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Cyberalx
30/7/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je pense que mes suppositions sont dorénavant fondées :
Tu es fou. Au cas où tu te poserais la question, c'est un compliment. Moi qui m'attendais à une parodie du grand Emir Kusturica, je n'ai trouvé ici que drôlerie montypythonesque et grand n'importe quoi organisé, bravo et merci pour ces larmes de rires. |
Absolue
30/7/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je n'ai pas tout compris mais j'aime beaucoup ce genre d'humour absurde:-) Et c'est super bien construit! Bravo!
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Pat
10/10/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Si y'avait pas eu cette panne, j'aurais pu être la première... Le texte me lorgnait avec provocation depuis hier, mais impossible d'y mettre un commentaire. Je ravale mon esprit de compétition... En fait, je t'ai déjà dit tout le bien que je pensais de ce texte. C'est encore plus délirant que Cortazar (et ses instructions), mais aussi dans le même type d'univers que Kusturika (que j'adore aussi)... En fait, un mélange de plein de choses, (c'est ce qu'on appelle l'intertextualité) qui est à mourir de rire. Un humour décalé, avec plein de degrés, à relire plusieurs fois car c'est tellement riche qu'on en découvre toujours... Même si au début j'ai cru que j'avais un nouvel ennemi des chats à combattre ! Et que je commençais à sortir mes griffes. Mais un énorme éclat de rire m'en a empêché (t'as de la chance !).
Ce qui est particulièrement intéressant dans les textes que tu proposes c'est leur diversité. Ici, on rejoint l'ubuesque avec des images qui nous parlent (ouais je sais, ça parle pas des images, mais tant pis !) et un looser vraiment ridicule (individus que j'aime passionnément... en littérature uniquement !). Merci de nous faire partager une créativité aussi riche... Et que tu exprimes avec une aisance remarquable (je suis jalouse! Tant pis, je ravale ma jalousie !). Edit du 10/10/2009 : intéressant de relire ce texte qui ne vieillit pas. En fait, ce qui le rend particulièrement attrayant à mes yeux, c'est le ton, l'inventivité dans les digressions, typique du style de l'auteur quand il fait de la quasi impro (comme dans la "fuite de Milou"), inventivité où l'humour est d'une grande finesse. Mais ce qui je trouve réussi, là, c'est que l'auteur ne perde pas le fil. Il s'échappe dans ses digressions, mais revient sans cesse... Du coup, on ne perd pas le fil. C'est un exercice difficile (et périlleux) car cela rend les digressions tout à fait indispensables (ce qui pourrait être paradoxal) et font écho au thème central. Cela donne la cohérence indispensable à un texte, malgré sa nature plus que fantaisiste (déjantée). |
Togna
31/7/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Je n'avais jamais lu Larivière. (Pardon, mais ce site est infernal, on ne sait plus où porter son attention !) La drôlerie et l'ingéniosité de ce texte me le font regretter.
La recette est compliquée, elle se prolonge au fil des paragraphes sans jamais lasser. (Je ne suis pas certain de l'appliquer lorsque le chat noir m'assaillera.) Toutes les phrases sont bien construites, ce qui est un exploit pour certaines particulièrement longues. La loufoquerie de l'intrigue repousse sa critique. Pour corroborer le propos de Cyberalx, je dirais qu'il y a un peu de folie dans cette histoire, mais ne faut-il pas qu'un auteur soit un peu fou pour être bon ? Merci Larivière |
Pattie
31/7/2007
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Juste après avoir corrigé cette petite merveille, je suis allée voir ce qu'il y avait de neuf sur le forum, et j'ai trouvé cette intervention de Cyberalx sur "Absurdus Virtuelum Encyclopediae", page 2, et vraiment, avec la perspective, c'était... bien fait ! (Vive les chats !) Un bel hommage avant-publication !
Cyberalx : "Clap clap clap ! (bruit d'applaudissements) Maitre Lariviere, je me permet de te féliciter pour ces nouveaux éléments qui ne manqueront pas de jeter le discrédit sur les prétendues définitions de messieurs Robert (petit et gros), Larousse, Lablonde, Laromatisée et consort... Accessoirement, j'ajoute que je me suis dilaté la rate jusqu'à la cravate." |
Ninjavert
2/8/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je n'aime pas les chats.
