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plumette
14/2/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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je termine cette nouvelle en restant sur ma faim!
un démarrage un peu fastidieux avec cette histoire de vessie pleine, puis mon intérêt s'éveille grâce à l'intervention du logiciel procrate et au cheminement mental de Samantha avant de donner ses réponses. j'avance dans l'histoire avec curiosité, n'ayant pas la moindre idée de là où veut me mener le narrateur. Et puis voilà un arrêt brutal de l'histoire qui se clôt sur une réponse qui ne peut, à mon sens, se passer d'autres développements. Samantha aurait donc "grignoté"de la viande humaine? Dans quelles circonstances et pourquoi ce grignotage lui fait peur par rapport à sa grossesse? Que vient faire le cannibalisme dans cette histoire? je suis déçue à la hauteur de ce que le texte semblait promettre. l'écriture est au service de l'histoire, elle se laisse oublier, ce qui est plutôt bien car il y a un aspect assez technique avec les diverses déclinaisons de ce questionnaire. Plumette Nb: Samantha Religieuse, c'est un peu lourd à mon goût! |
Donaldo75
19/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai bien aimé cette histoire futuriste, avec l'interaction entre l'être humain et le programme. Les (+): * Une sorte de délire dans la froideur des options proposées par PROCRATE * Les questions que se pose Samantha Religieuse * La chute Les (-): * Des phrases parfois très longues, pas toujours adroites comparées au rythme imprimé par le dialogue entre l'être humain et le programme * Le contexte social est assez confus; la précision n'amènerait rien mais on ne sait pas sous quel angle est écrite la nouvelle C'est cependant très agréable à lire. Merci pour le partage, Donaldo |
Solal
10/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Un texte sympathique qui questionne le rapport entre intimité et "sécurité sanitaire". (un terme délicieusement technocratique, non ;) La science-fiction d'anticipation nous permet justement d'interroger les perspectives d'évolution d'une société. Vous imaginez une disparition de rapports humains. Eh oui, déballer ses petits soucis à un médecin, ce n'est pas comme les dévoiler à une machine. Sans compter le spectre de "big brother". J'ai abordé votre texte sous cet angle car, et voilà le souci principal, j'ai pas compris la chute. Peut être une réponse induite par l'agacement ? Enfin je reste perplexe. Peut être qu'avec une pointe d'ironie supplémentaire... Une écriture simple et claire, tout juste relevée par un champ lexical technico-administratif (programme d'assistance du gouvernement, statistiques sur l'accès aux commodités ...) qui alimente bien l'imagination. Un agréable moment donc. Solal |
Anonyme
10/3/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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C'était bien parti avec cette histoire de progiciel pénible à souhait et je me suis laissé porter par le flot de cette histoire bien que le nom de l'héroïne...franchement là c'est nul de chez nul ; je n'insiste pas là-dessus mais tout de même...
Quant au contexte : dans la littérature, une femme est généralement appelée mante religieuse lorsque c'est une prédatrice qui "consomme" les hommes (les ruine ) mais cela ne désigne en rien un goût pour l'anthropophagie. Ceci étant, pourquoi pas, on est dans une fiction n'est-ce pas et le romancier Philip José Farmer dans "Les amants étrangers" avait bien imaginé un personnage ayant l'apparence et la séduction d'une femme mais était en réalité un insecte; bref si ça t'intéresse tu liras ça. De ce fait il y a quelque chose de bancal dans cette histoire. Par exemple il existe une autre histoire, mais je ne sais plus de qui, dans lequel une femme, enceinte d'un loup-garou se met à dévorer de la viande crue pour nourrir l'enfant qu'elle attend etc. Bref, qu'elle mange de la chair humaine, why not, mais au moins contextualise un peu mieux si je puis me permettre. Bon allez c'est pas grave...c'est juste de la littérature n'est-ce pas ? |
Tadiou
10/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Ca se déroule comme un terrifiant, inhumain et inexorable algorithme décrit avec une froideur mécanique et impitoyable grâce à une écriture précise, minimaliste, quasiment mathématique.
