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cherbiacuespe
25/11/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Pire que de soupçonner des complots partout : n'en voir jamais !
Cette nouvelle est très bien rédigée. Chaque mot est pesé, composé sans faille. Les péripéties sont placées avec finesse, au bon moment de son déroulement. Cela se lit sans lassitude, avec un intérêt appuyé. Le sujet abordé n'est pourtant pas si simple en faisant allusion à la situation actuelle. Le piège est grand entre ceux qui se trompent avec une régularité de métronome sans jamais vouloir le reconnaître, et ceux qui font preuve d'une imagination fertile. Une analyse au vitriol d'un contexte qui se détériore en camouflant soigneusement les ambitions des uns et des autres. |
SaulBerenson
25/11/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Covid version Stasi il fallait y penser.
Référence à Aldous, à qui même on ne peut plus se fier. Ecriture limpide et digeste. Peut être quelques clichés auraient pu être évités; laisser Morphée dormir tranquille par exemple. |
Anonyme
21/12/2020
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Bonjour KevinL,
Votre texte montre la polarisation d’une société entre les tenants de deux extrêmes et le combat idéologique entre ceux-ci. Par l’ironie qu’il utilise, il entend éclairer la vérité par le triomphe du mensonge ou de l’égarement intellectuel. Par le décès de Georges, vous nous faites comprendre qu’il est mort par les moyens qu’il a lui-même contribué à mettre en place. Je comprends que la brièveté du texte, que j’imagine voulue, contraint à brosser la situation à gros traits. La position adoptée par le texte est très claire. Ce que je regrette un peu, c’est qu’en cela, il ne fait que poser une thèse sans apporter réellement d’éléments de réflexion, de doute. Certes, vous opposez les millions de morts dus à un vaccin aux quelques dizaines de milliers de morts par le virus et c’est un début de mise en balance des gains et des bénéfices, de la réalité et du fantasme, mais il est tellement caricatural et fictionnel que le lecteur ne peut, je pense, qu’en sortir avec le sentiment d’avoir été confronté à l’une des deux thèses extrêmes sans qu’aucun des convaincus d’un camp ne puisse sortir du sien, voire même à s’y trouver conforté. Je pense même que le sujet est tellement passionnel, désormais tellement polarisant, qu’il serait plus efficace de l’aborder par un autre sujet avec lequel la comparaison puisse être faite, plus subtilement dans le cours de la lecture et non dès le départ. Un sujet moins polémique, au sujet duquel un lecteur puisse se mettre en position de réflexion préalable et non de confrontation d’a priori matraqués et intégrés. Il en existe. L'urgence est moins de démontrer une thèse que de soustraire le lecteur à la culpabilité imposée par les questions qu'il pourrait se poser, ce qui devrait pourtant être un signe de bonne santé mentale. |
Charivari
22/12/2020
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Bonjour.
Comme j'ai lu la nouvelle je vais la commenter.... Pour commencer, je vois qu'il s'agit d'un sujet "franco-français" avec des allusions à votre ministre de la santé, au dr Raoult, ce qui pour moi, habitant l'étranger, reste quelque chose de vague. J'avoue tiquer un peu sur cette critique acerbe, aux traits tout à fait caricaturaux, surtout parce que je ne suis pas d'accord avec la critique en question, mais c'est une question idélogique, donc qui n'a pas forcément sa place dans un commentaire littéraire. Disons que je pense qu'il y a beaucoup à dire sur les "fake news" et la propagande officielle des médias généralistes qui ne vaut pas mieux, mais très franchement, pas sur le thème du vaccin. Enfin, encore une fois, c'est une question d'opinion: je trouve le trait grossi et surtout déformé. Côté positif, c'est bien écrit et la chute est sympa, et puis il y a deux ou trois formules intéressantes qui m'ont fait sourire. Bonne continuation |
Corto
23/12/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ce texte ne m'a guère passionné.
L'inspiration est basique, utilisant un phénomène de société en pleine actualité. Le décalage minime avec une réalité que chacun essaie d'appréhender avec les multiples incertitudes que l'on connait ne lui donne pas de force. La place de l'imaginaire est très réduite. Le dilemme entre liberté individuelle et vie en collectivité est traité de façon caricaturale. Un texte ambitieux ou égaré dans des enjeux qui le dépassent. Avec mes regrets. |
fugace
23/12/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cette petite nouvelle en catégorie fiction m' a bien plu.
L'idée du ministère de la Vérité vraie et absolue est une jolie trouvaille. Il est vrai, qu'actuellement on n'est pas à l'abri d'un nouveau comité "Théodule" complètement abscons! Le décodage est fort simple, il suffit de se laisser "bercer" par les médias pour retrouver tous les ingrédients de l'actualité, y compris l'ambition effrénée du sieur George puis de son successeur Jean qui purement et simplement l'ôte de son chemin d'un coup de balai. Les écrits de fiction sont connus pour décrire des situations qui ne surviendront que beaucoup plus tard. Je crains que celle-ci ne connaisse une échéance pas si lointaine. Merci pour ce bel écrit. |
Anonyme
23/12/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
J'aime bien cette nouvelle : science-fiction aujourd'hui mais qu'en sera-t-il demain ? Alors que toutes nos libertés sont lapidées par cette sacro-sainte crise sanitaire. Faites le plus peur aux gens et vous en ferez ce que vous voulez, la maxime n'est pas d'hier. C'est bien écrit, peut-être, un peu trop de détails par endroit mais la satire ne manque pas son but. Ah ces complotistes, il faudrait les éliminer avant qu'ils ne fassent trop de dégats. |
Babefaon
7/2/2021
a aimé ce texte
Bien
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COVID-23 vs COVID-19, que le temps passe vite ! Et finalement les choses n'ont fait qu'évoluer dans le mauvais sens, c'était plutôt prévisible.
Un récit d'anticipation qui pourrait presque s'inscrire dans notre époque tant les choses vont vite, et qui pose de nombreuses questions. Qu'en est-il de la responsabilité citoyenne, de la liberté de choisir si tant est qu'on nous la laisse encore et pour combien de temps ? Vaccins vs Anti-vaccins. Un sujet qui fait déjà polémique et qui gronde. Dans une société où nous sommes de plus en plus connectés, avec des applications pour tout et n'importe quoi, qu'en est-il de l'humain hyperconnecté ? Georges n'est plus qu'un numéro qui s'exécute et exécute les ordres qu'on lui donne jusqu'à ce que quelqu'un d'autre prenne le relais pour le remplacer dans l'indifférence générale. Comme si ça coulait de source et sans que personne s'en émeuve. Une question demeure malgré tout : le fait de laver son masque à 30° seulement, n'aurait-il pas contribué à ce qu'il contracte la maladie plus vite ? |