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irisyne
7/11/2007
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Joli conte d'Halloween. Dur de revenir dans le monde réel.
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malarwen
15/12/2007
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J'adore ton histoire! Quelle imagination et quel réalisme en même temps c'est formidable! La seule chose dont j'ai a redire c'est que ton texte est au présent. À l'oreille ca sonne bizarre. Ca convient pour la deuxieme parti de l'histoire mais pas pour le début... Disons simplement que l'imparfait aurait peut-etre été mieux... C'est seulement un conseil. Tu le prends ou tu ne le prends pas. Mais ton texte est vraiment magnifique bravo
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Anonyme
10/1/2008
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Une belle histoire d'amour onirique, un espace parallèle de féeriques sentiments, un cocon de satin au creux du quotidien. L'amour, le dernier monde où l'on se réfugie, merci pour ses notes sucrées.
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Andromaque
15/1/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un joli conte d'Halloween, répondant à tous les critères du genre! Le coup de la carte est bien joué, même si, je ne veux pas te vexer, c'est un lieu commun. Finissons sur une note positive: tu as une écriture très fluide, même le début qui relate pourtant des actions à priori sans intérêt devient justement... digne d'intérêt
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Anonyme
19/1/2008
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J'ai beaucoup aimé cette jolie nouvelle.
Elle est facile à lire, ton ecriture est fluide. Et jusqu'à la fin je me suis demandée: mais qui est cette Eilen ? Pourquoi cette carte ? Et j'ai beaucoup aimé la fin. Bref, beau travail, merci ! |
Bidis
19/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Tout d’abord, je dois dire que cette nouvelle m’a accrochée dès le début. Puis, il y a une belle progression dramatique qui tient le lecteur en haleine. Et la chute ne déçoit absolument pas.
Mon commentaire devient plus nuancé quant au style. Liry, comme à son habitude, nous donne de jolies images. Cependant, des répétitions, des lourdeurs m’ont heurtée par endroits. Par exemple : - « Avec un soleil froid …, éclipsant au passage toutes les autres étoiles. Le silence règne en maître sur l’ensemble de la propriété sommeillant encore paisiblement… » : les participes présents alourdissent souvent une phrase. Ici j’aurais remplacé le second par le verbe conjugé (la propriété qui someille…) - « Et c’est après avoir repoussé avec douceur un chat un peu trop curieux qu’Eilen se dirige vers sa boîte aux lettres » : un peu lourd. J’aurais préféré : « Eilen repousse … et se dirige… » - « la brune pépiniériste » : connaître la couleur des cheveux des personnages est important si cela campe vraiment ceux-ci, dans le cadre de leur description. Mais ici, on ne voit rien de l’héroïne et ce n’est pas cette couleur qui nous la montre d’avantage. Par contre, savoir qu’elle est pépiniériste est intéressant. Dire « la brune pépiniériste » enlève à mon avis à cette seconde qualité un peu de son sel et de son importance. - « Elle frappe machinalement le clapet et la petite porte se claque alors qu’elle s’en retourne vers la maison » : je ne trouve pas les termes très heureux. Pourquoi pas, simplement : « D’un geste machinal, elle rabat le clapet de la petite porte et s’en retourne vers la maison » - « calant ses papiers entre son côté et son bras » : trop de possessifs et « son côté » est peu heureux (« calant les papiers entre ses côtes et son bras » ou mieux « calant les papiers sous un bras serré contre ses côtes ») - « et l’écaille de tortue, qui l’avait suivie ventre à terre jusque là, profite du court instant où elle la ramasse pour se faufiler dans la maison » : on se doute que c’est d’un chat qu’il s’agit mais tout de même, le lecteur ne sait pas forcément que certaines robes de chat sont appelées ainsi, de sorte que cela choque un peu - ses yeux d’azur : non seulement, de nouveau ce détail anatomique n’intéresse que moyennement le lecteur, mais cette expression est trop convenue, je trouve, et me gêne - « Elle passe rapidement la main dans ses courts cheveux coupés en griffé » : maintenant on sait que l’héroïne