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Anonyme
7/12/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Hmm... c'est plutôt marrant, bien sûr, et assez réaliste, sauf que, franchement, j'ai beaucoup de mal à croire qu'une femme adulte et cul-serré comme la narratrice ne sache pas que le vin, ça saoule, et qu'elle se laisse piéger aussi facilement.
Ce que je trouve bien vu, en revanche, c'est le combat que se livrent la narratrice et sa "jumelle maléfique" en ramenant les enfants à la maison : s'efforcer de marcher droit pour l'une, lâcher un "chier une pendule" pour l'autre... là, oui, je trouve le récit équilibré. Mais j'ai quand même du mal à avaler le basculement qui précède. |
alvinabec
11/12/2012
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Le début du texte est presque didactique à force d'être factuel mais bon, ça tranche bien avec la scène chez Francky que je trouve très réussie, juste, naturelle. On est au café avec ces petites pépettes qui se saoulent gentiment. La dernière phrase de la nouvelle me semble de trop, elle induit une idée de moralité superflue. |
macaron
19/12/2012
a aimé ce texte
Bien
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Eh ben, c'est du joli! J'ai lu en souriant votre façon de fêter la Sainte-Cécile; une fois n'est pas coutume, n'est-ce pas? D'une situation très universelle -la vente de gâteaux pour un voyage scolaire- vous nous entraînez dans une aventure féminine un rien incongrue par la présence des enfants. Une écriture vive, une langue populaire pour un moment de détente toujours très apprècié!
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brabant
25/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Laure,
Oui ! C'est bien ! De la mesure dans la démesure... A un moment, comme cela tarde quand même un peu à démarrer (lol), je me suis demandé si le texte était bien dans la catégorie choisie... et puis la détente est venue au fur et à mesure du vin chaud. Vous maîtrisez votre histoire du début à la fin et même le "Oh merde Noé" passe comme une lettre à la poste, jusqu'à la cuvette des toilettes qui, pour nécessaire qu'elle soit, sait se montrer discrète. Beau travail ! Belle narration ! Bravo ! |
Anonyme
26/12/2012
a aimé ce texte
Passionnément
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Wow ! J'adore !
Et y'a belle lurette que j'avais point lu "...va pas nous chier une pendule..." autant dans le texte et l'ambiance. C'est simple, net, implacable en sa logique de froid matin et de sous et de dessous et de par-dessus la jambe. Ai de la veine dans mes découvrailles oniresques, cette année. Je tiens à préciser que mes notes ne sont strictement pas de complaisance. A une maigre exception près, je suis, pour l'instant, un gros chanceux de la découverte sur icitte. Je l'aime beaucoup, votre maman modèle. Elle me rappelle fort la mienne mais ce n'est pas pour cela que je l'aime mais pour la jolie façon de la mettre en scène. C'est parfait, nickel, pas un mot de trop ni de trop peu. Il monte, il monte, le niveau ! Avec vous, Laure. Ecrire, c'est raconter et vous savez conter. Chapeau bas ! |
Artexflow
28/12/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Laure !
Bon alors, une mère, un enfant qui s'appelle Noé... Tout de suite, je me suis senti concerné ! Peut-être avez-vous été victime, dans mon interprétation, du fait que j'ai du coup imaginé ma mère à la place de votre personnage, mais globalement je n'ai pas été super emballé par ce récit. L'idée est sympathique, cependant, sans non plus casser des briques, mais enfin, ça, franchement, c'est pas grave. Non, le problème selon moi c'est la forme, en fait, on s'ennuie un peu, c'est un peu linéaire, je m'attendais à quelque chose d'un peu agité, d'un peu déjanté mais le rythme du texte est un peu trop lent pour moi. Encore une fois, j'ai imaginé ma mère, qui est une vraie pile électrique (j'aurais pas pu trouver plus éculé comme expression ?), et c'est vrai qu'entre elle et votre narratrice, y a pas grand chose de commun :) Dèèèès le début je me suis dit : "ah, dommage, c'est pas assez piquant, sautillant". Finalement, votre texte, qui se veut très "quotidien" est alourdi par les pensées un peu trop travaillées de votre narratrice (Non que je ne fasse pas confiance aux autres mamans, mais une erreur d’inattention est vite arrivée, et j’en serais alors tenue pour responsable. Tenez par exemple le mot alpaguer, dans un texte humoristique, c'est un peu dangereux ! Non, franchement, je pense que soit il y a une erreur de classement, soit qu'il faut revoir un peu le texte pour qu'il gagne en légèreté et en drôlerie. N'allez pas croire que j'ai tiré une gueule pas possible en lisant votre nouvelle loin de là, ça ne m'a pas fait grimacer, je n'ai pas détesté, je pourrais dire que j'ai plutôt apprécié d'ailleurs, mais sincèrement, à ma lecture, je trouve que ça manque de personnalité, et qu'il y a trop de lourdeurs pour un texte classé en humour/détente. Ah, quand même il est bizarre ce sol, il est pas palpable ça m'a bien fait marrer :D Bravo à vous tout de même, c'est plutôt moi qui suis désolé de ne pas avoir plus apprécié que ça... :/ |
Anonyme
1/1/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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ah la griserie du p'tit bordeaux de derrière les fagots !
un verre, deux verres et puis s'en va... c'est vrai : pas un mot en trop ni en moins. L'écriture reste malgré tout terre à terre bien encrée dans le quotidien de la vie. Une tranche de vie toute simple sans prétention : fraiche et récréative. bien ! |
AntoineJ
3/1/2013
a aimé ce texte
Un peu
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Sympa mais la bascule par le vin chaud et le sourire de Franck me semble un peu léger ... et j'attendais autre chose à la fin que la suite normale "say hello to the big white George" ...
Sinon, c'est cool et agréable à lire mais l'histoire reste "Ok sans plus" ... |