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Adraboz
26/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai eu le sourire aux lèvres à plus d'une reprise en parcourant cette nouvelle, que je trouve originale et bien écrite, mais je dois dire que la fin m'a semblé un peu abrupte.
J'ai cru déceler un petit hic lexical dans le paragraphe 5, je me permets de recopier ci-dessous le passage en question. (...) Le fracas eut pour conséquence atténuante d'envahir mon appartement d'un nuage de poussière blanchâtre, qui m'aveugla quelques minutes, me laissant les poumons pleins d'une poudre cruelle qui m'irritait la gorge. Sitôt que la clarté du jour fut revenue, je pus DISCERNER (au lieu de "décerner"; cependant, "CONSTATER" ne conviendrait-il pas mieux ? Simple suggestion de ma part !!) sur la table l'absence inévitable de ce soixante-sixième stylo qui s'était, à l'image de ses confrères, discrètement fait la malle. (...) |
florilange
26/7/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour M-arjolaine,
D'accord avec la remarque précédente (discerner au lieu de décerner). Également, si j'étais 1 whisky je me sentirais insultée de me faire traiter de pinard. Ce texte me paraît bien écrit & il est amusant d'imaginer que les stylos ont 1 personnalité et n'en font qu'à leur tête. Mais, si l'on veut aller loin avec 1 de ces outils, mieux vaut y mettre le prix. 67 stylos à 90 centimes font... le prix d'1 stylo de qualité, qui ne lâchera pas son auteur. Avant l'informatique, presque tous les auteurs connus ont + ou - décrit les rapports étroits qu'ils entretenaient avec leur moyen préféré d'écriture. |o| Amicalement, Florilange. |
solidane
26/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'aime assez les histoires où les objets ont une âme. C'est le cas ici même si celle-si se perd un peu en fin dans de texte dans autre chose, et onperd le fil. C'est dommage à mon sens. Reste une histoire bien écrite.
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Anonyme
27/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
je trouve que la plongée dans l'absurde est toujours délicate car on peut très vite tomber dans l'excès et lasser le lecteur. C'est un équilibre qu'il me semble difficile de maintenir et qui, pour être vraiment efficace, doit à mon sens, bénéficier d'une structure et d'une évolution très rigoureuses. J'aurais donc aimé plus de réalisme ou de pragmatisme dans le traitement du sujet (le prix du stylo, franchement pas raisonnable et à ce prix là, pourquoi n'en prendre qu'un à chaque fois, ça n'est pas logique, surtout s'il redoute les quolibets du vendeur). Et puis, pourquoi n'a-t-il pas changé de modèle de stylo ? Cela aurait pu conduire à quelques descriptions amusantes de ses différents partenaires et pousser un peu dans la direction des rencontres sentimentales que tu évoques sans l'exploiter suffisamment à mon sens. Je pense que c'était là tout l'intérêt de ta nouvelle, faire avec ces stylos une sorte de tournez-manège, tu avais plein de possibilités (letel le poussait à écrire comme Marc Lévy, la honte, tel autre comme Bukowski et l'amenait à boire...) Voilà, bien sûr, ce n'est que mon avis, une idée divertissante mais j'ai l'impression que tu es passé(e) à côté de ton sujet ou de son potentiel en tout cas. |
Anonyme
27/7/2009
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Bonjour M-arjolaine. En ce qui me concerne, j'ai eu du mal à finir ce récit, qui a mon grand regret, ne m'a pas divertie même si ce dernier est bien écrit. Un peu d'humour, peut-être aurait réveillé cette histoire qui aurait pu, à mon avis, nous emporte dans cet univers surréaliste, mais un peu terne à mon goût. (C'est juste mon impression).
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Anonyme
28/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Excellente idée de départ, l'idée est amusante et originale. Malheureusement, à mon avis, il y a encore trop de hauts et de bas dans le style, des passages à vide qui gâchent, en quelque sorte, les très bons moments qui les suivent (et ils ne sont pas rares).
