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cherbiacuespe
4/8/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Le début de cette nouvelle, je l'avoue, ne m'a pas emballé. Mais alors pas du tout et je me suis convaincu d'aller au bout du calvaire, et tant pis! Voilà comment on peut se tromper et passer sur de belles petites histoires. Parce que de long en long, je me suis laissé prendre. Elle est finement ciselée cette nouvelle. Au fur et à mesure, on a envie d'en savoir plus, on est entraîné par une sorte de suspense. les mots tourbillonnent et vous accrochent, on doit aller au bout. Impossible de faire autrement. Et je dois dire que la conclusion, de mon point de vue, est à la hauteur,. Un régal.
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hersen
7/8/2019
a aimé ce texte
Vraiment pas
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J'ai fini ma lecture parce que je le dois pour mettre un commentaire en EL. Sinon, j'aurais arrêté car non seulement je n'ai pas été captivée par cette histoire répétitive d'un vieux monsieur rêvant à de la "chair fraîche", mais aussi parce que l'écriture ne correspond pas, je crois, à ce qu'on peut attendre d'une nouvelle.
Le personnage principal est casse-bonbon à toujours répéter les mêmes choses, il n'y a rien de palpable ( c'est juste un trait d'esprit de ma part :) dans ce personnage. Il faudrait une écriture de haute volée pour apporter à ce sujet une densité émotionnelle, pour transcender la vieillesse et accompagner l'homme dans un monde onirique débarrassé de clichés. Cent fois sur le métier... Bonne continuation. |
wancyrs
16/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut à vous,
L'écriture est soignée et appliquée, on dirait une recette de cuisine suivie à la lettre jusqu'à la fin. Les descriptions sont justes et permettent de voir l'intrigue se dérouler comme un film. Les personnages ont de la profondeur, surtout le principal ; on vit avec lui ses désirs, ses plaisirs et sa détresse de ne peut-être jamais plus se délecter de ce qui abondait en son jeune temps. J'ai aimé la finale, lorsque Jolie vient frapper à la porte ; je parcourais le texte à toute vitesse dans l'espoir de voir ce qui allait se passer... puis c'est déçu, mais satisfait dans un autre sens que j'ai lu les derniers mots du texte ; le suspense a durée et la conclusion est remarquable : le vieil homme ne sera pas dépossédé de ses illusions, unique richesse qui lui reste pour tenir jusqu'au bout de sa vie. Merci pour ce partage ! Wancyrs en EL |
plumette
21/8/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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je crois que ce qui m'a plu dans ce texte c'est le contraste entre ce que cet homme vieux et malade dit de son propre corps et ses rêves d'autres corps, ceux des femmes, certes, mais également son rêve de corps en bonne santé.
Il y a du pathétique car on sent bien la solitude de l'homme mais aussi de la réflexion comme à propos de la différence entre belle et jolie que je trouve assez bien explicitée. le fait que le texte utilise la première personne crée une proximité et m'a permis d'éprouver une empathie pour cet homme qui a encore ses rêves pour se sentir vivant. La fin est assez improbable mais qu'importe! un bon moment de lecture. Plumette |
emju
11/9/2019
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas accroché à cette histoire que je trouve assez lourde à lire. Ce ne sont que des élucubrations pathétiques et quelque part misogynes à mon sens. J'ai cependant apprécié la description de la différence entre belle et jolie...
