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florilange
12/8/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Évidemment, c'est une souffrance forte, réelle, insoutenable. Donc pas agréable. Donc efficace.
Le genre de récit qui calme. Des fois qu'on aurait eu des velléités de... Il est dommage que ce texte, assez bien rédigé, soit de moins en moins soigné au fur et à mesure qu'on approche de la fin. Il y manque une sérieuse relecture. |
shanne
15/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Très bien exprimé ce manque d'un produit toxique et ses conséquences -La douleur enserre mon esprit, les sons qui semblent être amplifiés, le tic, tac, le cœur qui s'emballe... -Une carcasse qui s'écroule, les différentes parties de corps se sont disloquées Et ce cri, oui, le cri d'une bête, notre propre cri... L'instinct de survie, j'imagine bien ce sursaut de dément, fuir le couloir de la mort( plus de notion d'espace) être à l'extérieur...oui, mais sans force avec comme compagnie les bruits et des chiffres qui deviennent une obsession, et , là, le trou. Un réveil difficile dans un lit attaché mis sous perf, la douleur de nouveau présente, une ombre apparait...et de nouveau les bruits d'une pendule, ce couloir sans fin...la pluie, plic ploc Bravo |
Lunastrelle
19/8/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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La manière dont a été traité le sujet est à la fois personnelle, mais aussi "pédagogique"... Chacun peut se retrouver en ce patient en manque, et nous rappelle que nous sommes tous fragiles, que nous pouvons connaître le même sort...
C'est une facette de la folie aussi si l'on regarde bien, le manque (et la substance dont on est en manque) détraque le cerveau jusqu'à ce que l'on ait une dose... En revanche, le texte souffre de petit problèmes de style, le relire pourrait éviter les répétitions, les lourdeurs dans la syntaxe, etc... |
Perle-Hingaud
19/8/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un sujet extrêmement complexe à traiter. J’y ai vu, pour ma part, des phrases percutantes, des idées fortes, mais également des maladresses qui rendent certains passages artificiels.
Principalement la description de l’état de manque à la première personne : ces passages sont narrés et non vécus, à mon sens. Pour me faire comprendre : « Je ne peux plus penser » : dans cet état, comment peut-il formuler aussi clairement cette phrase ? idem : « Je n’ai plus de relations entre l’instinct et l’acquis » : si l’auteur veut nous faire vivre, dans l’instant, cette sensation, il ne peut pas la formuler aussi nettement, avec un tel recul. Dans une première partie, l’auteur veut apparaître tel une loque humaine, et, sans transition ou presque, il part sur une théorie qui dérive sur les nombres premiers. Je trouve cela très étonnant. J’aime bien la litanie débutant par : « Je te manque… », ainsi que les sons, externes (la pluie…) ou internes (le cœur). La deuxième partie me semble plus « naturelle », malgré son aspect moins travaillé, je la préfère. Au final, un thème difficile, un texte qui ne réussit pas à le maîtriser totalement, à mon avis. Bonne continuation à l’auteur. |
Anonyme
24/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'écriture est fluide et la mise en page est plutôt bien vue.
une vraie performance de parvenir à parler à partir de quelqu'un en état de manque. Des passages un peu trop intellectualisés et peu crédibles de la bouche de celui qui subit le manque par exemple : "Je dois agir, sinon je disparaitrais totalement dans ce néant qui m’attire. ... Solution définitive et repoussante." Des images fortes : "Cette fois dans la rue, écrasé comme une merde sur le trottoir... Je régresse. Je disparaît." Des passages un peu longs avec les chiffres, un peu moins avec les lettres, surtout la conjugaison " Je te manque,... ils nous ont enchainé."J'ai trouvé le choix des verbes intéressants. Bref, belle performance mais qui aurait gagné en davantage de phases délirantes et moins intellectualisées. |
Yaya
22/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une écriture magnifique (qualité des verbes choisis entre autres), belle dans ses égarements et cette tentative désespérée de s'accrocher à un sens devenu lui aussi harcelant, incontrôlé. Vous avez su communiquer l'essence de ce manque en choisissant des images ayant des passerelles avec d'autres expériences plus communes, et je pense que cela est la principale qualité de cette nouvelle. Pour toutes ces raisons, j'ai adoré. Merci.
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Anonyme
22/8/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'ai beaucoup aimé la fin. Plus forte, plus touchante d'une certaine manière.
Le reste m'a moins plu (par comparaison). Cela n'en était pas moins dur quand il le fallait et très bien exprimé. Une description très réussie sans doute qui rend bien ce manque-là. J'aurai aimé, peut-être, que ce texte puisse être valable et puisse davantage exprimer toutes les sortes de manque. Merci. |
Eric-Paul
24/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un sujet rarement abordé, un joli style, un bon rythme, quelques verbes bien choisis, au service d'images très fortes ...
J'emporte avec moi " ... je me précipite vers l’extérieur. Rebondissant entre les murs du couloir comme une balle magique lancée par un athlète fou" continue !!! |
Anonyme
2/11/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Dans un sursaut de dément" .. je trouve que "dans un sursaut de démence" ça a aurait eu plus de style.
Pour moi c'est un très très bon texte. Il m'a rappelé certains moment de débauche ^^. Plus sérieusement, c'est vraiment bien construit, et on sent ce que le personnage ( ou l'auteur..? ) ressent, on comprend, on compatit, on est lui. Vers la fin un aspect répétitif un tout petit peu lassant tout de même. Mais vraiment, très bon texte; bien écrit et bien construit. Bonne Continuation, BadWolf |
arnotikka
4/2/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Grande maitrise, dans les mots comme dans la mise en scène. Un peu trop descritif à mon goût, très professionnel, raconté mais pas vécu. Je préfère le langage populaire plutôt que la littérature. Mais dans son style, je reconnais que ce texte est bon.
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