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Bidis
16/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le personnage de Simon ne m’a pas accrochée. Je pense qu’un fait ponctuel rend un personnage plus vivant que de donner plein de détails sur sa vie, avec un tas de personnages (l’ami, le cousin, le père, la mère, le collègue de la mère, la tante, les deux sœurs jumelles...) L’on se demande si ces détails sont vraiment importants dans une nouvelle forcément courte.
L’auteur pourrait juste parler de la tante, parce que la question de l’hébergement est importante. Il s’agit de l’environnement du personnage. Et en fait, au moment où la mère téléphone, je ne sais plus très bien où il habite exactement. Non seulement, il y a trop de détails mais en finale, rien n’est très clair quand on arrive aux vacances. Là on reparle de la tante et tout ce qui en est dit pendant les vacances aurait avantageusement pu être dit précédemment, en balayant le reste de la famille qui ne semble pas avoir d’importance dans l’histoire. Le narrateur dit « Manuela » comme si ce prénom coulait de source sans que ni l’auteur-narrateur, ni la jeune femme elle-même, n’aient eu besoin de la présenter. L’histoire, elle, est jolie, bien que trop fleur bleue pour moi. Si j’avais pu m’attacher aux personnages, ce « défaut » ne m’aurait pas dérangée. Mais cela n’a pas été le cas. Et l’écriture ne me semble pas assez remarquable pour y remédier. Edit 16/9 En ce qui concerne l'écriture, à la relecture, j'ai trouvé certaines phrases très jolies ou évocatrices et donc revu mon opinion sur ce point. |
Shepard
26/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Une histoire ou un conte je ne suis pas sûr. Je n'ai pas trop l'habitude de commenter du Sentimental mais voilà, votre pitch du geek et de l'aveugle m'y a poussé. Je dois dire que ça change un peu... Le style est simple, mais un peu lent. Surtout le début qui met longtemps à démarrer, est-ce que toute les précisions sur qui fait quoi pendant les vacances, comment le campus se vide, etc sont-elles nécessaires ? De même que les histoires de famille finalement (la mort du père par exemple). La simple précision que Simon est timide, pas très beau, et passionné par son travail/étude suffit à poser le décor pour moi. J'aurais préféré un peu plus de texte sur la rencontre, et les mots échangés entre Simon et Manuela. Finalement il n y a un dialogue qui ne dit pas grand chose. L'aspect vouvoiement m'a aussi déstabilisé en premier lieu bien que cela finisse par changer. Également, j'ai trouvé étrange qu'une personne solitaire esquivant le contact en publique comme Simon étreigne Manuela. J'aurais imaginé l'inverse. "Il devine à présent ses yeux gris comme le velours" Je n'ai pu m'empêcher de penser à la possibilité qu'elle pourrait très bien avoir un œil qui m--- à l'autre. Bon certes, bien moins romantique mais ça aurait était beaucoup plus drôle pour l'histoire ! Le dernier paragraphe sombre un peu trop dans la mélasse amoureuse pour moi, mais je sais qu'on dit souvent des truc mielleux du genre quand on est amoureux donc ça reste crédible, et puis le texte n'en abuse pas trop non plus. Pour conclure, plus de dialogues auraient rendus le récit plus vivant (et surtout, auraient peut-être rendus le personnage de Manuela plus présent), ainsi qu'un démarrage un peu plus rapide. Mais une bonne idée avec l'opposition de l'handicap social vs l'handicap physique. |
Anonyme
28/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bon, très vite j'ai deviné le handicap de la jeune fille, c'est un peu gros comme une maison. Mais ça n'enlève rien à la qualité du texte que j'ai trouvé fort bien rédigé et qui m'a rappelé mes années - lointaines - de fac. Il y a juste cette phrase qui ne colle pas à la personnalité du narrateur : "Il libère ses mains chargées, lui fait face et étreint la jeune femme complaisante avec vigueur." Vachement entreprenant pour un type soi-disant timide !
En définitive c'est un texte qui dégage beaucoup de romantisme. Le thème du concours est traité d'une façon plutôt original. |
Anonyme
16/9/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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S'il s'était agi d'un roman, j'aurais lu tout le début jusqu'à l'apparition de la jeune femme avec plaisir, car l'écriture ne présente aucun écueil qui freine la lecture. S'agissant d'une nouvelle, qui plus est, avec une consigne précise, je n'ai cessé de me demander quand on entrerait enfin dans le vif du sujet.