En arrière-plan un totalitarisme tel "1984" ou "Le meilleur des mondes". Je n'ai pas saisi le rapport avec la SNCF. En revanche, il y aurait un lien entre Socrate, Procrate et Prostate, que cela ne m'étonnerait pas. La fin ouvre une nouvelle piste avec la justification du nom "Religieuse" et la suggestion de la "mante religieuse" dévoreuse de son mâle. Dommage que cette piste s'arrête là. Du coup ça se termine un peu en queue de poisson. Alors pourquoi s'appelle-t-elle Samantha? Pourquoi Religieuse? Pourquoi mange-t-elle, d'après ses dires, de la chair humaine??? Y aura-t-il une suite??? donnant quelques clés à ce texte intéressant mais en partie bien hermétique. |
vendularge
11/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Cette historie est marante ou flippante c'est selon,..les toilettes qui testent vos urines existent déjà au Japon (moyennant quelques milliers d'euros) bon, elle ne vous parlent pas encore, mais il est possible grâce à un brassard, de se prendre également la tension, bientôt nos montres connectées nous parleront de nous mieux que nous même.. Un peu d'humour, le paronyme ne m'emballe pas vraiment..c'est bien écrit. Un peu court peut-être Une lecture agréable vendularge |
PierrickBatello
13/3/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Marier science-fiction (disons plutôt anticipation dans ce cas) et humour est un exercice délicat; aucun exemple réussi ne me revient en tête.
Si la chute n'est pas de l'humour, elle est hors sujet puisqu'elle ne vient pas éclairer la nouvelle d'une lumière nouvelle; elle est totalement détachée du contexte (zéro élément annonciateur). Si c'est de l'humour, je n'ai malheureusement pas souri. Néanmoins, j'ai apprécié l'idée de base mais mal développée à mon goût. Bref, vous l'aurez compris, la chute est pour moi complètement ratée, ce qui est assez rédhibitoire pour une nouvelle. Dommage. Et que vient faire la SNCF dans l'incipit? Aucun rapport. |
Mare
13/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai trouvé la nouvelle généralement bien écrite. Certaines phrases pourraient cependant gagner en clarté pour faciliter la compréhension, comme celle-ci, par exemple "de séjours pseudo-aventuriers dans des cambrousses peu enclines à laisser tranquille plus de dix secondes un bout de chair fraîche à découvert"... pas très joli.
Concernant l'histoire, je trouve que le récit assez bien ficelé, tout en ayant l'impression de ne pas savoir exactement sur quel pied danser. Si l'objectif est de se moquer des caprices alimentaires des femmes enceintes et/ou des toilettes publiques, à mon sens, il aurait fallu aller encore plus loin dans l'absurde. Si l'objectif était plus sérieux, cela manquait peut-être un petit peu de background. J'adore la science-fiction absurde, il n'y en a pas assez. Sans doute parce que l'équilibre est extrêmement difficile à trouver. Mais quand ce sont des réussites, ces textes-là sont de vrais chefs d’œuvres. H2G2 est un des plus beaux exemples. Merci pour cette lecture ! |
silvieta
13/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Je me suis immédiatement remémoré cette histoire drôle qui nous narre qu'un type voulant tester les capacités d'un robot analyste d'urine en le ridiculisant mélange en douce l'urine de sa femme et de son chien et reçoit en retour une analyse on ne peut plus exacte mais des plus angoissantes. Je me disais que l'idée qui avait présidé à l'élaboration de la nouvelle Procrate n'était pas tellement originale.
Sauf que Procrate, c'est une autre histoire. L'effet de sidération vient du patronyme de la protagoniste, pour lequel on avait à peine tiqué, sans jamais l'associer à son prénom. Le texte se lit bien. L'ensemble est vivant, si j'ose dire. |
Bartik
13/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé : l''histoire est bien menée et la chute produit son petit effet: bon appétit!
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hersen
15/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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j'arrive un peu tard pour un commentaire, maintenant que tant de choses ont été dites sur ce texte.
Ma première impression, que je livre malgré tout, est que l'auteur souligne l'inhumain du logiciel "dame pipi" contrebalancé par la fin cannibale. En effet, dans une société devenant de plus en plus technologique où l'humain n'a plus grand-chose à penser, matérialisée par des appareils de plus en plus sophistiqués, l'humain devient donc inhumain. Le cannibalisme, en ce sens, est bien trouvé car c'est sans doute ce qui choque le plus dans le comportement d'un homme. Et il y a bien chute et elle est excellente. Pardon Leverbal, mais Samantha Religieuse, je trouve que ça ne cadre pas du tout. Cela fait même l'effet inverse si je m'en tiens à ma version, car cela donne l'illusion que c'est un comportement copié sur la nature alors que ce ne serait qu'une évolution dans un monde technologique où la conscience n'a plus sa place. Mais pour en arriver à cette réflexion, j'ai dû relire la nouvelle, elle est assez déstabilisante. Ce qui d'ailleurs n'est pas un défaut, c'est bien quelquefois qu'un texte ne se livre pas au lecteur au premier essai. Je vois bien que je suis à côté de ce qui s'est dit sur le fil, mais ce fut néanmoins ma lecture. Merci de cette lecture, hersen |
Anonyme
16/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Brr… c’est tellement plausible, cet avenir gouverné par les machines !
