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Anonyme
30/8/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Je confirme l'incipit, il n'est pas facile d'emboiter les différents éléments de l'histoire. Surtout la fin, faut-il comprendre que le narrateur s'est mis avec la cousine de Franck ? L'ensemble est un peu confus, disparate, par rapport à mon interrogation je ne vois pas l'intérêt de cette liaison pour le développement de l'intrigue.
Et surtout, le thème du concours passe trop à l'arrière-plan, les yeux sont loin d'être le pivot du récit, comme si vous ne saviez pas trop où les placer. On sent bien d'ailleurs avec la toute dernière phrase que vous tentez de les rendre davantage appparents. |
wancyrs
1/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Belle histoire, même si de l'intrigue il se dégage cette forte impression du déjà vu ; c'est l'écriture fluide, se lisant sans encombre qui sauve le reste. La chute est surprenante et un peu décevante ; pour "une authentique dissidente au régime de Poutine, engagée, courageuse, luttant pour une véritable démocratie dans son pays... ", Svetlana se calme une fois loin de son pays et fonde même une famille, ce qui détonne un peu avec ce qu'elle est censée être. Mais nous sommes en sentimental/romanesque, cet écart est très pardonnable.
Il y a un vrai travail de recherche sur les informations divulguées dans le texte, et j'aime bien la forme du récit, son découpage crée un effet scènes de cinéma. Dans l'ensemble j'ai aimé. Merci ! |
Bidis
8/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai fait une petite confusion entre la Croatie et le Brésil et surtout, je n'ai pas trop compris la chute, à qui s'adresse le narrateur. A Frank ? Je n’avais pas compris que ce personnage se trouvait aussi au Brésil. Mais à part ça j'ai beaucoup aimé ce texte. J'ai même eu les larmes aux yeux. Sans doute parce que je sais l'horreur qu'était la terreur sous le communisme, les gens qui disparaissaient et l’intolérable torture que représentait leur disparition pour leurs proches et pour leurs amis.
Les grands malheurs peuvent donner beaucoup de mystère et de profondeur aux regards, mais en plus quand les yeux sont beaux… |
cervantes
21/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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L'emboitement des différents voyages ne me semble pas apporter un supplément à l'histoire et un peu comme dans le film le concert, j'aurais préféré une révélation artistique ou politique de cette intrigue.
Le sujet est néanmoins original trop "langue parlée" dans sa forme. |
Anonyme
21/9/2015
a aimé ce texte
Pas
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Une fois n'est pas coutume, j'avoue n'avoir rien compris... Quel rapport entre cet enfant guarani et le reste de l'histoire ? Ca avait bien commencé mais ensuite, j'ai complètement perdu le fil.
De plus, je n'ai pas aimé les dialogues, la façon de s'exprimer. Je n'ai pas du tout accroché. J'espère que vous ne m'en voudrez pas... Wall-E |
Pepito
22/9/2015
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Bonjour Macaron,
Forme : bonne écriture, rien de particulier à souligner. Découpage : dommage d’être obligé de transformer l'incipit en mode d'emploi. Mais, ici, je comprends très bien votre problème. Hors lecture linéaire, point de salut. ;=) Fond : aucun rapport avec le concours, sauf de vagues "yeux bleus" rapportés à la va-vite, mais ce n'est pas rédhibitoire pour moi. Ce texte est surtout intéressant par son sujet. Les nouvelles mêlant voyage et Politique sont si rares sur Oniris. Alors qu'elles traitent du monde qui nous entoure et surtout, de ses ennuis. Le traitement du sujet est certes manichéen, mais a le grand mérite d'exister. Merci pour la lecture. Pepito |
Agueev
22/9/2015
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Etant marié à une belle femme russe aux yeux bleus... et étant proche de la Russie pour m'y rendre très régulièrement, cette nouvelle aurait pu me plaire. Pourtant sur la forme, je reste dubitatif car il faut se concentrer pour suivre le déroulement de l'histoire et de certaines situations (qui parle, qui est avec qui, etc...). Et d'une façon plus personnelle, le cliché d'un Poutine dictateur est fatiguant, lorsque l'on connait bien la Russie, les russes la vision qu'ils ont de leur pays et de leur dirigeant.
Enfin le thème des yeux reste anecdotique dans l'histoire. |
ameliamo
22/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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C’est une nouvelle bien écrite, mais l’auteur a usité une façon cinématographique, en fragmentant le texte brusquement sans une véritable liaison entre ces fragments. Le fait que des souvenirs sont placés dans un espace exotique par lui-même, mais sans aucune tangence avec le sujet, il constitue un désavantage pour le texte. Revienne d’affirmer que c’est bien écrit, ce texte, presque professionnel.
