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alvinabec
9/5/2013
a aimé ce texte
Bien
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Ah! l'exégèse fictionnelle, la meilleure en soi, bien sûr...Il n'empêche celle-ci me laisse sur ma faim, comme si cette nouvelle n'en était pas une in fine, mais c'est pêchu quand même bien qu'un peu court.
La phrase 'le héros errerait...homme' me semble à revoir entièrement pour la discordance de ses sonorités. |
brabant
17/5/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Kass,
Bon, eh ben vous connaissez vos deux lascars sur le bout des poings... et aussi la boxe. Trop de règles cependant là où j'aurais aimé voir une bagarre de rue. J'ai bien l'impression que le véritable KO de l'histoire ce soit ces deux gaillards qui vous l'aient infligé ; rassurez-vous le lecteur est knock down lui-aussi, assommé par ces géants. Vous avez dit "groggy" ? Tournée de "Papa double" ! Boire ET Ecrire... Lol ::D |
Anonyme
17/5/2013
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour, Kass,
Je n'aime pas me montrer désagréable pour une première, mais je ne vais pas tourner autour du pot : je suis déçu par le texte. J'attendais sa parution, depuis que j'ai vu hier le nom de Bukowski dans son titre. Pourquoi suis-je déçu ? Peut-être est-ce parce que je m'attendais à retrouver un peu du style de Buko. Ou alors parce que je pensais trouver une véritable histoire, ou alors une véritable réflexion. Peut-être parce que la nouvelle de Chinaski que vous évoquez est très très loin d'être ma préférée. Bon, votre idée qui, si je la comprends bien, est une sorte de renversement de la nouvelle de Buko, n'est pas mauvaise. Lui imaginait un combat de boxe pour représenter la lutte littéraire avec son maître. Vous, vous imaginez réellement une lutte à la machine à écrire, qui finit par un coup de poing littéraire. Pourquoi pas, mais je trouve tout cela assez plat. Il faut pour y parvenir lire une sorte de mini biographie, de rappels concernant Buko et le texte qu'il a écrit, qui n'intéresseront probablement pas beaucoup le lecteur qui ne connait rien de l'un ni de l'autre, et apprendront que dalle à celui qui les connait. L'écriture est correcte, pas de problème de côté là, mais je me suis ennuyé. J'aurais préféré plus de rudesse là où je n'ai trouvé que platitude. Tant qu'à faire, pourquoi n'avoir pas imaginé, après que les deux aient terminé leurs nouvelles respectives, qu'ils se soient envoyés leurs machines à écrire à la gueule ? Enfin, ou autre chose, je sais pas, mais quelque chose qui bouge, alors que là... Désolé. Ce sera pour un autre texte, j'en suis sûr. |
Anonyme
18/5/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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A mon humble avis, quelqu'un qui s'intéresse à Hemingway (qui n'était pas si gigantesque que ça, sous le rapport de la taille - pas plus d'1 m 80 alors que Flaubert "notre maître à tous" dixit Hemingway faisait déjà 1,83 m à 18 ans), et Bukowski (combien mesure-t-il, lui ?) ne peut avoir que de bons fondamentaux pour l'écriture, même si ce texte, malgré tout ce que je peux lui trouver d'attachant, reste très perfectible.
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AntoineJ
18/5/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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bon .. depuis le début j'ai attendu quelque chose de "vif" de "dérangeant" de "brutal" ...
je n'ai eu que : "Il est à dire que le héros de la nouvelle que Bukowski écrirait ne serait que Chinaski lui-même jouant son rôle de toujours : un bruyant picoleur au fond d’un bar sombre. Elle serait bien construite, plaisante et gorgée de surprises. Elle aurait une chute qui fonctionnerait comme un coup de poing donné sous le menton projetant le corps en dehors du ring. Et la vie semblerait après digne d’être vécue, car toute hypocrisie en serait délestée." => ben ... elle est la nouvelle alors ? Bref, bien écrit, exercice d'érudit, intéressant mais sans âme, sans fun, sans dérive, ... |
in-flight
25/11/2018
a aimé ce texte
Pas
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A travers vos analyses d'analyses, il y a un effet poupée gigogne, une sorte de méta-littérature.
Mais je n'ai pas saisi le sens du texte, j'y vois un hommage ou une interrogation historique, mais au final je suis resté sur le pas de la porte... |