Pas d'autres commentaires |
Donaldo75
11/9/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Juju,
J'au trouvé cette nouvelle agréable à lire. C'est bien écrit et l'histoire a du corps. Il y a une forme de poésie douce dans la narration, et le fond possède une tonalité presque philosophique. Je crois que c'est pour ça que je l'ai trouvée plaisante à lire, et à relire. Bravo ! Donaldo |
Malitorne
11/9/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Je pensais lire une nouvelle audacieuse qui bousculait les pudeurs, la bien-pensance, et ne trouve au bout du compte qu'une production bien conformiste. Vous étiez pourtant gaillardement parti avec les vieux et la chair fraîche, hélas sans doute apeuré par votre propre audace vous êtes rentré vite dans le rang. Or tout le génie aurait été, au contraire, de poursuivre sur ce brûlot, d'affirmer que les vieillards ont le droit de désirer les femmes, belles ou jolies, tant qu'ils ont de la sève dans les couilles. Voire de les prendre si l'occasion se présente et qu'elles sont consentantes. C'est la vie, la nature, cessons de les enterrer à la première incontinence !
Mais vous n'avez pas osé, préférant cantonner ce vieil homme à l'orée de sa mort dans le rêve et l'illusion. C'est ici où votre texte se casse la figure, devient l'exact opposé de ce qu'il annonçait au début, peu servi au demeurant par une écriture banale. |
maria
11/9/2019
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Bonjour Juju,
A la fin d'une vie, désormais solitaire et dolente, ce vieil homme se permet une analyse crue de la femme et de son corps en particulier. La vieillesse limite l'expression des sens : thème intéressant. Mais la lecture de ce texte ne m'a pas été agréable : Une écriture lourde, par exemple : " Je me retroussais les babines..." Et j'ai'ai du mal à croire qu'il pense à un corps de femme après avoir vomi ! Dommage car l'auteur(e)? aurait pu joliment choquer ! Merci pour le partage et à bientôt |
senglar
12/9/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Juju,
Bien sûr ! Le corps n'est qu'un support. Un reflet de l'âme, le logis d'un esprit, qui n'est plus bon qu'à jeter, objet inanimé, une fois que l'esprit s'est éteint, boîte vide, emballage inutile. Je n'en pense pas moins que votre vieillard "magnifique" de rêves étoilés est gros-jean comme devant à la fin de votre histoire et que les femmes qui le regarderont mourir (et qui mourront d'ailleurs avec lui) seront plus éthérées que charnelles, déjà des anges quoi. J'ai trouvé intéressante cette distinction entre Belle et Jolie. - La locataire du rez-de-chaussée est Belle. Elle est accorte. - Sa copine grassouillette dans un premier temps est Jolie. Pas forcément accorte au départ. - Après transformation elle est Belle à son tour. Mais dans sa tête elle est restée Jolie. En fait elle est Jolie et Belle. Peut être accorte ou pas. Tout cela demande à être réfléchi. Un ! Deux ! Trois ! Je pense... Couchera ?... Couchera pas ?... Couch... ?... ... Dur Dur ! Lol Senglar :))))))) |
placebo
13/9/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai bien aimé l'écriture, je la trouve maitrisée.
Et l'auteur a un peu de hauteur sur son texte. Ex : le cancer qui reviendra, pas les cheveux, le cancer revient. Un poil trop d'adverbes peut-être ? Ex : Je les saluai de la main, discrètement, élégamment Moins aimé "La concierge m'a dit où vous habitez […] Je ne connaissais pas les femmes", je trouve la psychologie simpliste comparé au reste du texte, qui m'a intéressé. Bonne continuation, placebo |
Cristale
14/9/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Juju,
87 ans, il est permis de rêver non ? Et puis je pense toujours que les hommes ont la chance de connaître le plaisir de tenir de jolies formes entre leurs mains, notamment celles des femmes...et d'en garder la caresse de souvenirs immortels. Ce doit être une souffrance que d'être privé de ces instants sensuels et charnels. Le désir ne meurt jamais. Quelques pensées et propos misogynes oui mais, vu l'âge du personnage...il a l'excuse de la franchise et de la naïveté. L'éducation n'est plus la même à ce propos. Tout semble réel jusqu'à cette sonnerie à la porte de l'appartement à une heure du matin. Sans doute la fièvre ou les traitements pour soulager la fin de vie ont-ils provoqué ces instants oniriques : jusqu'au bout il lui sera impossible de toucher cette chair convoitée, seulement rester dans l'illusion. C'est dur. Perso, je n'aurais pas laissé la réponse de Jolie après le mot "caresse" du personnage masculin, pour finir le texte sur une note plus douce : "Enfin, je pourrai mourir et rêver pendant l’éternité." N'étant point critique littéraire, je livre mes impressions comme je les ressens, en toute simplicité. Merci à l'auteur. Cristale |
ANIMAL
14/9/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’ai bien aimé cette histoire.
