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Anonyme
23/10/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce petit texte est mignon tout plein, vraiment. Pendant les trois quarts du récit, je n’ai pas vu venir le « truc ». Le style est clair, enjoué. L’expression française est sans reproche, sauf...
Pourquoi, dans la bouche d’une petite fille, ce vilain mot qui fait une tâche dans l’histoire : -« la salope passa dans ma chambre entre temps. » En écrivant « la voleuse » par exemple, l’auteur aurait été d’abord plus exact (puisqu’il manque des biscuits) et surtout plus dans la note générale du récit. Un mot peut gâter tout un texte. Dommage. |
brabant
24/10/2011
a aimé ce texte
Bien
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Bien aimé ce petit texte léger... jusque dans ses outrances, j'aurais bien mangé aussi quelques-uns des "deux cents quarante-sept gâteaux".
On devine que le chat est un doudou deux paragraphes avant que l'auteure ne le fasse dire à l'occasion d'une pirouette, amusante. Mais était-il nécessaire de le dire explicitement ? A la fin, je n'ai pas aimé le mot "salope" ; je me serais passé aussi des glaires et autre morve peut-être complaisantes. En revanche, j'ai bien aimé les dialogues poussés au bout : "... raconte à ton papa/... je me déteste/... Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?" Ce texte est enlevé et bien écrit ; les personnages, caricaturaux, sont amusants. |
wancyrs
26/10/2011
a aimé ce texte
Un peu
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C'est une écriture qui promet, elle s'exprime bien, malgré quelque maladresse : "mon frère était un homme de bien" ? ou bien "mon frère était un homme bien" ?
"Dès que j'ouvris les yeux, je fus convaincue qu'il manquait quelque chose dans ma chambre. Je ne sus dire ce que c'était ; assurément j'étais toujours sur mon lit, il était donc bien là." Le "il" qui "était bien là" est mis pour qui ? pour la "chose" ? ne serait-ce pas "elle" ? Même si la narration suit un fil bien établi, l'histoire quant à elle n'est pas aussi claire et je pense que c'est dans ce registre que le re-travail s'impose. |
Charivari
30/10/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai beaucoup aimé cette ambiance, ce côté cynique-ingénu très Lewiscarollien (j'ai bien l'impression que le terme n'existe pas... Tant pis)
C'est assez enlevé et ça se lit tout seul. Les personnages secondaires sont bien campés, chacun dans sa folie (même si je n'ai pas tout à fait cerné le père)... Ça c'était pour le bon. Pour le moins bon, l'expression. Il y a des lourdeurs, et certains passages un peu trop plats niveau stylistique, qui gagneraient beaucoup à être racontés de manière plus truculente. Exemples : demandai-je à ma mère en me préparant un bol de céréales. (pas très joli ce participe présent, en plus juste après, la mère fait déborder le lait, chose impossible, puisque c'est la petite fille qui se le prépare) Je me promis d'arrêter de lui poser des questions trop intimes, cela la perturbait tant qu'elle était alors capable de tout... (un peu indigeste, cette phrase) mon père veillait toujours à ce qu'il n'y ait aucun objet (là il faut un imparfait du subjonctif. ) etc... |
Anonyme
5/11/2011
a aimé ce texte
Bien
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Une bonne ambiance, c'est sûr, et je retrouve votre univers déjanté à la cruauté désinvolte... mais (je crois vous avoir déjà fait ce reproche), j'ai un peu une impression de systématique, de ressassement de procédé et surtout de gratuité : au-delà de la saynète, y a-t-il autre chose à part la perte de l'enfance tout ça tout ça ? Si oui, je ne le ressens pas et cela finit par me gêner.
En d'autres termes : chacun de vos textes, isolé, est plaisant. Quand on connaît un peu votre univers, on (je) déplore que vous restiez en quelque sorte à ses marches, que vous ne permettiez pas à votre lecteur de l'explorer davantage. |
macaron
5/11/2011
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Une histoire simple et cruelle d'une fausse naiveté. La perception de l'univers familial à la fois oppressant et solidaire est décrite d'une manière originale. J'ai très vite compris qu'il s'agissait du"doudou" mais ce n'est pas le plus important. Le "gros mot" en fin de texte me semble tout à fait approprié. Marjolaine n'est plus cette petite fille que son entourage tente de conserver.
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Anonyme
5/11/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'adore cet univers loufoque, absurde, cruel, cynique, hystérique et très bien écrit.
Ce sont les détails qui me mettent en joie : les deux quarante sept gâteaux, le fer à repasser dont on se demande ce qu'il vient faire là, et la télécommande comme instrument de suicide (quoique...) et même la grossièreté de la fin me ravit parce que inattendue. On ne devine pas du tout de quoi il s'agit sauf quand on en vient à évoquer la machine à laver. C'est très bien fait. Pour moi, cette histoire, c'est du nectar. |
Anonyme
9/11/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Toutes les questions et les réactions qu’elles suscitent sont disproportionnées, décalées, hors de propos. Donc la petite histoire du petit chat est grandement loufoque, genre famille Adams mais seulement un bref passage, un petit épisode secondaire.
