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Togna
9/7/2007
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Ce soir, je vais lire cette nouvelle à Ulysse, mon berger Belge, pour qu'il goutte tout le bonheur de m'avoir pour maître. Et je lui dirai aussi que Luniknat doit beaucoup aimer les chiens pour savoir si bien les faire parler.
Merci pour ce texte bien venu en ce début de départ en congés. |
Pat
11/7/2007
a aimé ce texte
Bien ↓
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Effectivement, c'est un texte de circonstance. A envoyer comme article aux journaux de l'été (ça nous changera des x façons de perdre 3 kilos pour se mettre en maillot de bain). Ceci dit, c'est un texte d'humain, un peu trop anthropomorphique à mon goût. (j'aurais préféré du discours rapporté, mais ce n'est que mon avis). C'est difficile de savoir vraiment ce que les animaux ont dans la tête. Ce texte est plutôt le pamphlet d'un ami des animaux adressé à ces irresponsables de propriétaires qui confondent l'animal avec un jouet.
C'est assez agréable à lire, toutefois. |
Lariviere
11/7/2007
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Je suis d'accord avec Pat quand elle dit que c'est vraiment difficile de savoir ce que les animaux ont dans la tête. D'ailleurs, un chat doit "raisonner" différemment d'un chien, par exemple. Moi aussi le coté anthropomorphique m'a gêné au départ. Malgré tout le récit de Luniknat tient la route tant au niveau de la narration que de la psychologie du chien, telle qu'on peut se l'imaginer. Après tout, puisqu'on ne sait pas ?... Autant laisser ce crédit à la bête, qui est peut être parfois plus humain que nous pouvons l'être. Preuve en est le sujet choisi par Luniknat.
Faire parler un animal reste tout de même un défi particulièrement périlleux et d'autant plus courageux, alors, merci Luniknat ! Moi même je suis tenté de faire ça depuis longtemps, mais je renonce devant la difficulté. Inventer le langage et la "pensée" d'un animal reste une gageure intérressante comme exercice de style, pour tout ce que ça pourrait comporter comme destructuration du langage et transgression des règles de l'écriture. |
teeth
2/8/2007
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce texte me plaît assez. Il m'a fait légèrement penser à une histoire qui circulait dans la blogosphère l'année passée. Et j'espèrais que la fin serait différente.
"Quelque part, je me console en me disant qu’heureusement qu’ils ne pouvaient pas avoir d’enfants... " la phrase est assez gênante. Pourquoi pas : "Quelque part, je me console en me disant qu'heueusement, ils ne pouvaient pas avoir d'enfants..."? "...l’auraient abandonné comme ils m’ont fait à moi..." Même chose qu'en haut. "...l'auraient abandonné comme ils l'ont fait pour moi." Et encore, je ne suis aps sûr de la mienne. Si quelqu'un a une idée, peut-il se manifester? |
carbona
6/9/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Je suis partagée. Des passages qui me plaisent (l'abandon au lac par exemple), d'autres moins. Un sujet que je ne trouve pas passionnant mais j'ai quand même poursuivi ma lecture jusqu'au bout.
Une réflexion peut-être trop attendue, un manque de subtilité dans la description des sentiments. Vous dites peut-être trop les choses. Une écriture correcte mais qui mériterait d'être retravaillée, peaufinée pour éviter certaines répétitions par exemple et pour donner plus de panache au récit. Merci pour cette lecture. |