J'ai bien aimé le passage où Simon s'interroge sur la couleur des yeux de la jeune femme. Ce passage-là répond à merveille au thème du concours. En résumé, j'ai trouvé cette nouvelle fleur-bleue agréable à lire pour son écriture parfaite. Et malgré certaines longueurs, j'ai tout de même trouvé mon compte dans l'attente du thème. |
wancyrs
16/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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L'écriture est prometteuse et l'intrigue amoureuse entrainante. Il vous suffira de vous débarrasser de certaines fioritures pour que votre style ait plus d'impact ; "La promenade en bord de mer se transforme en marche forcée pénible" Une marche forcée est déjà pénible non ?
"... et s’éloigne dans une jubilation intérieure victorieuse..." Jubiler est déjà synonyme de victoire non ? Wan |
Automnale
16/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Simon, jeune homme solitaire plein de complexes, est inscrit en master d’histoire. L’année universitaire achevée, il prend le train pour se rendre sur son lieu de vacances. A peine arrivé, il fait la connaissance d’une charmante jeune femme blonde portant des lunettes de soleil. La conversation s’engage… Le coup de foudre naît…
Le personnage de Simon est plutôt bien campé, à une ou deux exceptions près. Il est toujours célibataire, lit-on… Il doit y avoir beaucoup de jeunes étudiants dans ce cas, non ? Je me permets donc de proposer de supprimer le « toujours »… Par ailleurs, mais pourquoi pas, il est quand même de faible constitution ce Simon… Un peu de marche, et le voilà déjà, à son âge, essoufflé, déshydraté, souffrant de douleurs dans les mollets, d’ampoules aux pieds ! Ce qui ne l’empêche pas, ceci dit entre parenthèse et avec le sourire, de devenir soudainement, pour un garçon gauche et timide, entreprenant… A peine a-t-il fait connaissance de la dame que le tutoiement est de rigueur, la sensualité exacerbée, qu’il songe à des caresses susceptibles de cambrer les seins… Pour un rat de bibliothèque, il va vite en besogne ! L’auteur prend la peine - c’est bien - d’esquisser le contexte familial de l’intéressé : père mort d’un cancer du poumon, mère remariée et expatriée au Canada qui lui téléphone de temps en temps, sœurs jumelles vues en photo. Et une tante... Mais installons-nous à la terrasse du café… Pourquoi penser (certes, nous ne pouvons guère contrôler nos pensées et encore moins celles d'autrui) à l’arrivée probable de l’amant de la jeune femme (qui pourrait attendre tout simplement une amie, ou n’attendre personne…) ! A ce propos, « Il ne l’imagine pas comme lui, isolée, introvertie… ». De qui est-il question ? Tel que c’est exprimé, il semblerait qu’il soit question de l’amant (alors qu’il s’agit de la jeune femme)… Simon vient d’évoquer son voyage en train. Peu après, il répète qu’il vient d’arriver par le train… Et, enfin, le prénom « Manuela » surgit dans le récit alors qu'aucune présentation n'a été faite... C’est avec beaucoup de délicatesse et de pudeur que l’auteur évoque la canne dépliée, et l’handicap qui en découle. Et puis, ceci est bien joli : « Son regard éteint a embrasé sa vie »… Et : « Tu as mis du sourire sur mes lèvres »… Ou encore : « Tes yeux et le soleil »… En conclusion, ce texte travaillé, détaillé à ce point que rien ne semble être laissé au hasard, se lit avec plaisir. Avec un personnage féminin dans la lignée de celui de « La Symphonie pastorale » d’André Gide, je croise les doigts pour que Lala obtienne, dans le cadre du présent concours, un certain succès. |
Pascal31
16/9/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Deux éléments sont venus contrarier ma lecture : le début est assez laborieux à mon goût. On met du temps à entrer dans l'histoire et à s'intéresser au personnage principal. Heureusement, la fin de la nouvelle offre plus d'émotion et est, à mon sens, mieux écrite.
Le second élément qui gâche un peu le plaisir, c'est qu'on comprend, au vu du thème, que Manuela est aveugle dès les premiers mots de sa description ("Ses lunettes de soleil larges et noires"). L'effet de surprise en est fortement émoussé. En résumé, la fin, plutôt réussie, n'est pas parvenue à elle seule à emporter mon adhésion dans la lecture de ce récit. |
papipoete
16/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour lala; je ne viens jamais lire les nouvelles, car les "rédactions" que j'ai soumis aux lecteurs n'ont pas retenu leur attention; mais je vois une poétesse qui a l'honneur de ces colonnes, aussi vais-je essayer de donner mon humble avis.