N'y voyez pas d'offense, c'est un fait. Pour tempérer la chose, j'ai même quelques affinités avec certaines chattes. Comme quoi. Ceci pour dire que comme Togna, je n'avais jamais lu Larivière. Ce titre a piqué ma curiosité, et c'est avec une certaine appréhension que je me suis jeté à l'eau (notez le jeu de mots avec Larivière) pour en découvrir les arcanes. Que dire de plus ? Il y a dans ce grand n'importe quoi une certaine forme de génie qui force le respect et l'admiration. Il est une chose d'écrire un texte burlesque, c'en est une autre de pondre un pavé aussi impressionnament rempli de non-sens et d'absurdité qui soit pourtant totalement addictif. Les images et situations sont formidables d'humour barré, et je dois dire que comme mes comparses oniriens je me suis franchement fendu la poire en deux. Mon seul reproche, s'il en faut un, c'est que tes phrases sont foutrement longues. C'est stylistique, mais il est vrai que malmené par cette impitoyable méningite et la détérioration aussi progressive qu'ineluctable de mes poumons, j'arrivais parfois au terme d'une phrase en me disant "putain, la vache, il va me tuer, ce con." Après, elles sont formidablement bien écrites, construites, et ponctuées à la perfection ce qui les rend tout à fait abordables, mais il fallait bien dire quelque chose ce qui est fait. Bravo, c'est dingue et surréaliste, comme j'aime. Une question subsiste, pourtant, qui aurait je pense mérité d'être un peu plus creusée : Dans le cadre d'un chat noir et blanc, dont la proportion de blanc et de noir est rigoureusement égale (moustaches, et poils laissés sur le canapé inclus), quelle est la méthodologie à appliquer ? |
Ama
3/8/2007
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Et pour les chats qui ont d'autres couleurs?
J'adore ce texte. Je suis d'accord avec les commentaires précédents et d'accord aussi avec la seule petite critique de Ninj. Tu manies parfaitement ton style, tu as le don pour tenir des phrases très longues sans jamais te perdre ni perdre le lecteur, mais de temps en temps, un rythme moins rapide ou une ligne moins longue, ça permettrait de reposer le lecteur entre deux. Ou alors racourcir le texte, au choix. Mais j'aime bien le développement. Je redis : j'adore. Toutàfé le genre de lectures qui me transporte! ^^ Bravo. |
guanaco
4/8/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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CHAT ALORS! (oui je sais...facile)
La folie de la raison ou la raison de la folie. Ce texte montre très bien que le processus d'autodestruction est totalement fondé pour celui qui le vit et s'appuie sur des éléments qui échappent totalement à l'objectivité de l'entourage, du monde extérieur. Toutes les équations proposées mènent à une solution pour la victime. Faire des phrases plus courtes? Jamais! Agonisons ensemble. Laissons pénétrer le poison et prendre les chemins qu'il désire... En revanche (ben oui faut bien qu'y est quequchose) Je pense que la nouvelle pouvait s'arrêter au chat noir avec la ligne de l'électrocardiogramme désespérément plate! |
Bidis
25/8/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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C'est génial. Encore qu'un peu long pour un cerveau aux capacités moyennes. Mais qu'une lectrice comme moi vous apprécie, c'est un grand plus : cela veut dire que beaucoup de gens parfaitement normaux seront prêts à trouver votre surréalisme tout à fait acceptable.
Encore que je me pose la question avec angoisse : suis-je bien normale après tout ? |
Anonyme
23/9/2007
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Bon....moi je ne pense pas que Larivière est "fou"....je pense au contraire qu'il est trop lucide, trop sensible peut-être....et que du coup, ces "trops" lui font appréhender et décrire le monde comme une source inépuisable d'épreuves allant se nicher dans les moindres recoins d'un quotidien pouvant apparaître "banal" pour ce "tout un chacun" dont il ne fait pas parti....
Ses protagonistes agonisent alors même qu'ils sont encore en vie....alors autant mourrir, autant rompre, autant arrêter d'aimer...ils sont déjà des ombres....Pour moi qui découvre sa littérature, c'est un peu une "épreuve" de lire ses textes, tellement ils sont noirs et desespérés.....mais....bien écrits |
studyvox
17/10/2007
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C'est difficile d'écrire un commentaire, après avoir lu les commentaires des autres lecteurs, mais pourquoi pas, chat peut servir!
