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Tchollos
11/4/2007
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J'apprécie vraiment le style, j'aime ces phrases vives et courtes et le rythme général très musical. En revanche, je trouve le fond léger. On sent bien le côté "réaction à chaud". Peut-être avez vous écrit ce texte après le visionnage un peu rude d'un 20h de PPdA. Ca manque un peu de finesse. La guerre, c'est pas bien et l'eau, ça mouille. Vous voyez ce que je veux dire?
Bravo pour la plume. Au plaisir de vous lire. |
philippe
13/4/2007
a aimé ce texte
Un peu
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Il m'est difficile d'évaluer ce récit. le zapping évoque certe un rythme, mais le rythme de quoi?
Cette réflexion sans conclusion ne semble d'ailleur d'ailleur pas interroger. Elle pose les phrases courtes comme des pas que le vent efface. On sent l'auteur en pleine recherche. |
Maëlle
19/4/2007
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Euh, oui?
Ca ressemble à un poéme en prose, à une introduction pour un roman noir ou un thriller psychologique, voir de la SF. Mais là, comme ça, je dirais que ce n'est pas fini. |
Anonyme
20/5/2007
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C'est intéressant comme caricature mais ,pour sortir des commentaires littéraires ,depuis la dernière guerre en Europe et toutes ses horreurs il y a eu l'ONU et un droit internationnal d'ingérence pour en finir avec l'ignoble des conflits ...c'est donc léger du côté du fond.Il faut relire Freud aussi du côté de la pulsion de vie et de la pulsion de mort...C'est pas si simple camarade....Bonne continuation et sans hostilité...lol
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FABIO
11/9/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un constat assez brouillon.Beaucoup de questions, un style qui ne m'accroche pas.Le dernier paragraphe est le meilleur avec cette prose sur l'homme et sa passion "la guerre". Seul ce paragraphe m'aurait suffi.
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Max-Louis
11/9/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bon jour Laplume,
Sujet complexe qui manque de profondeur. Cependant, on peut faire court et puissant. Ce texte me paraît écrit à la sauce fadeur, C'est un peu triste tout de même sur ce plan. Max-Louis |
jaimme
27/12/2009
a aimé ce texte
Pas ↑
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L'homme ne veut pas mourir, il veut tuer car c'est l'ultime pouvoir.
Il pense que lui-même est immortel, mais lorsque la mort approche il se rend compte de son erreur. La forme oui. Le fond manque vraiment de recul. Tout est paradoxe chez l'autre. On appelle ça sa richesse, mais aussi sa pauvreté. Encore un paradoxe. Une indignation, et c'est déjà pas si mal. jaimme |
Anonyme
27/12/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Est-il vraiment nécessaire de porter à la connaissance du public le moindre embryon de ces pensées qui nous traversent tous plus ou moins, sans qu'on ressente forcément le besoin d'en exposer l'inanité aux yeux de tous. A moins, naturellement, de ne pas s'être arrêté à la première indignation et d'avoir porté vraiment cette pensée encore confuse sur le front de la réflexion ou de la recherche littéraire ou poétique.
Ce n'est malheureusement pas le cas ici et, en l'état, le texte n'a à mon sens pas plus d'intérêt qu'un monologue un peu confus entendu çà ou là au comptoir d'un bistrot un matin de déprime. |
kamel
28/12/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Laplume
Ce texte véhicule une confirmation que l'homme est un paradoxe, d'après la citation,"C'est moi qui vous le dit".Cette technique de l'écriture semble "choquer" du moins le lecteur pour partager ses convictions.En effet,"L'homme est un phénomène" "il vit " "il meurt"."Il excelle dans son appétit féroce pour la viande froide".Les arguments n'apportent en rien de l'espoir pour l'homme qui doit toutefois accéder à l'amour d'autrui,sinon prendre un écart de ces forces intérieures qui conditionnent l'être humain. Amicalement Kamel |
Anonyme
15/10/2013
a aimé ce texte
Un peu
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En commençant la lecture, je pensais à Prévert.
Je pense que le développement devrait aussi tenir compte du besoin de Pouvoir, qui caractérise, férocement, l'Homme. |
in-flight
18/7/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je crois que je me serais contenter de la lecture du titre. A la fin de ma lecture, j'ai le vague sentiment que vous avez défoncé une porte ouverte: Au plus près de la mort, l'Homme s'aperçoit qu'il aime la vie donc la guerre lui permet de se sentir vivant. Je suis assez d'accord sur le constat (qui ne l'est pas?), cependant ce "morceau" devrait s'inscrire dans un récit plus grand. Une réflexion laconique servie par un style atone. |
cherbiacuespe
12/4/2020
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Vices et vertus de l'humain et de l'humanité car c'est un animal, un individu qui vit dans un collectif...
Quand on s'immisce dans le domaine de la réflexion, surtout au sujet de l'homme, sa vie, ses espoirs, ses désespoirs, on se retrouve sur un fil tendu, en équilibre précaire. Ne pas chuter dans le cliché est périlleux et là on est tombé. Trop simpliste, trop résumé dans un style un peu trop chaotique à mon goût et des idées qui partent dans tous les sens. Je salue le courage de s'être attaqué à un tel sujet! |