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matcauth
12/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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au moins, l'histoire va droit au but. ça se lit tout seul. Alors cette fiction échevelée et rurale des années quarante va au bout de sa logique folle, donc le tout est réellement cohérent et l'auteur reste constant tout au long de son histoire. Il est certain qu'on voit mal un cabaret avec de jolies danseuses se construire au milieu d'un village au milieu de nulle part, mais ça passe.
Quoique, la fin est un peu trop forcée et précipitée à mon goût. à la fois bâclée et trop facile, tombant cette fois un peu trop aisément dans l'exagération. Pour le reste, le ton employé est juste, enjoué, virevoltant. Le mot "courge" est quand même répété un peu trop souvent. Le dialogue est très bon, à la fois drôle et percutant, ce qui n'est pas toujours facile à faire. Une bonne lecture en tout cas. |
aldenor
12/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un texte dense, bien construit, inattendu et avec une bonne chute : un modèle de nouvelle courte.
Un seul passage me parait déséquilibré, celui du jeune interne avec son patient. Un texte aussi bref ne supporte pas une si longue parenthèse. « Tous les mâles du village se désintéressèrent… » : éviter la répétition de « village », superflue. « … quelqu’un de plus fort, de viril, comme monsieur Tremblay » : « viril » ne me semble pas naturel, venant de la part de l’interne. |
Anonyme
16/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Amusant, je trouve. Une pochade sympathique avec ce qu'il faut de cul et de frissons...
"N’ayant plus personne pour satisfaire son appétit démesuré en matière de courges, la fermière lubrique élargit son champ de courges" : la répétition se voit, je trouve. |
Pascal31
18/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un court récit qui se lit tout seul, très facilement et sans ennui.
L'auteur nous offre une pochade grivoise pas si innocente qu'elle en a l'air... Ah ! les fameux pâtés vont marquer les esprits ! Peut-être l'histoire aurait-elle pu être un peu plus développée, justement sur cette dernière partie si horriblement délicieuse, mais, malgré cela, j'ai bien apprécié cette nouvelle au style impeccable. |
Palimpseste
18/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Après "une couille dans le potage", voici "une bacchante dans la tourte"... Décidément, Oniris se spécialise dans la littérature érotico-gustative, tendance cannibale...
Sur la forme, les dialogues sont bons et enjoués. Le vocabulaire trucculent et le texte farci de petits jeux de mots comme cet "érection d'un bar de danseuses". L'idée d'aller cueillir des courges avec Monsieur Tremblay et ses deux fils est bonne. Le dialogue pourrait être un poil plus long dans le quiproqo, très court. L'histoire est bien menée même si elle reste loufoque et peu crédible dans sa vérité historique (mais on s'en fiche: on lit une nouvelle joyeuse, pas une thèse sur la vie érotique dans les campgnes durant les années 40). Les personnages sont sympathiques et bien campés. Pas de défaut visible, juste un goût de trop peu. L'histoire aurait pu être plus dveloppée, mais chacun sait que la longueur d'un texte ne fait pas sa qualité! |
widjet
18/7/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Une nouvelle courte et efficace dans son intention.
Dommage que les allusions et sous-entendus soient si clairement annoncés (à l’instar du « l’action de « cueillir des courges » était teintée d’une allusion sexuelle évidente » totalement dispensable). J’ai toujours eu du mal à accepter qu’on mâche mon travail de lecture. En dépit d’un verbiage parfois excessif (et de quelques répétitions inutiles), la lecture est fluide, le ton des plus légers. La fin cannibalesque et amorale au possible pimente l’ensemble. Pas super bandant, mais c’est loin d’être désagréable. W. PS : « Après six mois d’une disette charnelle involontaire ». Au vu du passage qui précède, le « involontaire » me semble inutile, on avait compris que cette abstinence n’était pas de son fait. |
brabant
18/7/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour JoMilliard,
Vou...ais !... Là ! Vous y allez peut-être un peu fort JoMilliard ! Bien qu'il ne soit pas interdit au lecteur de jouer le jeu de la grosse gaudriole, oserais-je "déconnade" ? Je me suis marré avec "Avez-vous essayé à quatre pattes en pliant bien les genoux ?" ; moins avec "... je n'utilise que les plus belles truies du village..." . Les "variétés de pédoncules" de même que "l'érection d'un bar de danseuses" me semblent téléphonés, à tout le moins trop appuyés. L'est trop courge pour moi quand même Marie-Miel Tousignant ! |
Anonyme
18/7/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Ouais, ouais, ouais...Ça manque quand même un tout petit peu d'épaisseur. On dirait un fait divers du Parisien.