J’ai du mal à rentrer dans le jeu. J’ai besoin de matière pour me nourrir et les petits gâteaux ne me suffisent pas. |
horizons
22/11/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Un auteur à la personnalité originale qui mêle ironie et absurde.Pourquoi pas. L'écriture est accessible, l'intrigue bien construite et on alterne bien entre réalité et imagination. Mais je ne suis pas sûre qu'on puisse aller très loin avec ce style sans être caricatural. Ou alors il faut écrire l'Ecume des jours et être Boris Vian !
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Anonyme
7/12/2011
a aimé ce texte
Bien
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bon texte, sympa à lire, surtout vers la fin, qui laisse place à 1000 interprétations.
il manque peut être une accroche plus efficace (j'ai failli arrêter de lire après le premier paragraphe) : on doit savoir dès le départ que la nouvelle porte sur la quête du chat. Un style plus direct, une meilleure cohérence des personnages (en particulier la fille : 1er § : elle ne parvient pas à identifier que c'est le doudou qui lui manque, elle pleure le doudou à la fin), et quelques rappels entre les actions (moustache arrachée, lait qui déborde, ...) peuvent améliorer le récit. |
Anonyme
8/2/2012
a aimé ce texte
Pas ↑
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C'est le second texte que je commente de M-arjolaine depuis mon arrivée ici. Je me rends compte que cette personne a un univers bien défini, totalement absurde, ou fortement décalé, avec des personnages exagérés.
C'est assez agréable à lire, même si relativement répétitif je trouve. L’exagération est un art où il ne faut jamais trop en faire, mais toujours en faire assez, et ce texte n'évite pas les deux écueils: il y a trop de signes permettant de deviner que c'est le "doudou" de la jeune fille, et plus assez pour rendre la fin cocasse. Il aurait fallu se lancer dans quelque chose de plus effréné, avec collage d'affiches dans le quartier, chez les commerçants, ce qui aurait permis une plus grande exagération et peut être de noyer plus le poisson. La fin est presque fade en terme de drôlerie, d'exagération, j'aurai bien vu un frère plus "fou", et une belle sœur beaucoup trop "normale". je crois mais je peux me tromper, que vous avez voulu publier ce texte sans suffisamment le travailler. C'est dommage, mais j'aime votre style. |
jeanmarcel
16/2/2012
a aimé ce texte
Bien
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J’ai vraiment pris du plaisir en lisant cette œuvre bien enlevée et drôle. C’est le deuxième texte de l’auteur que je commente après L’œuf et le scarabée et je commence sans doute à m’habituer à cette univers étrange où une jeune fille bizarre vit avec une mère foldingue, un père hyper émotif et un frère "homme de bien". Un vent de folie traverse cette histoire somme toute banale mais complétement barrée. Quant à la chute je la trouve savoureuse et cruelle, d’une méchanceté réjouissante : la belle-sœur se met au diapason de sa troublante belle-famille et vole des gâteaux. Un petit Monde très attachant qu’il me tarde de retrouver.
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Anonyme
27/3/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'écriture est légère avec juste ce qu'il faut d'exagération. L'univers est complétement foufou, pour le plus grand plaisir du lecteur.
Ma seule déception est : pourquoi un doudou et pas un vrai chat. À la phrase : "Il a fallu lui recoudre la queue, il a perdu un œil, et l'autre est devenu tout jaune." Je me suis dit : "d'accord, c'est une peluche... quoique dans cet univers rien n'est moins sûr. J'aurais trouvé hilarant qu'un véritable chat doive se faire recoudre la queue et être passer à la machine à laver. (peut-être même que cela l'aurait amuser la machine à laver !) Je n'ai pas compris une chose par contre -- peut-être n'y a-t-il rien à comprendre -- pourquoi le père, si aimant, a-t-il détruit le doudou ? Bon, dans un texte pareil, il n'y a pas vraiment besoins de justification, mais je dois admettre que cela m'a chiffonnée. Pour se venger elle lui arrache la moustache ! Bien fait :P Bref, j'ai vraiment aimé ce texte, son humour absurde et ses personnages décalés. Bravo ! |
Anonyme
11/8/2012
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Excellent ! Chute simple et efficace ! Pétri d'un humour retenu mais délicieux vu le contexte ! Juste une petite question, car je reste comme cette adorable enfant légèrement fracassée des étages supérieurs : pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Pourquoi (et comment) le géniteur-fou de cette paisible maisonnée a-t-il écrabouillé le petit chaton-doudou ? J'avoue que cette question m'inquiète ? J'ai beau demander à mon infirmier et au directeur de mon hôpital, eux aussi ne comprennent pas... et ça me tracasse, ça me tracasse...
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