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SQUEEN
10/2/2018
a aimé ce texte
Pas
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Pour moi il ne se passe rien dans ce texte, c'est un simple compte-rendu qui ne m'emmène nulle part. On lit les actions successives se déroulées en bonne chronologie, pour ma part j'attendais que quelque chose arrive, pas forcément dramatique ni spectaculaire mais quelque chose. Je pense qu'un introduisant un élément perturbateur ou un changement de perspective de votre personnage, sur sa vie ou sur n'importe quoi en fait, vous auriez rendu ce texte plus profond. L'écriture est précise et fluide et donc plutôt agréable. SQUEEN
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Tadiou
11/2/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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(Lu et commenté en EL)
Je trouve que le thème est intéressant et pourrait faire vibrer. Hélas ! Pour moi il n’en a rien été et je n’ai pas ressenti une once d’émotion (d’où sentiment de frustration) ; je pense que c’est parce que j’ai ressenti l’écriture comme plate, descriptive, linéaire ; une écriture qui ne me permet pas de plonger dans le personnage. On passe d’une ambiance à l’autre d’une façon qui me semble artificielle et tout cela ne m’est pas crédible. Ni la peur, ni le soulagement, ni la joie… Tout m’apparaît anecdotique. Désolé. Auteur(e), comme c’est dans le genre « Réalisme/Historique », je pense que vous racontez votre expérience (qui a été sûrement forte pour vous) et je pense que c’est une bonne idée. Mais, à mon avis, il serait nécessaire (si cette nouvelle n’est pas publiée) de reprendre l’écriture pour faire plonger le lecteur dans le tréfonds du personnage et lui faire partager la forte émotion de cette « première fois » (et le lecteur ne demande que cela !!). En tout état de cause, merci pour cette lecture et à vous relire. Tadiou |
Marite
12/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Génial de vivre ce premier saut en parachute par procuration ... La présentation du récit, aérée en paragraphes bien dosés, facilite la progression de la lecture. L'écriture se fait oublier en faveur des sensations vécues par l'auteur. Une belle expérience relatée simplement et avec réalisme.
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hersen
14/2/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Le fait de centrer une nouvelle sur un premier saut en parachute est risqué, car au bout du compte, il n'y a pas d'histoire, le lecteur le sait et va donc s'accrocher à sa lecture en pensant que l'auteur va lui en faire voir de toutes les couleurs, qu'il va se passer quelque chose, en plus du saut. Il y a le mot adrénaline dans le texte, ben, oui, on en voudrait aussi, nous, lecteurs en chute libre…
C'est une description pas à pas d'un saut, mais rien de plus. A la fin de la nouvelle, je ne connais personne dans l'histoire. Même celui qui a sauté, après ses trois collègues, me laisse indifférent. Il ne m'a rien donné de lui. La 3ème personne nuit beaucoup, à mon avis, car les sensations très physiques, mais aussi psychologiques, ont besoin du « je », que ça nous vienne direct de la source, à nous lecteur,s et non pas « retransmis ». (j'utilise ce mot à dessein) Et puis, j'ai une grosse, très grosse interrogation : pas de TU en Lorraine ? Un avion avec quatre premiers sauts décolle à la fin du jour ? J'ai franchement un gros doute. Parce que le temps que l'avion monte à l'altitude requise, ça fait un petit bout quand même ; A force d'à force, on ne doit plus voir trop clair. Je m'appuie sur le premier paragraphe qui nous parle bien, ou je n'y connais rien, d'un coucher de soleil, non ? Je cite « Le jour commence doucement à décliner, teintant le ciel de cette couleur insaisissable, entre gris et bleu, embrasé par l’aura du soleil couchant. » Surtout qu'en aéronautique, on rigole pas avec ça. C'est un euphémisme de le dire ainsi. Le TU, personne ne discute avec ça : personne en l'air au-delà d'une heure qui varie chaque jour. Comme la marée, en somme. Je parle bien sûr d'aérodromes pas d'aéroport. Je suis donc très mitigée. hersen |
plumette
28/2/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Juvenal
je me suis demandée pourquoi ma lecture m'avait paru assez fade alors qu'il s'agit du récit d'un événement qui a manifestement laissée une forte impression à ce "il" . Deux premières fois en une, puisqu'il y a un baptême de l'air et un premier saut en parachute. le texte est presque trop écrit, le choix d'une écriture distanciée me semble affadir le récit. je vous propose un petit essai pour rendre le texte plus nerveux et plus en phase avec cette aventure. "Ça y est, l’avion a atteint la zone de largage, il ralentit, Le moniteur ouvre la porte d’un geste énergique : plus de barrière entre notre homme et son ambition. Il sera le dernier à sauter. La première s’avance, et s’installe. Le moniteur rappelle les consignes, et lance le compte à rebours : « Trois ! Deux ! Un ! » La jeune femme disparaît en un instant, comme happée par le vide. Notre homme observe les deux autres, puis très vite, il se retrouve seul avec le moniteur et le pilote. C’est son tour." j'espère que vous ne m'en voudrez pas de cette proposition, l'auteur étant bien sûr maître de son écriture et de son histoire! A vous relire Plumette |
Anonyme
28/2/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
J'ai bien aimé cette nouvelle. Un texte est pour moi réussi lorsqu'il me fait mettre à la place du héros ou de l'auteur. C'est ce qu'il est advenu, en lisant, je me suis cru dans l'avion puis au bout des ficelles jusqu'à l'atterrissage final. C'est bien décrit, autant de l'extérieur que psychologiquement. Dur de se retrouver dans le 'coucou' pour un premier vol : ça doit être quelque chose ! |
Bidis
12/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cette lecture m'a fait passer un très bon moment dans la mesure où j'aurais bien voulu faire du parachutisme étant jeune. Plus tard, je n'y ai plus pensé, mais en fait, ce texte me fait réaliser que ce vieux rêve est toujours là. Je pense que l'écriture simple, précise et directe aide à s'identifier au personnage, d'autant qu'il n'est pas dessiné autrement que comme un néophyte dans un sport pour moi extrême.