Il y a parfois quelques redites volontaires, mais c'est pour bien faire passer le ton et la forme d'humour. C'est parfois un peu redondant, et le texte aurait gagné à être un peu plus court, mais c'est facile de faire des remarques de cette nature. Pour les compliments, je trouve que ce texte rivalise avec de très bons surréalistes. En remontant plus loin, je lui trouve des accents d'Isidore Ducasse. On y retrouve l'humour grinçant de Lautréamont, mais tellement jubilatoire, avec ses phrases interminables, ses formules mathématiques délirantes, sa folie créatrice... Je ne sais pas si l'auteur en est conscient? Merci pour ce moment de folie humoristique |
jensairien
30/10/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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CLAP! CLAP! CLAP! (bravo)
j'aime ce texte noir à souhait, nourrit d'absurde et d'un humour tout autant noir. C'est si bien que j'en viendrais à regretter des tournures de phrases qui manquent de fluidité. En tout cas pas de trace de Ducasse dans ce texte, plutôt du Vian dans certaines de ses massacrantes et fantaisistes nouvelles |
i-zimbra
7/1/2008
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Bon alors évidemment la méthode ne marche pas et la raison en est toute simple.
Le patient, en bon monomaniaque, ramène tout à sa personne (Larivière), c'est pourquoi il emploie obsessionnellement le terme d'hydrométrie. Or ce que détestent les chats, c'est bien l'hygrométrie. Mettez-leur du lait, ce n'est plus le même liquide. D'autre part, ces chats noirs ne seraient pas arrivés si monsieur Larivière n'avait pas appris le nombre 732 au collège. Pour laisser les chats vivre en paix, évitons de nous mettre Martel en tête. Ne me remerciez pas, c'est mon métier. |
nico84
7/1/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Moi aussi, j'ai bien ri, quel humour décalé et quelle imagination, bravo, je rejoins aussi tout ce qui a été dit précédement surtout dans la phrase "tu es fou" sinon tu n'aaurais jamais écris ce genre de texte mais merci de nous en faire profiter, de nous inviter dans ton univers, quel moment de bonheur !
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Andromaque
10/1/2008
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Je n'ai pas tout compris, mais cela ne change rein au fait que j'ai beaucoup apprecié! Notamment ce passage-ci: Calculez la probabilité avec cette méthode de tomber sur une tomate mûre utilisable en prenant en compte le taux d’hydrométrie global depuis votre naissance tout en retranchant la période antérieure au plant de tomate, multiplié par le nombre total de cravates que vous possédez.
En tout les cas! bien joué! |
Anonyme
14/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bon, alors, j'avais déjà lorgné sur cette nouvelle mais rebuté par la longueur j'avais reculé, lâchement je te l'accorde. Là j'ai pris une putain de bordel d'énorme inspiration pataphysique et j'ai plongé dans ton cervelet de gypse et de murmures de gibbon déguisé en princesse. J'avoue que des fois, j'ai eu du mal hé oui hé oui, faut bien s'accrocher nom d'un espadon aveugle!
Je n'ai pas ton talent en ce qui concerne les commentaires, ainsi j'ai simplement relevé une phrase que j'ai trouvé fort juste qui résume parfaitement cette nouvelle et ton oeuvre en général: "Le réalisme est le fruit subjectif de l'imaginaire et c'est uniquement l'abstrait qui est bel et bien réel" Voilà, inutile de te préciser que j'ai apprécié cet ovni à sa juste valeur et que j'ai noté sur mon petit carnet à rayures et poils ras tes techniques d'erradiction féline... |
marogne
21/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Allez je ne vais pas bouder mon plaisir, et dans l'ensemble ce texte m'a fait bien rire, même si au début j'étais un peu géné par la référence à Prévert, mais c'était juste comme il faut, un clin d'oeil, l'annonce d'un monde rose et improbable.
