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Anonyme
9/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Drôle de texte, j'ai sourit, un peu ri. Le langage courant est bien employé, les images sont parlantes. Par contre, la présentation de Godzilla paraît moins aboutie que celle de Calimero. Le sujet de la salle des profs m'a fait penser à mes années troubles d'ado, étrange, je ne connaissais pas le coup du miroir entre les pieds, surement un truc de garçon. Merci pour ce petit moment de détente !
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Anonyme
9/11/2009
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bonjour jaimme
j'attendais ce texte avec impatience. Et maintenant que je l'ai lu je suis un peu déçue. J'y ai retrouvé ce qui fait le succès des autres textes de l'auteur, inutile de parler du style, il est là. En fait, voilà ce qui m'aurait vraiment plu et pourquoi je suis un peu déçue : j'aurais voulu un mélange ou une alternance des deux fenêtres ouvertes de ce même collège, l'une sur la salle des profs, l'autre sur la classe de sixième. Des interactions, des rencontres, et surtout voir ce que les uns apportent aux autres. Ce dieu qui marche avec les enfants, ne marche pas ici (en ce qui me concerne) de la même façon. Avec les enfants, c'est touchant, émouvant et ça frappe bien. Avec les adultes, c'est plus difficile de me faire entrer, moi lectrice, dans cette magie là. Il y a aussi quelque chose qui me chiffonne. C'est Marc. Dieu dit qu'il va s'y coller. Et il va aller aussi boire un coup avec lui ? D'accord, c'est sans doute une image, mais ça sent un peu trop le copain, l'ami et du coup dieu... tombe à l'eau. Alors ou le narrateur est dieu et il se débrouille pour que les choses changent "féériquement" (avec le risque de tomber dans le syndrome de l'ange gardien... mais l'auteur a de l'imagination) ou alors le pote est pote et il se dévoile et fait ce qu'il peut. Après tout, des gens gentils, clairvoyants, humains, ça existe aussi... ? Je ne sais pas si j'ai été très claire. Tout ça pour dire que et de un, j'aurais voulu des interférences, et de deux, j'aurais préféré que le narrateur soit carrément de chair et de sang. Mais bon, il y a une suite, et je vais sans doute trop vite. Mais pour l'instant je suis très mitigée. J'attends vraiment la suite. Elle va probablement répondre à toutes mes attentes. C'est très bien écrit évidemment, chaque mot à son poids, les images sont très belles, les constats sont là... mais je sais pas... j'ai l'impression que c'est un peu froid, peut-être parce que c'est trop statique. (J'évaluerai l'ensemble et reviendrai sûrement compléter ce commentaire) |
Myriam
10/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ah! Dieu, le retour! Quel bonheur!!
Je retrouve, intacte, cette jubilation continue de lectrice, celle qui me fait reconnaitre un texte de Jaimme. Évidemment, je suis un peu juge et partie: cette salle des profs... c'est en partie la mienne! Tumultueux cocon, que l'on voudrait hors du temps, mais où l'horloge règne en despote. Je retrouve aussi ce qui fait la force de cette série magique, voire divine!: le rire, ( au hasard, "Des casiers avec incinérateur incorporé. Porte froide."... j'achète!!), la compassion, ( "Alors Olivia, en toute innocence, va traverser les neuf cercles des enfers."... je la connais cette Olivia, bien sûr...), la tendresse et la poésie ("Au milieu des fils de soie Thésée rembobine son passé d’amour. Mais il reste dans ce labyrinthe, errant et se cognant dans les mêmes murs."... magnifique). Intacte aussi la puissance d'une écriture hors du commun, qui vous emporte pour ne plus vous lâcher, d'un style bousculé, contrasté, fulgurant, vivant enfin. Merci de ce nouveau texte, et vivement la suite! Myriam. PS: Du café au gingembre??! Où ça où ça??!!! |
nora
11/11/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Texte captivant d'un bout à l'autre. Riche, profond, amusant, intelligent, mémorable. Tant de mondes dans "ce nombril de monde", si familier, toujours à redécouvrir.
