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Anonyme
18/9/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Bon, soyons honnête, le secret s'évente très vite mais Florence est une jolie ville, alors on se laisse porter par des réminiscences de vacances toujours si romanesques... Pour être plus sérieux, je trouve que le début de ton texte semble plus travaillé que la fin, un peu bâclée à mon sens, avec des tournures pas très heureuses, des fautes de temps qui gâchent un peu le récit. Juste un exemple : "Nous étions noyés dans une foule affairée, mais nous marchions tous les deux. Rafaël ne dit rien après ma dernière phrase. Il s'était tu. Après avoir marché quelques mètres, j'entendis une voix d'homme qui sort de l'adolescence qui prononça un mot : merci" s'il ne dit rien, on se doute qu'il s'est tu... et la voix QUI sort de l'adolescence Qui prononça : franchement, ça va pas. Toute la partie avec Maria est un poil ridicule aussi (ce n'était pas une colombe, c'était une enveloppe.. hummm) et la lettre de la femme est terriblement décevante : ce "je n'ai rien voulu emporter de matériel... mais" mon dieu, que c'est lourd et maladroit, j'ai vraiment eu l'impression que tu en avais un peu marre et que tu voulais juste en finir, ou bien que la chute te semblait suffisamment forte pour pallier les faiblesses de la dernière partie. Mais ce n'est pas le cas et c'est dommage. Avec un peu plus de travail, je pense que tu pourrais vraiment obtenir quelque chose de sympathique et poignant. Bonne continuation |
florilange
20/9/2009
a aimé ce texte
Un peu
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C'est vrai qu'on devine très vite quel est ce secret.
En revanche on ne comprend pas pourquoi, son mari parti ou décédé, en tout cas absent, Claire n'aurait pas dit la vérité à son fils, pourquoi elle aurait fait jurer à cet homme qu'elle aimait de ne jamais révéler à Raphael qu'il était son père. Et pourquoi aurait-il emmené son fils à Florence si c'était pour ne rien lui dire? Il ne se passe rien dans cette histoire, sinon que les 2 marchent dans la ville. Ce n'est pas mal rédigé mais on reste sur sa faim. Dommage. Florilange. |
Myriam
26/9/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il y a des choses qui m'ont plues dans ce texte.
Cette relation qui évolue au fil de la promenade et de la beauté de Florence. Le portrait en creux de Rafaël, m'a touché. Et puis la 2ème personne, lancinante, qui traduit la souffrance du narrateur, en écho à celle de son beau-fils. D'autres m'ont un peu déçues, certaines lourdeurs ou maladresses, le passage du présent au passé dans certains paragraphes, qui cassent le rythme du texte je trouve. La fin est également un peu maladroite, même si l'idée est jolie. A la limite, tu aurais pu arrêter ta nouvelle au moment où la lettre s'envole... enfin, ce n'est que mon avis hein!! Quoi qu'il en soit, je lirai avec plaisir un prochain récit! Amicalement, Myriam. |
NICOLE
3/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Trop d'effets de manches tue le mélo : c'est trop larmoyant pour moi, et trop peu crédible.
Pourquoi la mère fait-elle promettre quelquechose qui va amputer son fils d'une partie de son identité ? Pourquoi, le père respecte-t'il une promesse que je ne comprends pas qu'il ait pù faire un jour ? Bon, sinon, quitte à conserver quand même ce canevas là, j'aurais supprimé complétement la fin. Inutile de lire une lettre dont on a compris le contenu dès le premier paragraphe, ça alourdi encore. Il reste de tout ça de jolies évocations de Florence, assez réussies, puisqu'elles m'ont remis en tête de jolis souvenirs. Merci pour le choix de la ville. |
Anonyme
10/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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j'ai apprécié cette histoire d'incommunicabilité entre un adolescent presque un homme avec son (beau-)père ...
La difficulté d'aller vers un adolescent fermé est très bien posée .. Des phrases comme le silence est "une torture interminable" évoque bien cela .. La progression de la relation tout au long de cette rencontre avec la ville ...comme si la rencontre avec la beauté permettait l'ouverture à l'autre ... Il y a un certain suspens avec la lettre (bon on devine que vu l'enjeu émotionnel pour le beau-père il pourrait bien être le père !).. mais suspense quand même... De jolies phrases "j'ai décidé de parler quitte à ce que mes mots meurent dans l'air qui nous sépare" " je sens que mes mots ne se perdent plus " "Ce qui est particulièrement émouvant " j'entendis une voix d'homme qui sort de l'adolescence" Il y a des maladresses : l'histoire un peu irréaliste de ce enfant caché...sachant qu'il est s'est marié avec la mère ..pourquoi cacher cette hérédité .. Au début aussi "je n'ai pas sa pureté et sa divinité " je ne doute pas de la supériorité de la femme sur l'homme (je plaisante!) c'est trop ... "moi le beau père qui tente depuis tant d'années de te dompter ";; avec un adolescent il est clair qu'il a tout faux, car chercher à dompter un ado c'est raté d'avance ..peut être était ce davantage le terme apprivoisé .. Bonne continuation car il y a de jolies idées et de jolies phrases |