Cela reste une bonne nouvelle néanmoins. Bonne continuation. |
jaimme
8/8/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une idée de départ particulièrement intéressante, mais... j'attendais plus de richesse dans son développement. C'est dommage.
Quelques effluves d'ennui par moment au milieu de mots judicieusement choisis. Merci quand même. |
leon
8/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Voilà un texte qui déconne bien : une belle petite histoire absurde, pas prétentieuse pour un sou, avec une bonne chûte, bien loufoque, avec tous ces stylos cachés sous le parquet et ce drôle d'alcoolique qui balance ses bouteilles. J'aime bien + et j'attends avec impatience vos prochains textes...
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Milwokee
23/12/2009
a aimé ce texte
Bien
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Sujet original que les affres de souffrance dans lesquels sombre un homme mal-aimé fusse par les stylos ! On en vient à compatir avec le héros, qui ne cherche qu'à sympathiser avec ces petites êtres capuchonnés et se voit systématiquement rejeté sans raison valable. On sent le poids qui l'accable lorsqu'il va en racheter un neuf à ce terrible vendeur dont l'ignominie nous laisse sans voix...
Vraiment bien traité, on se laisse emporter jusqu'à ne plus se rendre compte que tout ceci n'a ni queue ni tête, et l'humour est effectivement au rendez-vous, grâce à la détresse absurde qui envahit ce malheureux. |
widjet
17/1/2011
a aimé ce texte
Pas
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Après sa « petite roublarde » qui recélait quelques attraits surréalistes intéressants et avant son « Amande », je me suis laissé tenter par le premier opus de M-arjolaine. Ma déception est grande. S’agit-il d’un texte de jeunesse ? Quoiqu’il en soit, j’ai trouvé le style très lourd et la lecture a été franchement pénible par ce manque flagrant de fluidité. Je ne vais pas citer tout ce qui a parasité ma lecture (et mon plaisir) mais voici quelques indications :
« Il y en avait pour s'en être approprié un depuis toujours » : formulation lourdingue « qui volaient de l'un à l'autre » : même si ce n’est pas inexact, « passaient » eut été plus juste « Moi-même j'avais perdu toute trace de confiance en moi » : moi, même, je, moi. Ca fait beaucoup. « Le pire était la douleur que ces lectures provoquaient en mon esprit : à les en croire » : dieu que c’est laborieux comme phrasé ! « …crevant ainsi mon plafond de par sa jambe maigrichonne » : idem, c’est lourd à lire. « Sitôt que la clarté du jour fut revenue » : pourquoi mettre un « que » et un « fut ». Supprime et ça coule tout seul. De faon générale, tu mets trop de « que » et ça alourdit la phrase (pense à te lire à voix haute, ton oreille repérera naturellement tous ces scories ») «… elle eut le temps de réaliser la souffrance innommable qui m'agitait, et, charitable, se dirigea immédiatement en direction de mon crâne » : choix des verbes (souffrance qui agite), « se diriger en direction » etc…désolé, mais tout est à revoir dans cette phrase. Et j’en passe… Sur l’histoire, c’est également un peu barré, ça me rappelle l’auteur Solidane (dans ses bons jours lol !). Le début est pas mal…Le reste s’éternise et le final déçoit. C'est dommage car l'idée est bonne et le fait de personnaliser le stylo (l'arme absolue de l'écrivain) aurait pu donner quelque chose de passionnant. Je n’ai pas aimé. W PS : petit conseil, même si ce n'est pas faux, je te suggère de ne pas mettre aux pluriels des phrases comme "leurs stylos", "leurs sourires" car cela dépersonnalise un peu. Les maintenir au singulier confère renforce une appartenance (voire donne un rapport affectueux) à l'objet cité (leur stylo en l'occurence) ce qui en plus va bien dans le ton de la nouvelle et du but recherché. Dis moi si je ne suis pas clair (il est tard et j'écris vite) |