je me suis vu dans la peau de Simon, timide, mal dans sa peau, et si maladroit quand un minois lui fait face; comme lui, j'ai bredouillé, sûrement rosi lorsqu'une "inconnue" croisa mon regard, me sourit..." elle m'enverra sans doute promener ! pensai-je " Au contraire, telle Manuela, elle prit ma main et parvint à réparer mon coeur meurtri. Derrière ses lunettes de soleil, ne se cachaient point des yeux morts, mais des lacs de larmes que notre rencontre retint. Je m'égare avec mon histoire personnelle, mais la votre pourrait se superposer à la mienne. Manuela n'a pas vu les traits du visage de Simon, ni son physique disgracieux, mais elle a vu l'intérieur de cet homme qui ne fuit pas en découvrant le secret de cette "héroïne" à la Morgan qui lui déclare << tu as mis du sourire sur mes lèvres >>. Ses yeux éteints dans une nuit sans fin, brillent de bonheur au son des mandolines; Simon lui susurre << tes yeux et le soleil >> Belle romance... Arrive-t-il cependant à lui déclarer << t'as de beaux yeux tu sais >> |
hersen
17/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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C'est une jolie histoire sentimentale qui colle vraiment bien au thème du concours. C'est original, et bon, je dois être la gourde de service car tout le monde, au lu des commentaires, semble avoir rapidement deviné que la belle est aveugle. Moi, non. Quand j'ai lu qu'elle dépliait sa canne, je me suis dit " Tiens, elle est infirme ". Si on m'avait dit que la canne était blanche, je pense que c'était bon, j'aurais compris tout de suite.
Plus sérieusement, mon avis est qu'on met beaucoup trop de temps avant d'entrer dans le vif du sujet. Ce jeune homme est un solitaire. Les quatre premiers paragraphes n'auraient pu en faire qu'un seul pour l'expliquer. Quelquefois aussi, vous expliquez trop longuement. Pour dire qu'il a soif, par exemple. ( avec cette chaleur inattendue qu'il n'a pas comblée par un apport d'eau, ayant négligé d'acheté une bouteille d'eau à la gare.) Et je décroche un peu. Par contre, j'aime bien le déroulement de l'histoire une fois qu'on comprend qu'elle est non-voyante et leurs échanges à partir de là. La fin est vraiment sirop rose bonbon, mais on les imagine fort bien dans cet état-là. C'est logique, en fait. Un détail : Il me semble que azuréen n'est pas une couleur, mais une origine. Azur ou azuré est la couleur. ( sauf erreur de ma part). Edit :Erreur de ma part : azuréen est l'origine ET la couleur. Mes excuses. Merci pour cette lecture |
Anonyme
16/9/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je n'ai pas vraiment accroché. En effet, je trouve cette nouvelle un peu trop à "l'eau de rose", un genre que je n'apprécie pas spécialement. Dommage car c'est une belle histoire. De plus, j'ai deviné assez tôt de quoi il s'agissait, dommage aussi. Au final, l'histoire est beaucoup trop plate à mon goût et n'a pas su éveiller en moins cette corde sensible qui est pourtant un trait fort de mon caractère. Ne m'en veuillez pas pour ma franchise. Bien à vous, Wall-E |
Anonyme
16/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Lala
Ayant vu récemment un feuilleton de je ne sais plus quelle série télé où un jeune homme pas très sûr de lui et de son physique cherchait à rencontrer des jeunes filles aveugles via Internet, et du coup se retrouvait soupçonné d’en trucider une de temps en temps, alors qu’au final c’était un bon petit gars, du coup l’un des ressorts de votre nouvelle – la cécité de la dame – ne s’est pas détendu pour moi. À part cela il est vrai que quelques détails sont peut-être un peu superflus pour une histoire courte. Mais si je n’avais pas vu cet épisode télé récemment alors j’aurais sans doute trouvé de l’originalité à votre histoire, par ailleurs bien écrite. À vous relire. C. |
ameliamo
16/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un rêve romantique entre deux personnes ayant chacune son handicap.
Trop détails inutiles en ce qui concerne le personnage Simon et pour ça l’introduction est devenue longue pour une prose courte. Très bien écrit ce texte. Le style, la construction, la narration. Mais, son sujet reste un rêve romantique, pareil aux anciens films d’époque. Même si ayant un sujet édulcoré, c’est un plaisir de lire ce texte. |
Blacksad
17/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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La première partie est assez difficile à lire. On apprend tout de Samuel en quelques paragraphes et cette biographie condensée en début de texte est un peu lourde à mon sens. Le personnage de Samuel pourrait être dépeint par petites touches, avec quelques anecdotes (vous en avez d'ailleurs utilisé quelques unes).
Pour le reste, l'écriture est agréable et la rencontre romantique à souhait. J'ai volontairement fermé les yeux sur le thème du concours pour me laisser prendre à l'effet de surprise, et ça fonctionne. Quelques maladresses par-ci par là (notamment " il étreint la jeune femme complaisante avec vigueur" qui casse véritablement ce passage qui est peut-être le plus émouvant pour moi). Un texte agréable donc, gentiment romantique et avec un petit effet de surprise qui fonctionne assez bien si on reste objectif. Il manque cependant une sorte de force, de conviction dans les émotions. C'est très contenu. |
Acratopege
17/9/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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D'abord intrigué par l'écriture plate et élégante de cette histoire au contenu banal, je l'ai été encore plus de ne pas m'ennuyer en poursuivant ma lecture. Et la chute, douce, m'a charmé. Pas révolutionnaire, cette nouvelle, mais toute de charme et de délicatesse. Un regard clair sur le monde, malgré le thème abordé.