Et puis je n'aime pas cette façon d'apostropher le lecteur : "Je rappellerai aux fins lecteurs que vous êtes...". Quand je lis un texte j'aime bien qu'on ne m'interroge pas sur ma propre culture. C'est d'autant plus dommage que le style est plutôt fluide, maîtrisé, presque trop facile. C'est raconté un peu à la manière des vieilles histoires provinciales, un 11 Novembre sous la pluie, quand les langues cuitées se délient au bistrot du cimetière. Il y en a toujours un pour dire : "Tu te souviens?" , et c'est parti. Je pense que deux pages c'est trop peu pour raconter la genèse d'un crime parfait. Ou alors, vraiment vite fait, avant que l'aubergiste vire tout le monde. Difficile donc de juger un texte sans savoir si l'auteur est court parce qu'il est incapable d'envelopper son histoire, ou parce qu'il était pressé et qu'il voulait tester les lecteurs avant de se donner à fond. Je demande donc à revoir un autre texte un peu plus charpenté, si l'auteur veut bien y passer cinq minutes de plus. Et j'aurais plutôt tendance à être optimiste. En l'état, ma note n'a pas grande signification. Cordialement Ludi |
Sidoine
19/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Sexe et beauté ne sont rien face à sexe et pâtés...Mouiii, ça se tient, puisque la dernière alliance permet par deux fois d'être consommateur de chair.
Mais j'aurais aimé en savoir plus sur le comment de la vengeance de Marie-Miel. Une petite vision de la métamorphose des nymphettes en objets de jouissance gustative m'aurait été particulièrement savoureuse. En outre, je retiens la recette: viande et courge , une tuerie! |
AntoineJ
23/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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il faudrait faire une analyse psychatrique de ce texte, ce serait intéressant ... manger des courges ... jouer avec comcombre ... déguster des truies ...
cela ressemble à un conte de fée sans enfants (encore que) avec son lot de fable (et d'excès) et de poésie (et d'illusion) j'aime bien la forme, la longueur et le style. Et la même avec des pommes et des veaux ? |
Dunkelheit
26/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est encore moi, oui, mais je ne savais pas que c'était encore vous.
J'avais lu ce texte en premier avec pour idée de revenir le commenter, puis j'ai lu Tortue-moi et c'est seulement en revenant que je remarque qu'il s'agit du même auteur ! Et finalement en relisant on se rend bien compte que le style est le même, ce côté décalé toujours présent, cette chute sordide et cet humour grinçant. Mais sur ce texte c'est mieux passé (j'ai même laissé surgir un éclat de rire au moment de la dernière réplique). Finalement ce texte tient plus ses promesses concernant la catégorie dans laquelle il se trouve, d'où la meilleure note. Au niveau du style j'ai bien aimé les descriptions rapides type nouvelle, déjà si bien maîtrisées dans Tortue-moi, et ce dialogue qui vient rompre justement ce côté rapide d'une histoire racontée dans un bar (ou ailleurs), lui donner un rythme différent. Bref j'ai beaucoup aimé, et ça devrait suffire comme commentaire ! Bonne continuation |
Anonyme
25/8/2012
a aimé ce texte
Bien
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Cela a un petit goût de Clochemerle qui ma foi n'est pas désagréable...
Le début et le corps se laisse savourer. l'idée de reconquérir ces messieurs par la panse, n'est pas neuve, neuve... mais pas non plus dénuée d'une certaine justesse. on peut juste regretter la disparition un peu rapide des danseuses... ce dernier artifice fait un peu pschittt et déséquilibre la fin d'un conte somme toute assez agréable à lire. et puis surtout, le texte est relativement court, donc dense ! Ce qui pour moi est souvent un plus, parce que cela laisse un parfum de rêve ! Car, à trop dire les choses... |
Tankipass
4/9/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une petite nouvelle comique très sympathique.
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Taou
19/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai reconnu le style qui me rappelait un autre texte ("Tortue moi") que j'avais lu mais pas commente. Je realise a peine que c'est le meme auteur pour les deux textes.
En somme, j'ai trouve le texte tres bien, mon "moins" vient du fait que c'est trop court, vous auriez pris plus de risque en le rallongeant un peu, surtout vers la fin qui est un peu abrupte. De meme, vous auriez gagne a etre encore plus subtil dans les sous-entendus, histoire de faire languir le lecteur. La scene avec le docteur reste mon passage prefere. Tortue, courges...serait-on friand de la nature et...des "rondeurs"? J'attends des nouveaux textes, j'ai hate d'en connaitre le contenu... |
carbona
11/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Ça fait beaucoup de vices pour une seule femme, elle est gratinée la Marie-Miel ! Cette histoire est fort sympathique, originale, bien écrite et amusante. Je ne vois guère l'intérêt de mentionner sa fertilité impressionnante si ce n'est pour en arriver à son appétit sexuel démesuré car je m'attendais à ce qu'on revienne sur les enfants par la suite et non ce n'était qu'un détail. La fin est intéressante mais aurait mérité d'être étayée ne serait-ce qu'en quelques lignes pour produire une effet plus important. Car elle est mentionné tellement rapidement qu'on n'a à peine le temps de la découvrir et c'était déjà terminé. Elle est trop expédiée à mon goût. L'expression "cueillir des courges" est excellente avec tout le quiproquo qui s'ensuit. "Tous les mâles du village se désintéressèrent instantanément du corps avachi de la fermière pour se pencher avec délectation sur celui, extrêmement plus appétissant, des jeunes nymphettes au déhanchement provocant." < "sur celui" le singulier me surprend Merci pour votre texte. |