Ah oui... "combien tiendrais-je... si les élèves pouvaient me zapper...?" Souvent, la qualité d'un texte repose aussi sur le nombre de phrases qu'on a envie de citer; moi, j'en citerais des dizaines. J'ai adoré. Excellente leçon d'écriture! Félicitations! |
Anonyme
11/11/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Jaimme
Hésité longuement avant de commenter bien que je l'ai lu plusieurs fois pour affiner ma réaction Sur le style : L'entame ne me plait pas trop : trop abruptes , trop cavalières ces phrases nominales à répétition, et pourtant j'en utilise mais là non. Pour la suite oui ca se lit bien, il y a des changements de rythme qui maintiennent le lecteur en haleine. Sur le fond J'ai trouvé le tout à la fois nettement moins drôle, moins émouvant que la rentrée des classes. Sans doute le fait que tu parles d'adultes. Olivia par exemple c'est très stéréotypé, très banal comme analyse. Godzilla m' un peu plus parlé mais là c'est un peu poussé à l'extrême. J'aurais aimé quelque chose de plus fin, Ces personnages ne m'émeuvent pas Bref peut être quelque part je me lasse de ce huis-clos même si c'est bien écrit avec des pointes d'humour. Désolée Xrys |
Lylah
11/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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On retrouve le style et l'humour de la "rentrée des classes", pourtant j'avoue que j'ai été moins touchée, moins "happée" par cette salle des profs. Il me semble qu'ici "Dieu" a perdu quelque chose d'essentiel : l'amour inconditionnel qu'il portait à chacun de "ses mômes", il est devenu plus caustique, plus distant... et je suis restée moi-même plus en retrait par rapport à ses personnages.
Cela n'enlève rien à la qualité de l'écriture, toujours très agréable à lire mais l'univers des profs m'a semblé plus froid, moins présent que la saga des minos. Il faut dire qu'on était proche de la perfection, difficile de rester à ce niveau en permanence, même pour Dieu... :) |
Anonyme
11/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je ne le redirais pas, tu sais déjà l’impatience avec laquelle je l’ai attendue.
Celle-ci est plus légère, avec cette longue introduction pour poser le décor : drôle et savoureuse. Et toujours ses expressions bourrées de référence, pures merveilles : « Au milieu des fils de soie Thérèse rembobine son passé d’amour. » « Autant imaginer Black Panther voulant argumenter dans une réunion du Ku Klux Klan » « Sa robe est celle de Judy Garland dans le magicien d’Oz, en plus courte. » C’est un plaisir de chercher à se souvenir, d’en appeler à sa mémoire pour tenter de comprendre la métaphore. Je ris, je m‘amuse au rythme de tes mots, jaimme. Et puis « Pourtant Dieu s’y colle » et je pense « Aïe ». J’avais presque oublié que ça allait arriver. À la fois, je l’attendais et, en même temps, je voulais continuer à me promener gentiment sans approfondir, continuer à croire comme un enfant que les adultes, eux, ont la force d’affronter seuls leurs problèmes. Ce n’est pas le cas et, sur moi, cela fonctionne toujours aussi bien. Marc peut bien être aussi Misogyne qu’il veut, son amour pour sa Marie me bouleverse… Et Olivia en qui la flamme s’allume. Pas de pouvoir magique, juste un cœur qui s’ouvre. C’est beau. Et il est mille fois confirmé le « Aïe ». …Puis l’interview et là je reste plantée devant à me demander lequel a bien pu proposer un « casier avec incinérateur incorporé. Porte froide. » C’est malin franchement. Il me semble que je passe mon temps à te remercier pour ces moments qui tu m’offres, mais c’est un tel bonheur. Alors, cette fois encore jaimme laisse-moi te le dire : Merci. |
Lapsus
11/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je retrouve la même écriture malicieuse qui fait mouche que dans tes précédents textes, des images savoureuses et parlantes, riches en correspondances.
Mais j'ai trouvé la présente nouvelle plus caustique et sarcastique, je regrette la tendresse précédemment rencontrée. Il est peut-être plus facile de poser un regard tendre sur les élèves que sur les professeurs. Le Saint ou le Très Saint sont certainement plus brûlants. |
Anonyme
11/11/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bon... je rejoins un peu Xrys.