Quelques détails néanmoins, mais qui ne changent pas l'appréciation globale: "Hydrométrie" ou "Hygrométrie" "Randomisé": pas très beau cet anglicisme Répétition peut être trop fréquente de l'espression " à se débarrasser", même si la gramaire est respectée, parfois je trouve celà "malsonnant" - mais bon, là c'est vraiment du personnel.... La recette se perd peut être prfois trop dans la complexité, comme si on était dans un atracteur étrange en train d'essayer les dimensions non entières.... Bravo quand même. |
Menvussa
10/10/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Les points négatifs:
- 1- Sauf erreur de ma part bien entendu. A propos de la mini galaxie située dans le dé à coudre(J'ai le même à la maison), il s'agirait plutôt d'un taux d'hygrométrie. - 2 - J'ai déchiré mes cravates. - 3 - J'ai manqué mon rendez-vous avec le patron qui voulait m'embaucher ce qui n'est pas grave vu qu'il ne l'aurait certainement pas fait en me voyant arriver en caleçon. Y-a pas à dire, c'est troublant au point de choir au fond d'un grand trou noir, point de non retour s'il en est... Autant passer par le chas d'une aiguille, chameau ou pas, il faut être d'ailleurs bien noir pour essayer cha che chur. Bon si je te dis que je me suis fais chier en lisant ton récit, tu ne me croiras pas donc pas la peine d'essayer. Avec un très grand regret, celui peut-être de ne pas l'avoir écrit, je vais dire que ce texte est passablement exceptionnel. Ça y est, j'ai la migraine, l'ami... graine de vaurien. T'es tout de même pas très malin... T'aurais tout de même pu jeter le chat noir à la rivière (attaché ou pas) |
marichka
5/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je ne sait pas pour vous ,mais ce texte m'a laissé un certain malaise.Je ne nie pas qu'il écrit bien et sait ce qu'il écrit,je dis simplement qu'il faut être un peu dérangé pour pondre une telle noirceur,un humour aussi macabre.
BRRR,ça fait froid au dos! |
Anonyme
7/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est fou, les petits bijoux d'humour qu'on repêche parfois dans les tiroirs d'Oniris!
Je ne sais pas si je me souviendrai de toutes les étapes décrites ici mais je me suis bien amusée! Ouf! Mon chat est gris. Il a de la chance... |
Anonyme
1/7/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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Bon, faut bien recommencer quelque part... alors je reprends la boucle du début...
le 18/5/2008, je commentais ce texte pour la première fois, c'était mon premier texte de Larivière... (et l'une de mes premières lectures sur le site en tant qu'inscrite) on me l'avait conseillé, et on avait eu raison! (merci W) Comme Pat, j'ai eu un flash en commençant à lire, j'ai eu peur que tu ne massacres des touts petits chats... ce qui n'est heureusement pas le cas, enfin, pas comme ça. J'ai apprécié l'humour, le côté absurde (j'aime trop ça), que je peux mettre en parallèle avec les lézards sur la construction... enfin peut-être pas tout à fait, mais c'est le même genre de recherche. J'ai moi aussi dans mon entourage, pas mal de chats (noirs ou blancs) et il m'aurait plu, à bien des reprises, d'avoir cette fameuse recette... juste pour leur en parler, et leur offrir? Que rajouter à ce qui a déjà été dit? Que depuis, je regarde les chats différemment... je me suis débarrassée du mien, de chat noir, mais ces sales bêtes ça revient en permanence se frotter, et que j'applique encore la recette, parfois, mais elle ne marche pas vraiment... J'ai un petit coup de cœur particulier pour ce texte, peut-être parce que c'est celui qui m'a donné gout à la lecture lariviérienne... les origines de la lariviérette? j'en sais rien, mais j'aime à le relire quand j'ai un coup de blues. Et puis j'apprécie particulièrement le fait que ce genre de textes soit rare sur Oniris... MERCI :) Estelle Ps : j'avais pas noté la première fois, je pouvais pas gnagnagna, maintenant, je peux. |
Farfalino
17/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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bon évidemement la maitrise de la langue est exceptionnelle, c'est un humour décalé, c'est du délire, du grand n'importe quoi.
sauf qu'au bout d'un moment cela devient lassant et que c'est trop long. Au bout d'un moment je me suis ennuyé. Je ne suis pas sensible à ce genre d'humour peut-être. |
jaimme
1/11/2009
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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On embarque dans ce texte, on met sa ceinture et... impossible de le quitter. Une fois de plus Larivière joue à l'hypnotiseur!