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alvinabec
22/9/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour macaron,
La quête de la mère disparue puis retrouvée par le prisme de la cousine engagée comme sa tante me plaît bien. Peut-être pour la compréhension de l'histoire aurait-on pu en savoir davantage sur les motivations de Francky qui d'un seul coup quitte ses potes et la promesse d'un été chaud bouillant pour une destination moins glam'. Comment lui germe cette idée de traverser l'Oural? Les réminiscences au décours d'un voyage sont plaisantes entre Argentine d'aujourd'hui et Russie de la décennie précédente. Il me semble qu'il y a un problème de focalisation dans le texte, on ne sait pas toujours qui s'exprime d'où difficulté à suivre l'évolution des personnages. La chute m'a paru abstruse. A vous lire... |
Automnale
23/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Puisque ce récit ressemble à un véritable puzzle, tentons de récapituler.
Après avoir découvert les chutes d’Iguaçu, côté Brésil, le narrateur se trouve à la gare routière de Buenos Aires. Il commence à évoquer son ami Franck. Quelques années au préalable, une bande de copains, dont lui-même (le narrateur), envisageait d’allait s’éclater, dans un club de vacances, en Croatie. Contrairement à ses habitudes, l’ami Franck, préférant s’envoler pour la Russie, ne fera pas partie du voyage. Un peu plus tard, en France, l’hiver sévit. Quelle rigolade de voir Franck se pointer, au bar, avec sa chapka ! Ce dernier repart en Russie. Son père, inquiet, se confie… Irina, la mère de Franck, aux yeux inoubliables, était d’origine Russe. Pour raisons familiales, elle retourna dans son pays… Nul ne la reverra plus… Et Franck ? Accusé de complot contre l’Etat, il est rapatrié grâce à l’intervention du Quai d’Orsay. C’est accompagné de Svetlana, sa jolie cousine, qu’il revient. Retour à Buenos Aires, à l'aéroport cette fois... Le narrateur vient de passer des jours heureux avec Svetlana, la jolie cousine. Cette histoire m’a donné le sentiment qu’il pouvait s’agir des grandes lignes d’un roman. Si tel n’est pas le cas, il y a, là, matière… Très légers détails : - Ne manque-t-il pas un "s" à : "Je pensais à un reproche..." ? - « Lui ne semblait pas comprendre, autre part, toujours le petit sourire en coin »… (n’est-ce pas davantage un langage parlé que littéraire ?). - « Sans véritable prise de tête » (expression, à mes yeux, rédhibitoire). Je ne me suis pas du tout ennuyée en lisant ce texte, bien écrit, qui a le mérite de nous faire voyager. Et, devant mon ordinateur, j’aime cela ! En outre, les dialogues, crédibles, rendent la narration bien vivante. Si je positionne ma flèche vers le bas, c’est qu’il ne m’a pas été si facile d’emboîter les pièces du puzzle (quand bien même étions-nous prévenus !). Merci, Macaron. Nous n’oublierons pas les yeux de la tante Irina… |
AlexC
23/9/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour macaron,
Votre introduction, réflexion sur les nostalgies inhérentes aux retours de voyage, m’avait emballé. Je me suis dis, chic, enfin un texte concours avec un peu d’épaisseur… et puis finalement non. Vous partez sur un sujet totalement différent, la passion mystérieuse d’un ami pour la Russie, expliquée au demeurant par son lien du sang et non par une quelconque expérience personnelle qui ferait écho à vos premiers propos. Du coup, l’ensemble manque de cohérence à mon goût et de substance aussi puisque la partie qui aurait été intéressante (la découverte de ses origines, le questionnement sur la disparition sa mère, la situation socio-politique de la Russie, etc) n’est ici même pas évoquée. En ce sens, le regard extérieur du narrateur, qui finalement nous raconte l’anecdote derrière la rencontre avec sa femme, limite grandement l’intérêt global du texte je trouve. Enfin la chute m’a laissé de marbre. Trop facile, trop forcée, et sans réel rapport avec la première partie (la nostalgie du voyage) et la seconde (l’ami sur les traces de sa mère révolutionnaire). Quelques remarques : -“Il demandait de le rappeler, c’était urgent, à propos de son fils.” Difficile de deviner je trouve à la première lecture que c’est ici le père de Franck qui parle. -J’aurais bien vu Svetlana aurait aussi pu être la soeur de Franck, encore plus “twisté”, mais