Je trouve que ça manque de cynisme, étrangement. C'est moins assumé que D&la rentrée des classes (d'ailleurs il manque les majuscules à Dieu je crois dans la phrase de présentation). Dommage parce que la salle des profs vu par un profane, ça peut enfin voilà quoi on fantasme un peu (de mon temps ils fumaient encore en salle des profs...) sur ce qu'y s'y passe et je reste sur ma faim. Bof. Tant pis, je mitige toujours. J'avoue que j'ai eu du mal à aller au bout. Le passage Gozilla est trop survolé. Le passage Caliméro trop ouin ouin (Gangsta Paradise en fond sonore je verrais presque Michele Pfeiffer... hum). La fin vraiment trop cliché sur toutes les réponses. Donc po convaincue, scuzi. Le prochain peut-être? Merci! |
Anonyme
11/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut jaimme ! Ce soir, dans la colonne de gauche réservée aux nouvelles, Dieu m'a pris par la main, m'a fait visiter la salle des profs et je l'en remercie, tout comme je remercie la superbe plume qui a brossé ce décor et les portraits que j'y ai découverts.
Un sujet inépuisable et intemporel traité de main de maître ( ou de prof), j'ai vraiment apprécié. Bonne soirée |
Garance
11/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je suis en retard pour cette lecture et tout a été dit !
Dieu nous présente donc quelques humains appartenant au Corps Enseignant. Après la douleur de la condition d'élève, nous appréhendons celle de leurs enseignants... et je plonge toujours aussi généreusement dans la lecture et le pot de Nutella. J'attends des personnages que j'imagine déjà. J'apprécie l'introduction ( description de la table qui se trouve dans la salle des prof.), belle rêverie qu'interrompt la sonnerie qui annonce le retour dans l'arène. |
NICOLE
13/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Les yeux sont humides lorsqu'un ami, bien plus qu'un collégue, vous aide à comprendre une circulaire administrative..." ça c'est de l'humour pince sans rire comme j'aime, mais à la sauce Jaimme (si, si, ça reléve encore le tout).
"Le petit peuple" : bien trouvé, mais une fois aurait suffit. "Elle croit qu'elle est là pour faire un exposé" : extrémement bien vu, et en plus, je crois que j'en connais une taillée dans la même étoffe. Juste une chose qui me traverse l'esprit : je crois bien que j'aimerais quand même voir Jaimme s'aventurer en dehors du cadre scolaire, juste une fois, pour voir ! |
Anonyme
29/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour, Jaimme,
Voici donc la deuxième voix du choeur, celle des enfants devenus adultes, mais pas tant que ça, après tout. Restés dans le cocon de l'école, ils ne semblent sous ta plume que des élèves détenteurs d'un nouveau pouvoir. Et curieusement, le savoir ne leur sert pas à grand chose. Par quoi je commence ? Un petit reproche : celui du lexique que tu expliques. Exemple : "Les femmes collent leurs fesses contre le mur, se voûtent et avancent exagérément leurs épaules pour ressembler à Ardhanarîshvara, l’androgyne divin". La dernière partie de la phrase ("pour ressembler à...") me paraît maladroite. Je suis certaine que tu pourrais la trousser finement, suscitant chez tes lecteurs une recherche effrénée via Wikipédia. Comme celle que je viens de faire pour les hoplites et Kobold. Pour le reste... je me suis bien amusée. Et j'ai été émue, aussi. Si certains trouvent facile ta description du désarroi conjugal de Godzilla, moi, elle m'émeut (je suis assez fleur bleue). Quant à Olivia, ben oui. "Certains ne deviennent enseignants que lorsqu'ils deviennent parents". Je crois que c'est vrai, effectivement, pour certains. Un souvenir : Nancy, une grande librairie. Toute une classe de collégiens, une 4ème peut-être... ou une SEGPA. En tout cas, pas des loulous des beaux quartiers. Leur petite prof au milieu. Et une consigne, apparemment : farfouiller et choisir ("madame, madame, et ça, c'est bien ?"). Je suis restée à les épier, le nez dans les BD. Et ça a été une grande leçon de je ne sais quoi, je ne suis pas prof. Une grande leçon en tout cas. Cette prof était géniale, le genre à les amener à Ovide en slammant, effectivement. Il y avait du Pennac dans sa façon d'être. C'est un vieux souvenir totalement intemporel. Bon, on se doutait bien que les profs embarquaient leur être et leur histoire sur les estrades, comme tout le monde. Mais c'est bien de le rappeler. |
thea
21/12/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Et bien oui dans la série "Dieu et..." on retrouve la m^me ambiance de potache et le coup de plume plein d'humour de jaimme!!
le style est enlevé, dynamique, et les images bien ciselées j'ai eu du plaisir à lire peut être la fin est elle un peu moins bien construite ...je ne sais pas trop..un certain relâchement peut être.. Peu importe une belle page d'écriture dans un style bien personnel et plaisant. Thea |
Cortese
24/12/2009
a aimé ce texte
Bien
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Est-ce que j'aime bien parce que ça me parle, ou est-ce que j'aime vraiment ?