Il n'y a absolument rien de comique dans ce texte, et donc j'étais écroulé de rire par moment! Il faut que ce texte soit remboursé par la Sécurité Sociale, vite avant que les pompes funèbres ne s'en aperçoivent! Ce texte a tout. Voire et même surtout des vertus qui doivent être cachées par les Américains dans l'area 51 depuis 1947! Un jour je viendrai le relire. Il le faut! PS (même si j'ai pas encore signé): j'ai vu quelques trucs, mais j'ai oublié où! Là aussi il est très fort Larivière, car noter les bricoles tient de la volonté de se débarrasser d'un chat noir. Au moins! |
Selenim
19/12/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Au début, j'ai pensé à un passage du tribunal des flagrants délires où l'ami Desproges dressait le portrait de François de Closets par le biais d'un chat poreux.
Au-delà du travail méticuleux qui se cache derrière le texte, j'ai été séduit par un paradoxe : l'écriture a beau être riche et soutenue, il se dégage du récit une étonnante fluidité. Les phrases dans l'ensemble sont longues, elles s'étalent, picorent sans retenue dans les figures de rhétorique les plus gracieuses. On frôle parfois l'indigestion tant les constructions sont savoureuses, voire trop. L'humour est présent mais je le trouve trop enfermé dans l'absurde intellectuel. Je suis désolé de reprendre l'exemple de Desproges, mais l'humour s'en rapproche fortement. Pour la maîtrise de la langue, l'auteur n'a pas à rougir de la comparaison ; et je connais peu de personnes capables d'aligner des phrases aussi racées et enrobées d'un humour idéalement décalé. Concilier ces deux éléments me montre la somme de travail importante consentie par l'auteur. Pourtant, malgré ses qualités, le texte m'a paru souffrir d'un trop gros défaut : le trop. Dans un récit si dense et intense, il faut savoir économiser le lecteur et ne pas trop lui donner. Malgré une lecture agréable, j'ai dû la scinder. Je soupçonne l'auteur de posséder une imagination dantesque, et couplée à une soif d'écrire insatiable il en ressort un texte si dense qu'il en devient écœurant. Ce reproche est totalement subjectif car nombreuses sont les personnes qui peuvent engloutir une dizaine de truffes au chocolat d'affilée. Moi non. Savoir se raisonner pour ne pas en faire trop... Selenim |
wancyrs
26/12/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Qu'est ce que je dirais ? le délire d'un scientifique qui voit des chats noirs et blancs partout ? c'est assez étrange ces superstitions sur les chats non ? d'autant plus que dans le monde occidental et nordique, au moins 2 ménages sur trois possèdent un animal de compagnie, et la plupart du temps, les chats...
En tout cas, j'ai bien ri du traitement à la légère de ce sujet, la superstition, qui terrorise bien d'êtres, et aussi bizarre que cela puisse paraître, je ne comprend pas la cause de telle faiblesse... et si Maître Larivière se versait à nous expliquer le phénomène de la superstition ? À quand un sujet sur le vendredi 13 ? ou les 7 ans de malheurs pour avoir cassé un miroir ? J'ai aimé ma lecture, merci Wan |
Cortese
10/1/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très bon texte, en effet. Absurdité jubilatoire qui m'a parfois fait penser à un Villa-Matas énervé. C'est bien construit, et l'auteur est un maître de l'humour noir.
Quelques phrases un peu longues, mais ça va bien avec l'abracadabrant du texte. Merci pour cette lecture ! |
Anonyme
18/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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L'auteur est une orange givrée. C'est un postulat.
J'ai été attirée par le titre qui d'habitude est un morceau joué à l'accordéon. Je me suis ensuite laissée emporter par l'écriture rapide et mûre et le récit tourbillon. Mais vous êtes fou ! Mais c'est reposant ! |
Anonyme
20/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Larivière,
J'ai une passion immodérée pour les chats-qui représente pour moi le plus bel être vivant- et donc j'ai doublement souffert tout le long du récit, redoutant à tout instant l'issue fatale... Fil rouge qui s'étire au bonheur des digressions météorologiques (l'hydrométrie étant pour vous une réelle addiction) avec le concours d'un chat policier -peut-être le chat de Schrödinger- et d'un plant de tomate-garanti sans OGM-. Substrat alimenté, sans modération par une sève exponentielle. Bulletin météo, fait divers, remugle d'un vieux journal télévisé présenté par Claude Darget (ou peut-être Léon Zitrone). Faut-il pour cela être allergique à la crème du lait ? Question de dé-ontologie. |
Anonyme
20/3/2011
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Peu à peu, je me suis laissée entraîner par ce délire, et j'ai aimé le texte, même si je pense qu'il pourrait être un peu plus percutant avec des phrases moins compliquées (mais pas trop, parce que cette escalade fait partie de la drôlerie du texte !) Au total, j'ai vraiment aimé.