ça n’aurait pas vraiment changé grand chose. Je tique : “l’obsession de la nostalgie” “J’ai un ami, Franck, parti un jour en Russie pour quelques vacances." “un grand silence stoppa net notre entrain à imaginer nos aventures en Croatie.” “un peu d’argent frais” “Lui ne semblait pas comprendre, autre part, toujours le petit sourire en coin.” “sans véritable prise de tête” A vous relire prochainement. Alex ps : concernant le concours, les yeux ne me semblent pas être au centre du récit, il y a trois références (à peine plus que dans un texte hors concours) et surtout aucune uniformité, fil rouge. Ce sont d’abord les yeux sombres de la jeune fille argentine, puis les yeux inoubliables d’Irina et enfin ceux de Svetlana qui font timidement le lien... |
Blacksad
23/9/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
Je me suis perdu dans ce récit... bon, c'était annoncé en même temps. Mais ce qui m'embête, c'est que je n'ai pas eu envie de faire l'effort de rattacher les morceaux. Paresse légendaire ou bien l'histoire qui ne m'a pas suffisamment captivé, au choix... Bref, je n'ai pas accroché, pas tant au niveau de l'écriture, plutôt agréable, mais plutôt sur l'intrigue pas vraiment palpitante à mon goût et qui plus est noyée dans un découpage ardu. Au plaisir de redécouvrir votre belle plume sur un autre texte ! PS : à l'instar de plusieurs autres commentaires, je trouve que le thème du concours est traité de bien loin... |
carbona
24/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Votre texte suscite de l'intérêt : qu'arrive-t-il à Franck ? On a envie de savoir et on lit avec plaisir. ça y est j'ai compris, je croyais jusque là à un changement de narrateur et en relisant je comprends : c'est le narrateur qui s'est marié avec Svetlana, j'ai cru au départ que c'était Frank qui s'était marié avec sa cousine, oups ! Bref, tout ça pour dire que je n'ai pas saisi dès la première lecture, peut-être une ou deux phrases pour faciliter les transitions permettraient une meilleure compréhension ou glisser quelques infos dans le premier paragraphe histoire de mettre le lecteur en haleine et de cadrer l'intrigue. Merci pour ce texte. |
Perle-Hingaud
25/9/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour macaron,
J’ai un faible pour les histoires qui ne racontent pas « qu’une » histoire sentimentale. C’est le cas de votre nouvelle : dépaysement géographique, ancrage dans la politique : des éléments qui, ajoutés à votre écriture, sont prenants. La structure du récit est sympa, elle donne du rythme. Quelques remarques sur l’intrigue : Je n'ai pas bien compris: le père est toujours marié à cette russe qui a disparu ? Pourquoi et surtout comment en avoir fait un secret, si justement il la recherchait ? Je suppose que ça a duré des années, avec des contacts officiels ? Et puisqu'elle est repartie en France, d'après la sœur, pourquoi la rechercher uniquement en Russie ? Ce n’est pas la disparition qui me trouble (c’est tout à fait crédible) mais la façon dont le père l’a vécue et présentée. C’est trop rapidement développé pour que je puisse y adhérer, je crois. Merci pour cette lecture ! |
toc-art
12/12/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Je n'ai pas lu les contraintes du concours pour lequel ce texte a été présenté. Mes remarques seront peut être inappropriées. J'aime beaucoup les histoires puzzle et le fait de devoir raccrocher les morceaux me plait. Il me semble cependant que le premier paragraphe n'apporte pas grand chose à l'intrigue, sauf à introduire le personnage de Franck. Mais ce qui me gêne c'est que vous dites alors qu'il n'est jamais bon d'être nostalgique d'un voyage. Or, à la réflexion, l'intérêt persistant de franck pour la Russie est plutôt une bonne chose puisqu'il lui permet de retrouver sa famille russe et donne in fine au narrateur l'occasion de rencontrer sa compagne. Après, pour en revenir au 1er paragraphe, je comprends qu'il vous permet aussi de fermer la boucle en y revenant dans la chute mais là, pour le coup, je trouve la ficelle un peu grosse et je sens trop votre intention d'auteur. J'ai préféré le style adopté ici par rapport à celui utilisé dans votre dernier opus et, si je n'adhère pas totalement à l'histoire qui est traitée de façon un peu superficielle, je trouve le tout mieux réussi. |