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AlexC
17/9/2015
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour lala,
Une femme aveugle, je ne m’y attendais vraiment pas. Bravo ! Mais au-delà de cette surprise, je n’ai pas trouvé votre texte d’un grand intérêt. Qu'un introverti un peu ermite tombe par chance sur une ravissante aveugle, c’est déjà gros, mais qu’il la “séduise” l’espace d’une conversation, cela devient énorme. Les personnes asociales n’étant pas réputées pour leurs talents d’orateurs. Il aurait donc fallu pour me convaincre de la crédibilité de cette rencontre insister sur l’alchimie qui s’est développée entre les deux, en me donnant des éléments concrets, en exacerbant leur complicité naissante, en soulignant leurs intérêts mutuels… Bref, j’attendais que vous me fassiez rêver et pourquoi pas d’avoir moi aussi un coup de foudre pour Manuela. Or, ici rien. Vous effleurez le sujet. La profondeur de leur interaction étant évoquée timidement. C’est flou et sans force, impossible de s’enthousiasmer de cette rencontre. Sans compter que le seul dialogue que vous nous fournissez est plat ; comme si deux collègues universitaires se donnaient rendez-vous après le boulot. Sur la forme, l’ensemble est très carré, propre sur soi. Peut-être un peu trop par moments, où les clichés littéraires pleuvent. Cela se lit bien en tout cas. Quelques remarques : -Vous utilisez le nom Manuela la première fois comme si vous l’aviez introduit auparavant, ce qui est un peu abrupt -Toute la partie initiale sur Simon prend trop de place par rapport à la rencontre qui est le cœur du sujet Je tique : “Il ressent ces contacts comme des efforts et s’empresse de prétexter une urgence, un rendez-vous à terminer.” “Il se sent aussi déshydraté, avec cette chaleur inattendue qu’il n’a pas comblée par un apport d’eau” “délicat chemisier” Bonne continuation Alex |
Perle-Hingaud
19/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour !
Un avis mitigé: votre écriture est agréable à lire, mais je n'ai pas été emportée. Au fil de ma lecture: - le premier paragraphe est trop long et général (le "on" n'est pas vraiment adapté) - la description détaillée de Simon lors de son entrée en scène est maladroite: mieux vaut le faire vivre, et laisser le lecteur se forger une opinion en l'observant. On n'a pas besoin de tout savoir non plus... - De jolies trouvailles, comme par exemple: " Les filles portent des polos sans manches aux couleurs acidulées et les garçons, gênés d'exhiber leurs jambes blanches, osent parfois un bermuda long.": j'aime bien cette phrase, elle donne de la réalité à la description (le sentiment de gêne). D'une manière générale, vous employez beaucoup de vocabulaire descriptif des sentiments, (sentir, ressentir, apprécier...) au lieu de laisser au lecteur le soin d'interpréter l'action. C'est dommage. Sinon, le rythme de votre écriture est lent mais agréable. Le fond de l'histoire est très doux, peut-être un peu lisse. Merci pour cette lecture. |
carbona
19/9/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
L'idée est bonne mais je trouve que le texte n'est pas harmonieux car les différentes parties ne sont pas bien proportionnées. La présentation de Simon est trop longue, insistante et répétitive sur son caractère, que l'on saisirait correctement en moins de lignes, avec des passages qui ne sont pas indispensables tels que les détails de sa relation avec sa tante (les coups de fil amicaux...). J'aurais bien vu en revanche plus de lignes sur la rencontre avec Manuela, faire un peu traîner la révélation, et mettre plus de pep's dans ce passage (les infos sur ses études de kiné par exemple n'ont pas un grand intérêt) qui est pour moi, le coeur du récit. Le dialogue entre les deux personnages se révèle aussi assez plat et ne colle pas trop à un vrai dialogue je trouve (ex : "et les échanges sont favorisés"). La fin manque également de piquant. On assiste à un rapprochement banal entre deux personnes. Je me suis demandée quel était l'intérêt de poursuivre après la révélation. En conclusion, l'idée est sympa mais je trouve que le récit gagnerait en intensité et en intérêt si vous accordiez une place plus importante à la rencontre en réduisant les informations qui ne servent pas l'intrigue. Par ailleurs, votre écriture est agréable à lire. Merci pour ce texte. |
lala
24/9/2015
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