... J'ai peut être raté quelque chose de plus subtil, parce qu'a des moments ill me semlait que les multiples idées d'intrigue pouvaient potentiellement être intérressantes à entreméles et à dévelloppé. Mais j'ai l'impression malgré tout que tu t'es un peu perdu dans ta propre vision de ce récit. Je trouve aussi que les personnages et les réflexions sont trop caricaturales et se résument à dire que la guerre ce n'est pas bien et que ceux qui la font, sur le front ou à l'arrière sont stupides. Ce n'est pas faux, mais il me semble que c'est plus compliqué. Je pense que cette histoire devrait être re-travaillé, simplifiée et rendu plus dense au niveau de l'idée générale. En faire un conte moderne. Peut être le rendre plus aérien aussi avec un peu de fantasie, car ce récit en manque cruellment sur la forme. Désolé pour mon avis, il est assez dur, je le reconnais. Bonne continuation dans tout les cas... C'est faisable. |
Anonyme
22/9/2007
a aimé ce texte
Pas
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J'ai lu attentivement mais je n'ai pas accroché..
Dommage! Je rejoins Bidis et Larivière quant à leurs commentaires sur la structure du texte et de l'histoire qui bien qu'intéressante est un peu décousue. J'ai eu du mal à suivre la trame. Le vocabulaire est inégal, peu soutenu (c'est le moins qu'on puise dire), de même que les constructions grammaticales des phrases. Je pense aussi que le re-travail pourrait donner du bon à ce texte aux idées généreuses. |
guanaco
1/10/2007
a aimé ce texte
Pas ↑
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Tout a été dit.
Trop de maladresses dans le fond et la forme. Moi aussi j'aurais bien apprécié une histoire qui parte de la pomme... A retravailler. Bon courage. |
Maëlle
6/10/2007
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un conte qui a des allures de paraboles. De mon point de vue, c'est le fond qui pêche plutôt que la forme. Ca manque d'ancrage, les images ont l'air de sortir de dessins d'enfant, avec une belle ligne au crayon noir pour dessiner la frontiére. Ce qui passerait trés bien, ne serais cette fin assez noire.
(j'ai des doutes sur ma capacité à être intelligible, là). |
clementine
6/10/2007
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En ce qui me concerne ,j'ai aimé le contraste présent dès le début du récit.
Tout est lumière et insouciance. Effectivement ,ensuite,j'avoue que je me suis perdue et que le lien entre ces enfants ,la pomme et une guerre internationale m'a échappé . Néanmoins j'ai aimé l'idée et la façon de la relater . |
Anonyme
7/10/2007
a aimé ce texte
Un peu ↑
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je me suis perdu quelque part dans ce texte. C'est vrai que l'histoire est intéressante, mais ce texte n'est pas vraiment structuré
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