J'aime vraiment parce que c'est souvent drôle, et bien écrit (mais ça je commence à avoir l'habitude). J'aime bien parce que ça me fait penser à des trucs vécus, mais en même temps, ce qui me chagrine, c'est que ça manque parfois d'ironie, de mordant. Le coup de la petite stagiaire, par exemple : c'est bien vu, juste et tout. Mais y'a pas d'apport, par rapport à ce qu'on pourrait en dire dans une conversation, tout simplement. Tu vois ce que je veux dire ? Et le gros méchant prof de sport, je le trouve pas très crédible, au contraire de la stagiaire. Peut-être qu'il n'est pas assez travaillé... Ou alors, ce qui marche pas, c'est que les adultes ont moins besoin d'excuses que les gosses. Peut-être qu'on ne cherche pas autant à comprendre pourquoi ils réagissent de telle ou telle manière, et que, du coup, on s'intéresse moins à ce que tu racontes pour les justifier. Peut-être qu'ils devraient être plus tranchés, plus englués dans leur sale caractère, leur égoïsme ou leur faiblesse... Bref, ce qui fonctionne avec les petits ne fonctionne pas avec les grands ! Soit plus méchant avec eux, stp ;-) Au plaisir de lire la suite... Cortèse |
caillouq
18/10/2010
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J'ai beaucoup aimé ... Mais je me sens incapable d'évaluer un texte pareil. D'abord, qu'est-ce que ça fait en "sentimental/romanesque" ? Pour une fois qu'un texte en Humour/détente m'aurait fait rire ! (OK, c'est pas sympa pour les autres, mais cette catégorie me déçoit souvent. Souvent. Pas toujours)
Et puis ça fait sûrement étroit d'esprit d'écrire ça, mais je n'arrive pas à considérer ce texte comme une nouvelle. C'est comme un e-mail excellent qu'un pote prof m'enverrait. Oui, bon, ça peut être un choix de forme tout à fait réussi. Je sais pas. Ou alors, c'est le côté un peu trop "private joke". Il faut avoir été en salle des profs pour apprécier. OK, c'est pas mon cas - mais peut-être la lecture récente de "Entre les murs", que j'aime dans la forme mais pas dans le ton, m'en a-t-elle donné l'impression ... Je sais pas. Ou alors c'est le côté chronique, appuyé par la vision des opus 1 à 4 de "Dieu et la rentrée des classes" ... Je sais toujours pas, j'abandonne. Peux même pas dire que ya pas d'histoire donc pas de fiction donc c'est pas une nouvelle, il y A une histoire, plusieurs, même. Plein. Bref, ce texte me déstabilise. On en fait quoi ?! |
Flupke
9/11/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour jaimme,
Davantage une chronique qu'une nouvelle. Mais très agréable galerie de portraits. Truffé de pépites: Enseigner c’est brûler, toutes les heures, les calories d’un pot de Nutella. Autant imaginer un Black Panther voulant argumenter dans une réunion du Ku Klux Klan. (où vas-tu chercher toutes ces comparaisons ?) De temps à autre quelqu’un explose et montre sa futile croyance en la valeur rédemptrice de la fureur. bien trouvé. elle n’a pas goûté aux épices de l’interdit. idem Très agréable à lire et pas beaucoup à redire sur le style. De belles images qui m'ont fait sourire. Merci. Amicalement, Flupke |
Anonyme
14/5/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très inventif, rapide, drôle, un brin décousu. Chaque phrase apporte son originalité. Plusieurs mots nouveaux pour moi, comme causse et aven. Mais je déchante et vais réviser mon projet de devenir prof !
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in-flight
10/12/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un moment bien sympa à vous lire.
Le "chapitrage" du texte ne m’apparaît pas essentiel ("Godzilla", "caliméro") et j'aurais aimé plus d'interactions entre tout ce petit monde. En même temps il s'agit d'un texte qui s'étoffera (selon votre projet) et la séparation par parties prendra sans doute son sens. Le portrait de Godzilla me semble un peu forcé parfois: des références comme "Notre Schwarzenegger" , "Milice recrutait en 1942", "la pédagogie contre le body bulding"... Certains passages m'ont bien fait marrer en tout cas. |