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Louison
18/11/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Il y a comme un goût de trop peu pour moi à la lecture de ce texte. Il ne se passe rien, on ne voit pas suffisamment la tempête. Juste un ressenti de la mère attachée à son "bébé" par un fil. C'est peu.
Je suis restée à côté de ce texte, j'en suis désolée. |
plumette
19/11/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un agréable lecture qui laisse la lectrice que je suis dans l'opacité créée par la tempête de neige.Où veut nous emmener la narratrice avec ce récit à la fois minimaliste et qui retrace plusieurs vies ( celle du père, celle de la fille)
De jolis contrastes et une évocation originale de la maternité. cette écriture douce m'a permis de cheminer un moment sur cette route glissante, mais je crois que j'aurais aimé lire plus, aller plus loin avec elle deux. Au début, on ne sait pas si on a un narrateur ou une narratrice. Et puis, malgré l'utilisation de "ma fille" je n'ai pas compris que Keelin était la fille de la narratrice avant la fin du dialogue. Peut-être aurait-il été plus intéressant de découvrir ce lien directement par l'histoire, Bonne continuation Plumette |
izabouille
24/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est beau, c'est mélancolique... on voit la neige tomber, on sent le stress du voyage, on sent le lien mère-fille, toute la symbolique qui s'en dégage.
Merci pour le partage et ce bon moment de lecture Iza en EL |
Donaldo75
20/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Luz,
En général, je n'attends pas d'une nouvelle aussi courte qu'elle me raconte une histoire complexe, pleine de rebondissements et de protagonistes, avec de belles explications tout au long du récit de manière à ce que le lecteur, au cas où il soit incapable de comprendre ou d'interpréter ce qui est écrit entre les lignes, ne se perde pas et finisse sa lecture en criant « bon sang mais c’est bien sûr ! ». Alors, à la lecture de ce texte, je me suis régalé, comme disait ma grand-mère dans son Sud natal. C’est fin, les personnages sont cohérents – c’est important pour certains lecteurs, la cohérence, ils vont même jusqu’à rechercher la moindre liaison atomique entre les phrases – et surtout ils sont réels, humains, avec un passé, une histoire, des failles ou des drames. Et la phrase de fin m’a beaucoup plu. Dis-donc, tu ne serais pas poète, toi ? Merci pour le très bon moment. Don |
hersen
20/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Moi, la neige, en plus en tempête, c'est langoisse direct, je ne sais pas dealer avec le froid. Par avance, il me fige.
Alors voir tes deux personnages se lancer dans la traction d'un véhicule en panne, sur une route où l'on ne voit rien, où si la voiture qui tombe en panne, ben, je sais pas,c'est flippant, pour moi. Et puis ce cordon. ce lien. Alors c'est ce que j'ai ressenti très fort, l'angoisse de cette tempête et ce lien, chaleureux, aimant, qui retient tout. Tout ce qui peut mal tourner. Pour ma part, j'aurais continuer la nouvelle plus loin. Elle s'arrête de façon assez abrupte et cela me déstabilise. Autant que la tempête. Mais ce lien est là, toujours. Alors ça roule (façon de dire dans le cas présent !) Dès que j'ai fini ce com, je remets mes gants... Merci luz ! |
Corto
21/12/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Le déroulement de ce texte est surprenant.
D'abord il faut comprendre que Keelin est la fille de la narratrice, ce qui n'est clarifié que vers la fin. Puis le second paragraphe semble venu pour faire volume, il n'apporte rien à la suite du récit. Par contre l'aventure dans la tempête de neige est bien décrite et force l'attention. Sauf que la comparaison de la corde entre les voitures avec le cordon ombilical est vraiment dérangeante voire déplacée: "Elle était redevenue mon bébé, rattachée à moi par un câble de chanvre tressé – cordon ombilical en quelque sorte"... Non merci! Dommage car cette aventure abordée autrement aurait pu faire palpiter le lecteur. A une autre fois. |
in-flight
22/12/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Malgré le faible nombre de personnages, je me suis moi aussi emmêlé les pinceaux dans le "qui est qui?"