En d’autres temps, on aurait dit de ce monsieur qu’il était un vieillard libidineux mais, de nos jours, on admet enfin que la vieillesse n’est pas toujours le naufrage que l’on prétend et que le désir peut subsister. Si notre ancien aime regarder les femmes, supputer leurs qualités et apprécier leurs défauts, ma foi c’est son droit. Je ne vois rien là de mysogyne. Ce brave homme qui a la nostalgie de sa vie sexuelle et sensuelle aime les femmes et la sienne lui manque. C’est très naturel et il reporte ce manque sur l’observation de « belles jeunesses ». Si ses pensées sont parfois crues, il les garde pour lui, c’est tout ce qui compte. La référence aux personnes âgées qui aiment la compagnie et le contact des enfants est très juste, ceci sans connotation sexuelle. La fréquentation de la jeunesse apporte bien du bonheur aux anciens en les forçant à sortir de leur routine. C’est si vrai que l’on organise un peu partout des rencontres entre des classes de maternelles et les pensionnaires des maisons de retraite pour lutter contre la solitude et reconstruire le pont entre les générations. Encore une chose très bien observée, lorsque l’homme dit « – Vous êtes jolie » à cette femme qui se barricadait derrière son rempart de graisse. Un simple compliment, une parole gentille, peuvent réellement changer la vie d’une personne qui se dépréciait, à tort ou à raison. Se sentir beau/belle dans l’œil de quelqu’un console de bien des avanies. A ce propos, la réflexion sur Belle/Jolie est très pertinente. A la fin du texte, si la demande du vieillard de « toucher » est compréhensible, elle dépasse les bornes de la bienséance. Néanmoins, il a eu la correction de demander et lorsque cela lui est refusé, il n’insiste pas. Donc rien de choquant. Sur la forme, quelques maladresses mais rien de rédhibitoire. Certes, « je me retrousse les babines » n’est pas très heureux mais on comprend l’image très « animal en rut » dont on a bien des exemples dans la nature. J’ai bien aimé la description des yeux verts « pas comme la peau d’un serpent, mais plutôt comme les feuilles d’un sapin » (hormis que tous les serpents ne sont pas verts, loin de là, et ceux qui le sont ont une multitude de nuances du clair au foncé). Et puis « la femme épaisse » est curieux ; la femme forte serait plus sympa. Plus bas, « ses formes floues et épaisses » est également étrange mais moins maladroit. Pourquoi pas son embonpoint ou sa corpulence ? Au final, j’ai trouvé ce texte psychologiquement bien travaillé. La forme mériterait un lissage et quelques retouches. |
Tiramisu
16/9/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour,
L'écriture est fluide, agréable à lire, il y a quelques petites lourdeurs comme l'abus de "mais" parfois. J'ai bien aimé le fond de cette nouvelle. La réflexion sur la vieillesse, la solitude, le corps qui a perdu beaucoup de ses capacités, il reste malgré tout l'homme jeune à l'intérieur de ce corps de vieillard, l'homme désirant. L'observation portée sur les femmes, entre belles et jolies, est crédible. La chute est intéressante, la gratitude de la femme pour ce petit coup de pouce est sympathique, tout ceci reste bien sage quand même. Il reste un fond un peu convenu, la beauté des femmes, leur obsession de minceur, un homme de 87 ans ne voit-il pas au delà de la beauté physique ? Flûte alors ... Merci pour cette lecture |