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pounon
28/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ambiance de fin de vie bien décrite et imagée, par contre les bandelettes me feraient plutôt penser aux copeaux qu'aux scories du menuisier puisqu'il est question de cercueil.
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marogne
28/1/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé, même si ce n'est pas forcément une lecture pour un lundi matin. Ca fait vécu, mais la langue met une touche de poésie, et d'intemporel sur le texte.
Effectivement, "scories" m'a arrété, mais c'est peut être le seul reproche que je ferais. |
Bidis
28/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J’ai été surprise par la fin trop abrupte de ce texte. Et c’est dommage parce que l’atmosphère y est, le décor est planté, j'attendais l’intrigue avec intérêt.
Pour moi, « scorie » signifie déchet d’une opération quelconque, donc ce mot ne m’a pas gênée ici.. Par contre, je me permets deux petites remarques : - « des ratures de stylo sur un formulaire vierge » : je trouve excellente la métaphore arbres = ratures de stylo. Mais le formulaire vierge sur lequel s’inscriraient ces ratures fait penser à un désert, une plage, une étendue… Or on est dans une rue. - « Une odeur de bois mort, une odeur de cercueil. Et c’est comme si, s’épuisant sur son appareil, elle rabotait son propre cercueil. Un cercueil qui ne voudrait pas dire son nom » : répétitions non agréable à la lecture. J’aurais enlevé le premier cercueil (« une odeur de cercueil »), je trouve que "une odeur de bois mort" suffit. |
victhis0
28/1/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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très beau texte avec tout ce qu'il faut d'émotion retenue ; çà sonne effectivement tellement juste qu'on ne peut que croire à la malheureuse authenticité de ce récit.
je partage la rmeaque sur la page vierge, de mon pont de vue mal à propos. Félicitations, et sincères condoléances... |
jensairien
28/1/2008
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merci pour le commentaires attentifs. Quelques remarques
1/ c'est du vécu c'est vrai 2/ merci pour les copeaux à la place des scories, j'en prends bonne note 3/ pour la réflexion de Bidis, je dirais juste qu'un formulaire vierge n'est pas une feuille vierge. C'est normalement un papier plein de questions et considérations administratives imprimées ainsi que de cases à cocher. (enfin c'est comme ça que je le voyais) |
clementine
28/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Petite tranche de vie.
Pas un très beau jour, l'ombre de la mort est présente avec son cortège de noirceurs. Personne ne veut mourir dans ce décor, on voudrait tous( je crois)quitter ce monde entouré des siens les plus proches et de notre décor familier, sa maison, sa chambre, son lit. Tu nous as bien immergé dans l'ambiance triste de ton texte. C'est bien écrit, un peu court peut être, comme parfois la vie . |
Scrib
1/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai très apprécié ce déploiement de sensibilité et d'émotions
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Anonyme
17/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Des petits détails prouvent que tu connais bien les hôpitaux...
Me trompe-je? L'ambiace est poisseuse à souhait, la poésie bien présente. T'en dis pas mal en peu de lignes. Une réussite! |
widjet
28/2/2008
a aimé ce texte
Bien
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Lugubre et d'une grande mélancolie. Une nouvelle qui se ressent et qui sonne juste, vrai. C'est du vécu et ce n'est guère étonnant. On ressort de cette lecture mal à l'aise. L'exercice est donc réussi.
Enfin le "demain l'espoir" a quelque chose de presque cynique. Volontaire ou pas? Auteur étonnant qui surgit là où on ne l'attend pas.... Widjet |
xuanvincent
19/7/2008
a aimé ce texte
Bien
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Le sujet, dur, me paraît bien traité et l’histoire m’a intéressée.
Je n’ai pas tout de suite saisi de quoi souffrait la patiente. C’est à ce moment que j’ai davantage apprécié ce récit. Notons que la maladie - le locked-in syndrome - n’est pas nommée mais en lisant le passage on comprend bientôt de quelle terrible maladie il s’agit. J’ai apprécié la première phrase. Egalement la fin. Détail : « moi qui n’a aucune chance » : coquille : « moi qui n’ai » PS : Ce court récit m’a rappelé le poignant témoignage « Le Scaphandre et le papillon, de Jean-Dominique Bauby. |
Flupke
2/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un peu de chipotage : j’aurais souhaité davantage de précision ou quelques clés sur la maladie, mais peut-être cela aurait affecté le ton du texte. Mais je trouve que cette visite et les émotions ressenties sont vraiment très bien décrites. J’ai bien aimé l’image des arbres à travers la fenêtre qui sera ce qu’elle gardera du monde extérieur. Cela met en relief la fixité et l’immobilisme. Merci de nous avoir fait partager en moins de 3000 caractères cette émotion par procuration.
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Anonyme
1/3/2009
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Si cette maladie à un nom pourquoi ne pas le donner ? D'un autre côté, quelle importance, le nom ? Pourtant j'aimerais savoir. peut-être que ça me permettrait d'être plus à côté de cette personne qui souffre.
Les descriptions sont à la fois très belles et très dures. Je sais ce qui se passe, je vois la tête du gars qui sort en claquant la porte, je sais ce qu'il ressent puisque je lis cette nouvelle. Le narrateur me la confie pour que j'y jette un oeil à cette souffrance rentrée, donc je suis impliquée et pourtant je reste dehors. Ca me laisse cette impression que de toute façon, quoi que je puisse dire, ressentir, ça ne l'atteindra pas, et ça n'arrangera pas les choses. |
Anonyme
1/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Mis à part "copeaux" et "moi qui n'a(i)", le texte est bien écrit.
Sensible et poétique aussi. Merci Bébert l'affreux Ps Bravo pour les ratures de stylo |