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plumette
21/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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une belle évocation, sensible. un souvenir venu de l'enfance qui permet peut-être d'enraciner le goût des mots du narrateur, un hommage rendu à ce Luigi, érudit, en guenilles.
Et puis comme Giono a ouvert quelques trous en moi, alors j'adhère à ce texte! Merci pour ce partage Plumette |
David
24/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Le début m'a attrapé comme un bon roman, peu à peu je me suis rappelé que c'est sans doute le récit d'un souvenir, comme un étrange regret que cet "italien plein de trous" ne soit pas un "véritable" personnage dans une large épopée :) La chute n'en est pas moins intéressante, les "trous" passent des vêtements de l'italien aux états d'âme. C'est une belle illustration d'une passion pour Giono, de la lecture pour magnifier le quotidien. |
Tadiou
24/2/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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(Lu et commenté en EL)
Peut-être ce récit plein de charme se veut-il un hommage à Giono : c’est pas mal réussi. Je me perds dans les époques et les âges du narrateur : « Bien longtemps après… Luigi avait disparu, mes parents aussi. La ferme de mon enfance était devenue une exploitation prospère et méconnaissable… » J’en conclus que l’enfant est devenu adulte (après 1960) Or la dernière phrase est : « L’écho de sa voix résonne encore dans mon cœur d’enfant. » comme si Le narrateur est encore enfant. On parle de 1954 (appel de l’Abbé Pierre), « Puis les années soixante. Les années glorieuses de la consommation. » puis on revient à l’enfance. Brassage confus, à mon sens, des époques qui me gêne. Texte plein de charme, de sensibilité; interrogations de l’enfant qui essaie de comprendre ; importance des mots des adultes pour analyser le passé et pour que la vie gagne en richesse; références appuyées et récurrentes à Giono : dans ce texte il y a des descriptions de choses simples de la vie quotidienne qui évoquent son style. Et puis la soif de vivre, la soif de remplir tous ces trous de curiosité, toutes ces interrogations. Beau message faisant appel aux intelligences pour que la vie mérite d’être vécue. Beaucoup de chaleur qui confine à la poésie. Simplicité et profondeur s’entremêlent, comme chez Giono. L’écriture est très bien travaillée et à la hauteur du message. Merci pour ce texte réjouissant, plein de force, d’humanité et d’optimisme. Et à vous relire bien sûr. Tadiou (j’aime Giono !!!) |
Anonyme
12/3/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Il est des nouvelles trop longues où l'on se perd allègrement et d'autres comme celle-ci qu'on aimerait lire plus détaillée. Autrement, c'est bien écrit, et les conversations avec Giono, devaient être intarissables. Oui, la France d'après guerre et d'avant les années 60, véritable révolution culturelle et technique. La Provence dans tous ses états, ses senteurs, ses marchés comme le chantait Bécaud, ses écrivains et ses peintres. Un bon et court moment de lecture. |
Anonyme
12/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé cette histoire qui se lit comme on boit l'eau de source.
La fin est originale. Par contre, j'ai été déçu de ne pas en savoir plus de Luigi qui est le personnage central de cette histoire et l plus intéressant. Pourquoi réfugié ? (on ne va pas se réfugier dans un pays ennemi en général) Apparemment il était lettré puisque l'instituteur discutait longtemps avec lui de tout... Merci pour ce bon moment. |
Eva-Naissante
18/3/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une belle histoire, des souvenirs qu'on peut s'approprier.
Bien écrit. Toutefois, si certains textes souffrent de quelques longueurs, celui-ci aurait mérité davantage de développements, de détails, sur cet enfant, sur la chute, même si la concision de ce texte participe dans le même temps d'une certaine forme d'harmonie. Eva-N |
Vilmon
3/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour, un beau récit de souvenirs d'enfant et de philosophie de la vie. Des trous à combler, mais qui doivent revenir pour nous pousser plus à l'avant. Une douce réflexion dans notre société de consommation abusive où l'on comble définitivement tous les trous. Et alors, on s'ennui et on consomme plus pour combler des trous fictifs. Au lieu d'entretenir le cycle des trous en vivant sans surabondance, on se noie parmi les tas qui comblent nos trous.
J'ai bien aimé ! |
Anonyme
3/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une histoire toute simple mais tellement bien écrite qu’on se laisse entrainer jusqu’à la fin avec un grand plaisir. L’écriture coule limpide comme un texte de Giono et les quelques allusions à ce grand écrivain font remonter des souvenirs nostalgiques.
Merci pour ces souvenirs partagés |
FANTIN
13/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Souvenirs d'enfance revisités par la compréhension, la nostalgie, la sensibilité adultes. Une époque disparue et ses acteurs avec elle.
Reste, pour combler ce "trou" béant, la lumière qui le traverse, venue de loin, mais qui éclaire et réchauffe malgré tout le présent. Le relais a été passé et c'est le principal. Merci pour ce beau partage! |