|
|
Cyberalx
27/7/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Un texte sur la façon de voir la vie ,discutable mais indéniablement bien écrit et décrit.
Il y a hélas des gens qui voient la vie comme un combat acharné, qui voient des victoires ou des défaites dans tous les aspects de la vie et j'imagine que lorsque c'est le cas, ce texte exprime correctement cette façon de voir. N'empêche, ça n'engage que moi mais je trouve ça trop triste, d'une part, et peu réaliste :" Les winners et les loosers", les types qui "respectent les filles" ou les "salopards collectionneurs" : c'est trop manichéen pour moi. Ceci dit, c'est peut être moi qui suis à coté de la plaque, hein :) |
guanaco
24/8/2007
|
un thème qui n'est pas nouveau: d'où je viens, où je vais et surtout comment j'y vais...
le Bien, le Mal, l'inné, l'acquis, la mort, la vie, pourquoi rédiure tout à un champ de bataille? Si tu ressens le besoin de te battre, c'est que c'est TA conception de la vie et donc inconsciemment c'est un schéma de vie que tu t'imposes. Le texte: bien écrit dans l'ensemble mais le fait d'avoir choisi l'option "grand angle" (de la naissance à la mort) lui fait perdre de la matière sur le sujet proposé. Je suppose que tu as dû te battre pour écrire ce texte! Contre qui? Toi-même?... ;) |
Bidis
10/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Je ne suis pas rapide de « comprenure », comme on dit dans mon pays. Il m’a fallu m’y reprendre à deux fois avant de voir poindre l’image des petits spermatos.
Mais c’est bien sûr ! C’est génial comme idée ! Seulement, dans le rayon librairie, bousculée, et feuilletant les livres, celui-ci est vite refermé. Si seulement cette armée avait été mieux décrite, cette bagarre homérique pourrait donner vie à un fort joli texte de plusieurs paragraphes. Toute une page même ! Oh mais que voilà une idée qu’elle est bonne ! Si je suis dans un jour « fût fût » (cela m’arrive) et que l’honnêteté ne m’étouffe pas (dans mes vieux jours, je m’assagis…), je prends mon petit carnet et je note : « bagarre de spermato pour amener une biographie ». Et tout comme la bagarre mériterait une page entière, la victoire demanderait un petit paragraphe court mais brillant-brillant, que dis-je brillant : étincelant !!! Découvrir le monde, c’est quelque chose... Comme pour le paragraphe précédent, ce texte mériterait d’être étoffé, et rendu fort. Se laisser envahir par les émotions du nouveau-né… Mais, mais, mais… Encore une idée géniale et propice à des images percutantes, un texte fort et original. Si j’étais un professeur compétent, j’arrêterais ici ma lecture. Car si ces premières suggestions ont été admises par l’auteur, il sera sur une toute autre lancée pour avoir lui-même l’intuition de ce qui boîte peut-être par la suite. Car une idée appelle des mots, des mot jaillissent qui font chacun une petite explosion en une gerbe d’autres mots… Alors, je continue ma lecture pour mon plaisir, sans plus d’esprit critique, parce que c’est un petit suspense quand même… Mais, nom de nom !, quel suspense génial, ça pourrait être en fait ! En fait, chaque paragraphe mériterait d’être réécrit avec, pour chacun d’eux, quelque chose qui ressort de la guerre spécifique qui est menée, selon le bout de chemin suivi à ce moment de la vie. Même dans le mariage… A deux, on peut être une petite armée – mais dans l’armée, il y a une hiérarchie… Ou on peut être deux chefs, c’est intéressant aussi… Pas besoin de se dévoiler pour autant : le guerrier est un personnage. C’est du mariage en général dont je parle. Il y a des guerrières, il y a des cantinières, il y a des ombres… Et parfois, des victimes dans l’entourage… Pas évident, pas évident, pas évident… Au point de vue de l’écriture, en règle générale et à mon humble avis : souvent des adjectifs ou des noms communs déforcent un autre terme (exemples : « une espèce de courant violent », un courant violent est plus fort – « une place prestigieuse » : ici « une place » suffit, la victoire l’a rendue prestigieuse si la lutte est farouche – « autres territoires inconnus » : « autre » ou « inconnus » mais pas les deux… Ce sont des exemples. |
cherbiacuespe
24/5/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
|
Sur la forme, cette progression en forme d'analogie n'est pas neuve. Elle se justifie dans ce cas pour donner une accroche à cette histoire de guerrier. Cependant c'est aussi une façon d'enlever du relief et une certaine monotonie s'installe au même rythme. Ce récit pourrait ainsi s'insérer parfaitement dans une histoire plus longue avec des assonances entre chapitre. Pris seul, c'est moins évident.
Pour le fond, ma foi, la question se discute. Les expériences sont tellement diverses à travers les époques, les société, les classes, etc... que dégager une vérité innébranlable me semble périlleux. Disons que les arguments sont recevables, pas indiscutables. |