Ce texte m'est sympathique pour une raison principale: la R18. J'en ai quasiment fait le personnage principal du texte, bon en même temps, vous ne l'avez pas mis là par hasard ;). Autant vous dire que je suis passé à côté de la relation mère/fille et de la tempête de neige en arrière fond. Effectivement, ce texte ressemble au début d'un roman. |
FANTIN
30/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Court sans doute, mais dense et plein d'humanité. Quelques précisions données ici et là pour brosser le portrait rapide de ces deux vies qu'une tempête réunit et dont elle resserre les liens mère-fille en un nœud à toute épreuve.
J'ai beaucoup aimé ce texte sans grands effets, mais profond et juste. Certain qu'on aimerait continuer à suivre les héroïnes. Merci Luz |
Pouet
2/1/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bjr,
j'ai bien apprécié ce petit instant de vie, ce "sauvetage", cette maman se réappropriant son bébé de fille devenue adulte. Et cette image du câble reliant les voitures comme un cordon ombilical m'est apparue très juste, bien trouvée, émouvante. J'ai aussi été fort intéressé par le début et le travail de Keelin dans un IME, connaissant un peu le sujet des enfants autistes et j'aurais aimé que ce passage soit un peu plus développé. Il y a autant de formes d'autismes que d'individus et loin de moi l'idée de faire des généralités. J'ajouterais simplement, concernant ce passage: "La vie venait à eux, très simplement ; il suffisait de les protéger de la part d’agressivité de la société, leur donner joie de vivre et confiance en eux." que oui, bien sûr cela semble pertinent mais qu'il ne faut pas oublier qu'il faut aussi parfois les protéger d'eux-mêmes, l'automutilation par exemple étant assez fréquente et qu'il faut aussi se protéger et protéger les autres de certains car l'agressivité fait aussi souvent parti de leurs troubles autistiques. Personnellement je ne compte plus les crachats, les coups et les morsures... Mais bien sûr aussi que la rêverie, la poésie sont souvent aussi présentes. J'ai par exemple cette anecdote d'un enfant qui fixait une fleur en pot depuis de nombreuses minutes et qui m'avait répondu lorsque je l'avais interrogé sur sa posture: "Je suis le gardien du grandissement de la plante." Voilà ce que je pouvais dire de ce texte qui, au demeurant, m'a fait passer un bon moment. |
Anonyme
5/1/2019
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Je comprends la valeur de cette régression. Lorsqu'un enfant a grandi, gagné son autonomie et pris son envol, on regrette les moments passés qui ne reviendront pas et si une telle occasion se présente malgré tout, c'est un moment d'une grande intensité. La métaphore, ici matérialisée de fait, du cordon ombilical et du ventre maternel, est bien vue. Je ne suis pas une mère, mais un père et je peux en être pareillement touché.
S'il s'agit d'un moment vécu, je comprends que vous ayez songé à vouloir en transmettre l'émotion. Cela étant, cela reste une anecdote et, précisément, il est dommage que cet instant privilégié soit noyé dans un ensemble d'une très grande banalité. Le paragraphe sur la course de l'attelage et le croisement des véhicules en contre-sens, le plus long de tous, est particulièrement ennuyeux. Le style ne donne pas plus d'épaisseur à cette anecdote. A supposer que cette anecdote ait été vécue, peut-être auriez-vous pu imaginer une intrigue pour donner un peu de lecture au lecteur. Certes, mêler fiction et autobiographie peut paraître dérangeant pour celui qui écrit et aurait le sentiment de travestir le réel et trahir les protagonistes, mais ce ne serait pas mensonge dès lors que l'élément principal à transmettre (l'émotion d'un instant privilégié) demeurerait intact. Moi, je suis lecteur et n'ai pas d'histoire à me mettre sous la dent. |
Malitorne
13/2/2019
a aimé ce texte
Bien
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C'est court mais j'ai quand même bien aimé cette anecdote hivernale, en fait ça m'a rappelé pas mal de souvenirs : les paysages blanchis, la galère quand il faut rouler sur des routes enneigés, le froid. Une atmosphère rurale bien rendue. Un peu dommage que vous n'ayez pas introduit un scénario plus consistant ou du moins approfondi les rapports mère fille.
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