Et, j'y pense, il aurait mieux valu, je trouve, dire "La première des néophytes s’avance" au lieu de "La première de ses compagnons" qui, pour moi, ne va pas du tout. Ou alors "la première de ses camarades" qui vaut pour le féminin autant que pour le masculin. |
Thimul
4/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé cette histoire.
Mais je n'ai pas vraiment vibré. Il manque quelque chose, un enjeu. On sait que ce premier saut est très important pour lui mais on ne comprend pas vraiment pourquoi. C'est dommage parce que le dernier paragraphe éclaire un peu plus les motivations (cette perte du goût de l'existence) et je crois que vous auriez du insister là dessus dès le début : qu'il cherchait quelque chose de perdu. Vous auriez donné je pense plus d'épaisseur à cette aventure. Au plaisir de vous lire à nouveau |
Donaldo75
27/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Juvénal,
Je dois faire partie des nombreux lecteurs qui n'ont pas expérimenté le saut en parachute; je suppose que ce doit être effrayant au moment où le corps doit se lancer dans les airs. Ce texte décrit bien cette expérience, dans l'avant-saut. Il n'en fait pas trop, puisque le personnage veut réussir sa première fois et s'est durement entrainé pour. Peut-être qu'il reste un peu froid, le texte, quand il s'agit d'aborder la montée d'adrénaline, l'envie de recommencer, la victoire sur soi-même. Mais, et je comprends, c'est un choix de l'auteur de rester sobre même dans ce pic d'émotion. Merci pour le saut. Donaldo |
Lulu
1/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Juvénal,
J'ai vraiment beaucoup aimé ce texte qui m'a agréablement surprise par sa qualité d'écriture, sa dynamique, et son thème. L'écriture est simple, claire et fort plaisante à parcourir. On aurait pu s'embourber dans un vocabulaire technique qu'aurait découvert notre personnage avant de partir ou au travers des moniteurs, mais non, on reste dans quelque chose de simple, à la portée de tous, comme si nous étions susceptibles de vivre une telle aventure. La dynamique du texte me semble provenir tant de l'écriture (on trouve souvent des phrases simples, courtes, qui ponctuent l'ensemble) que de l'action progressive que je trouve belle, intéressante et faite de suspens. Pour moi, en effet, même si l'on devine les événements - et même le dénouement -, tout est dans les sensations qu'éprouve le personnage qui "n'avait jamais quitté le plancher des vaches". J'ai d'ailleurs été touchée dès le départ avec les sensations éprouvées lors du décollage. Je trouve que vous avez su rendre ce décollage réaliste, car on a vraiment cette impression de partir avec ce personnage qui voient très vite "les gens minuscules"... C'est le travail que vous avez mené sur une ponctuation maîtrisée qui l'accentue... Concernant le thème, j'ai sans doute aussi été séduite parce que j'ai peur de monter en avion, éprouvant un vertige très vite... J'ai donc lu, il est vrai, avec un intérêt supplémentaire cette histoire qui mène quelqu'un au bout de son défi. Puis, je trouve que c'est sobre. Il n'y a pas de lourdeur dans le style ou dans la narration. Vous auriez pu tomber dans le piège - ce que j'aurais fait à coup sûr - de trop insister sur sa peur, ses impressions. Or, vous dites juste ce qu'il faut pour laisser le lecteur goûter et apprécier l'ensemble. Enfin, j'ai apprécié le côté aéré du texte. Au grand plaisir de vous relire. |