a les cheveux courts, bruns et qu’elle a les yeux bleus. Eh bien, au lieu de nous rendre le personnage plus vivant, ces détails en font un chromo, un dessin convenu sans originalité. Ce serait beaucoup plus vivant de parler d’une mèche qui tombe sur l’œil, d’un nez en trompette, d’un léger strabisme, de formes rondelettes, un chignon qui tombe, … bref de jolis petits défauts sympathiques. - « Le jour est déjà reparti » : je préférerais « le soir était déjà tombé » plus léger - « Voyant sa maîtresse approcher la féline au sombre pelage bariolé de roux et de blanc bondit sur une pile de feuilles recouvertes de poussière qu’elle fait valdinguer. La jeune femme brune stoppe presque sur place en reconnaissant au milieu du tas de feuillets jaunis une image particulièrement insolite. » : « la féline etc… » c’est un peu artificiel, autant dire la chatte, on sait déjà qu’elle est écaille de tortue ; « la jeune femme brune stoppe… » on le sait qu’elle est brune, on n’avait même pas tellement envie de le savoir et pourquoi pas « s’arrête net » que je trouve plus joli, plus élégant que « stoppe » - « Le reste de la soirée se passa en recherche jusqu’à ce qu’elle mette de nouveau la main sur la dite carte. » : le texte est au présent, ce qui ne me choque pas du tout contrairement à Malarwen. Mais voici un passé qui, du coup, ne convient plus. La même remarque revient plus loin avec : « La jeune femme brune s’apprêtait à élever la voix mais elle se radoucit devant les mines réjouies des enfants. » (et ce "brune" qui appelle la même remarque que plus avant...) - « La brune la prend en main » : décidément, je n’aime pas de voir Eilen ramenée à ce détail qui par ailleurs ne m’intéresse pas. Ce serait mieux de dire de nouveau « la pépiniériste », c’était vraiment un détail plus intéressant que la couleur des cheveux… Ceci dit, ce sont des petits détails de style qui n'enlèvent rien au fait que ce récit est palpitant et offre un bon moment de lecture. |
xuanvincent
20/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai beaucoup aimé relire cette histoire.
Le récit, que j'ai trouvé original, me paraît bien écrit et est prenant. Petit détail : une coquille restée : "la silhouettes d’un homme de grande taille" (un "s" en trop). Le thème d'une personne qui pourrait s'écrire des messages m'a intéressé. De même, ce passage m'a plu : "La main d’Eilen trace les mêmes mots sans qu’elle ne comprenne ce qui la pousse à agir ainsi jusqu’à ce qu’elle lève les yeux vers l’homme." La répétition "Reviens à la même heure dans un an" est bien amenée (ouvrant le récit et lui donnant en quelque sorte un rythme) et ajoute au mystère. L'arrivée du fantastique dans le récit, lors de la nuit d'Halloween, m'a bien plu. |
Liry
20/6/2008
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Voilà, juste un petit message pour rajouter le lien vers le forum et les réponses aux questions.
http://www.oniris.be/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=1510&forum=6 Merci beaucoup pour le dernier commentaire. En fait, le choix d'Halloween n'était pas dû au hasard. Cette nouvelle a été spécialement écrite sur le thème de la carte postale d'Halloween... |
marogne
7/8/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je n’ai pas vraiment été « accroché » par l’histoire, sans doute du fait de la superficialité de la description de l’héroïne principale, on n’y coirs pas vraiment. Aller vérifier dans son agenda si on était l’année précédente en voyage pour savoir si on a pu s’envoyer une carte postale, pourrait à la limite se concevoir dans un monde beaucoup plus décalé que celui décrit ici, mais là ça donne un coté artificiel qui diminue d’autant l’intérêt de la lecture. Les personnages de la fin sont un peu à l’unisson, et ne semblent être introduits que pour donner corps à l’idée de fond.
Sur le fond, l’idée de la nature duale d’une partie de la population, qui penche vers une explication possible d’un état schizophrénique, me semble intéressante ; cette réunion lors de la fête, avec ces processions de personnes se rendant dans la forêt, comme le regroupement rituel d’un peuple à pat, oublié, est une belle image qui nous est offerte. Mais je regrette que l’idée n’est pas été servie par un style plus assuré, les descriptions me semblent hésitantes (même si il y a quelques belles images), la construction dialogue/texte manquent de « naturel ». |