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Anonyme
31/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Trop court ! Trop court !
J'étais vraiment dans la classe et plein de souvenirs me sont revenus en mémoire ! Trop court ! En 60, je n'étais pas encore née mais certaines habitudes ont la vie dure, le coup des assiettes retournées pour limiter la vaisselle, par exemple, je connais ! Et ce respect là, cette peur de l'instituteur qui nous faisait tenir debout droit comme des piquets, trop bon ! Merci pour tout ça, merci pour ces gestes familiers, cette brosse à secouer dehors contre un mur... wouah mon bon monsieur, c'était une autre époque ! J'insiste : Trop court ! Frustrant de quitter ces personnages ! |
Selenim
31/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Jolie petite tranche d'un quotidien d'antan.
On respire une suave odeur d'authenticité. L'autobio est très présente, presque palpable grâce aux détails croustillants. Le récit est bien trop court pour distiller une ambiance sépia qui commence à poindre seulement quand la lecture s'achève. L'écriture demeure classique et adaptée au récit. Selenim |
mamyjet
31/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai trouvé ce texte agréable mais un peu invraisemblable. En effet, il semble étonnant que l'instituteur n'ait pas remarqué l'absence de l'élève qu'il avait puni lors de la deuxième partie de la matinée. Il manque un petit quelque chose pour que cette histoire soit crédible.
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Anonyme
31/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut Jean ! une ambiance scolaire très bien décrite et que j'ai connue en... 1950 ! Peu importe, à priori ça n'avait pas beaucoup changé dix ans plus tard. J'ai bien aimé l'écriture mais cette chute me semble peu plausible et casse un peu le plaisir de ce retour à l'école de... grand-papa. Au plaisir de te lire.
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gizebre
31/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte au charme délicieusement désuet. C'est vrai que l'absence de l'élève qui passe inaperçue après la récréation paraît peu crédible mais qu'importe, c'est très bien écrit et plaisant à lire.
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Corbac
31/5/2009
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Excellente nouvelle. J’ai pris beaucoup de plaisir à la lire.
Cette école des années 60 est très bien décrite. J’ai eu l’impression d’y être. La chute ne m’a pas gêné. J’ignore si elle est crédible ou pas et je m’en moque. L’histoire se finit sur une petite touche humoristique, laissant un agréable sourire aux coins des lèvres. Sinon une petite question à l’auteur. « Charline profite de la classe vide pour faire le niveau des encriers.» Etait-ce une expression courante à l’époque ? Pour moi, ce devrait être « faire monter le niveau des encriers » mais je ne suis absolument pas sûr… |
florilange
1/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai connu ces classes à 3 niveaux (60 élèves), la maîtresse jonglant constamment de l'1 à l'autre. C'est bien vu. Oui, il y avait du respect, de l'obéissance & des punitions, parmi lesquelles la règle métallique sur le bout des doigts. Non, le puni n'aurait pas osé bouger & oui, il arrivait qu'on l'oublie dans 1 coin, ne serait-ce que parce qu'il ne dérangeait plus le cours...
J'aime la nostalgie qui se dégage de ce texte bien écrit, vraiment comme 1 photo couleur sépia. Il relate 1 temps & des moeurs disparus. Qu'on regrette? Hum... Pas de maîtresse se plaignant d'avoir plus de 25 élèves dans sa classe... En contrepartie, des élèves moins sages, dont on exige plus d'interactivité. Merci, Florilange. |
xuanvincent
1/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai apprécié cette nouvelle surtout pour la description de ces années d'école des années 60.
Pour les lecteurs n'ayant pas connu cette époque, cette école peut paraître assez différente de celle de leur enfance mais aussi par certains points proche de leur vécu. Comme mamyjet, il m'a paru effectivement un peu étonnant que les enseignants mettent autant de temps à s'apercevoir de la disparition d'un de leurs élèves. La fin du texte - en particulier la phrase "la carte reniflait" - m'a amusée. |
colibam
1/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Jean nous parle d'un temps
Qu'aurait aimé connaître Ma mémoire de trente ans zut, ma cartouche d'encre à inspiration est vide... Un texte paisible qui sent bon l'encre et la craie. Rien à redire sur le style et la plume, maîtrisés. J'aime beaucoup la fin, qui ne bouscule pas l'ambiance et permet de tirer le rideau sur un sourire. Cette histoire m'a rappelé le très joli livre de Danièle Bélorgey : A l'école d'autrefois. |
costic
25/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une nouvelle très agréable, dans sa totalité. On a l'impression de vivre un moment dans ce passé déjà lointain. Nous, on se battait pour aller taper la brosse dehors. J'avais oublié ce moment privilégié, et ma mère , en classe, je l'appelais madame...merci donc pour de faire revivre si justement ces moments d'enfance( à une décennie près, seulement les encriers avaient disparus)
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kobane
17/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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une tranche de vie scolaire des années 60 très bien reconstituée, on s'y croirait.Concernant les commentaires déjà lus, il n'est pas invraisemblable que l'instit ne se soit pas rendu compte de l'absence de cet élève qui devait sans doute être externe et donc il ne prenait pas son repas à la cantine. Le style est agréable, l'histoire bien menée, on en redemande, aussi ne t'arrête pas Jean et continue de nous régaler d'autres récits tout aussi divestissants.
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