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studyvox
1/4/2008
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C'est poignant.
Bravo |
clementine
3/4/2008
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Cela respire l'authentique, c'est un peu maladroit et extraordinairement touchant, plein d'amour, plein de chagrin.
Un coeur à nu qui dit, qui crie sa peine. Impossible de noter. |
Anonyme
3/4/2008
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Les larmes aux yeux, à la fin de cette lecture.
Pas de commentaire. C'est trop vrai. |
Mimi-Crazy
4/4/2008
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pas de mots
texte très touchant |
Maëlle
23/5/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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La douceur considérable qu'il y a dans la forme en fait un texte magnifique. J'aime bien critiquer: alors, vous n'auriez pas du raconter tout le texte dans le résumé.
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jbacon
20/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Que d'émotion dans ce texte. Vraiment, toutes mes félicitations ! C'est un très bon début, et qui s'implique vraiment dans différents sentiments ( la compassion, la tristesse, l'envie de s'infiltrer dans l'histoire et réconforter cette jeune femme...)
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Flupke
20/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Janelle,
Désolé si c’est du vécu, mais j’ai trouvé cela un peu trop arrache larmes vers la fin. Un peu comme un dessert top sucré sur fond d’Adagio d’Albinoni. Bien sûr c’est facile à dire en tant que lecteur, qui a eu plus de chance à deux reprises. (Je recommande d’Anna Gavalda la nouvelle sur le même thème, « I.I.G » (dans son premier recueil). Beaucoup plus de pudeur et de retenu dans l’expression de la douleur). Par contre c’est vraiment très bien écrit, très agréable à lire, ça foisonne de plein de petits détails ultra-réalistes, essentiels. C’est concis et percutant. Bravo. Amicalement, Flupke |
monlokiana
5/8/2011
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Poignant, touchant…Je n’ai pas mes mots.
L’écriture est fluide, l’histoire se laisse lire facilement. C’est rythmé… J’ai bien senti l’émotion de cette femme. Attendre cinq ans et un jour, ça vient et un autre, tout disparaît. Il faut attendre encore et compter encore. J’ai aimé mais aussi, j’ai trouvé que l’histoire a été racontée trop vite. L’auteur aurait pu prendre son temps, plus de description… Pourquoi pas une double narration ? Un de Pascal et un autre de la narratrice. Ce n’est pas seulement cette femme qui a attendu, ils ont attendu ensemble le petit Yanis. Je trouve Pascal présent oui, mais un peu à l’écart aussi. Je ne l’ai pas beaucoup senti. Mais écrit comme cela, c’est poignant, c’est… alala… Je mets la grande note quand ça me touche à l’extrême. Bravo, vraiment |
Palimpseste
5/8/2011
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Il y a l'écriture-plaisir et puis l'écriture-thérapie...
Est-ce au nom de cette dernière que vous avez écrit "Je l’ai tué, au creux même de son foyer." ? Il n'entre pas dans le champ des commentaires d'ici de statuer sur la pertinence médicale d'un tel aveux de culpabilité. Qui serions-nous pour en parler ? Pourtant, on remarque qu'à égale distance de cette terrible déclaration, vous reprenez des phrases et des structures de paragraphes ("j'ai pris mon sac, le XX encore accroché aux doigts (...)" "des paires d'yeux étonnés XX se retournaient (...)" ...) [Je viens de voir que "janelle" ne semble pas s'être connectée depuis le dépôt de ce texte - mon commentaire part donc dans les Limbes] Ce "je l'ai tué" est un pivot de votre texte, qui donne du relief à la symétrie des propos. Si c'est de l'écriture-plaisir, c'est plutôt réussi comme forme... Merci d'avoir su la partager. Dans l'autre cas, la réussite est déjà d'avoir écrit le fond... Bravo s'avoir pu le partager. |