Quelques remarques. "un trop-plein de chats noirs à se débarrasser, aiguisez-le un minimum avec les outils merveilleux que vous a donné la vie" : je crois qu'il s'agit plutôt de chats noirs "dont" se débarrasser, puisqu'on se débarrasse de chats noirs et non à chats noirs ; par ailleurs, "les outils merveilleux que vous a donnés la vie" "comme s’il n’y avait pas de chat noir à se débarrasser" : même remarque "vous avez un chat noir à vous débarrasser" : idem " trop de chats noirs à se débarrasser" : idem "qui ont des chats noirs à se débarrasser" : idem "quand on a un chat noir à se débarrasser" : idem "où il y a des plants de tomates à tailler et un chat noir à se débarrasser" : idem "Si vous n’y arrivez pas ou si vous n’êtes pas coquet et que vous avez seulement une demi-douzaine de cravates, ou seulement trois, ou seulement deux, ou une seule, ou si pour une raison X ou Y, vous n’avez pas de cravates parce que vous êtes une femme et que vous ne portez pas de cravate, ou que pour une autre raison génétique, vous portez sur un de vos chromosomes le gène de l’allergie à la cravate, ou pour toute autre raison autre qu’une raison de chromosome, c'est-à-dire uniquement par goût, par dégoût ou même sans aucune raison, vous n’avez quand même pas la moindre cravate, ce n’est pas grave." : lourd, pour moi, et laborieux "Si vous n’y arrivez pas non plus, ce n’est pas catastrophique mais c’est quand même préoccupant." : ah oui, là je trouve marrant ! "le nombre d’amis que vous avez perdu définitivement" : perdus, non, les amis ? "Débarrassez-vous rapidement de la tomate mûre qui est dans votre soucoupe en porcelaine en la jetant n’importe où mais vite, ensuite monter quatre à quatre des escaliers" : toutes les instructions ayant jusqu'à présent été données à la deuxième personne du pluriel, je suppose que "montez" serait plus approprié |
silvieta
27/1/2017
a aimé ce texte
Pas
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J'ai décidé aujourd'hui de prendre un peu de temps pour lire quelques nouvelles classées premières en liste ainsi que des nouvelles classées dernières, et les annoter éventuellement.
J'ai beaucoup de mal à lire celle-ci. Le style est poussif et répétitif. J'aurais bien pris l'aspirine qui était proposée dans le texte. Après plusieurs tentatives j'abandonne cette lecture à laquelle je ne comprends pas grand chose. Quand je tombe plusieurs fois sur des phrases construites ainsi " il ne faut pas oublier que vous avez un chat noir à vous débarrasser " et qu'en plus c'est le narrateur qui les profère et non des personnages de dialogues, je cale. On ne prête qu'aux riches, dit-on. Je prends le risque de ne pas aimer une nouvelle adulée de tous, quitte à ce qu'en représailles le ciel me tombe sur la tête et qu'il en pleuve des chats et des chiens. |
Thimul
5/6/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Délirant !
Aussi hilarant et décalé que Fluide Glacial. Je pense qu'Edika adorerait lire cet ovni. En tout cas c'est aussi déjanté que ses BD et c'est un compliment. Encore une fois bravo. J'ai passé un excellent moment ! |
Rincedalle
11/1/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Une variante inversée du chat de Gros Dingue. Ici, c'est le scientifique qui se trouve, dissocié, dans la boîte. De la démesure dans tous ses états. J'adore.
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Anonyme
6/6/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Hahaha! Merci j'ai bien rigolé! Avec toutes tes équations farfelues et le réel réel imaginaire, j'ai pensé au chat (noir?!) de Schrödinger.
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