Appuyée par votre écriture qui se laisse lire comme du petit lait, l’histoire est d’un parfait réalisme. Pourtant, c’est dommage, la chute me laisse sur une grosse faim. C’est comme si vous nous aviez servi une entrée croustillante à souhait, qui laisse présager des agapes inoubliables, et, couic… c’est la panne d’électricité et la fin du film qui m’échappe à tout jamais. Apprendre qu’elle a mangé de la chair humaine n’est que le début de l’histoire, pour moi. Après le questionnaire en règle, je m’attendais à des retombées fracassantes pour Samantha. J’ose espérer qu’il y aura une suite à cette mise en bouche ? A vous relire Cat |
Anonyme
17/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Leverbal,
Normalement, le sigle SF me donne des coups de soleil. Mais comme j’ai vu par hasard mon pseudo sur votre commentaire à Widjet (La Lose), vous préoccupant de l’état de mes souvenirs, j’ai pété mon thermomètre de sympathie. Bon alors, Leverbal, on finit pas ses histoires ? On n’a pas fait tout ça juste pour un calembour, si ? Parce que moi, je la trouvais super chouette cette dystopie de l’amante religieuse. Je sais pas, moi, en ressortant elle pourrait pas tomber sur une carmélite qui vend des crickets dans le couloir ? Bien sûr, ce seraient tous des enfants morts-nés :) Mais comme c’est parti, je suppose que la Samantha elle trouvera jamais la combinaison des toilettes (même avec des dons de sorcière bien aimée), que son gamin en sortant aura le babillage de Gemini (vous me direz, « une jeune femme enceinte de vingt-sept ans », il était temps qu’elle pose son cricket). Vous poussez l’absurde déjà bien installé dans notre quotidien connecté, jusqu’à une métaphore de l’enfermement physique. Bien vu, même si à bien y réfléchir il n’y a rien de visionnaire à moyen terme, je suis bien resté coincé trois heures dans une pissotière des Champs-Elysées... J’ai été vite embarqué par votre style limpide qui se prête bien à une sorte d’évidence de notre futur. En plus j’adore les questionnaires (en fait je comprends pourquoi vous répondiez si bien et si vite à ceux de Cat). Ce qui m’énerve c’est que ma femme vient de m’informer que sa gynéco allait lui tester un nouveau programme. Vous pensez que ça pourrait être Procrate ? Parce que ma femme adore les questionnaires, et la conclusion catégorielle est toujours la même : « vous êtes classée dans les victimes ». Il me plaît bien, ce Procrate, même pas besoin de tuer sa femme soi-même. Je déteste la SF petits bonshommes à antennes et doigts lumineux, mais j’aime bien les dystopies genre 1984, Fahrenheit 451, ou le plus récent « Auprès de moi toujours/Never let me go », dont j’ai surtout apprécié le côté flippant de la dystopie. Peut-être qu’en creusant votre idée, on pourrait imaginer un serial-killer qui va draguer en boîte pour tuer ses copines blondes d’un soir, juste en perçant ses capotes. Ludi actionnaire de Procrate |
Alcirion
19/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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J'arrive un peu après la bataille sur ce texte (et sa chute) qui m'a bien plu. L'écriture est plaisante, il y a de bonnes idées (notamment le logiciel et ses QCM).
La fin n'est pas facile à saisir, je n'avais pas prété attention au jeu de mot, et j'ai pensé comme un autre commentateur que l'héroïne s'insurgeait comme la bétise de l'interrogatoire en lâchant sa réplique. Me reste une impression agréable. |
Thimul
26/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Une nouvelle originale mais dont la fin m'a laissé sur ma faim.
Le style est bon et colle bien à l'histoire. On pourrait presque penser au premier chapitre d'une histoire plus longue tant cette fin pose de questions. Mais c'est peut être un parti pris de l'auteur. |