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Anonyme
9/2/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Vengeance personnelle d'une femme trompée depuis des années, et sous ses yeux ! C'est un peu brutal et je ne vois pas trop d'intérêt à lire cette nouvelle. J'aurais aimé un peu plus de sensualité, dommage.
Wall-E |
Anonyme
10/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je pense qu'il y avait matière à mieux faire, surtout avec une écriture de cette qualité. J'ai un peu l'impression que vous avez expédié une histoire qui méritait plus de rebondissements ou, du moins, de progression. Car tout va très vite après la scène du restaurant. Réjane qui enfourche de but en blanc son amant (elle est vraiment saoule alors !), un inconnu qui arrive et les abat, fermer le rideau. On n'a pas le temps de s'étonner que tout est déjà terminé. C'est vraiment dommage que vous n'ayez pas conféré plus de densité à ce drame conjugal.
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carbona
11/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
C'est un bon texte agréable à lire, sans émotions. Juste des faits. A se demander si Raymond est dans le coup ou s'il est juste totalement déconnecté mais visiblement cette fin lui convient parfaitement, elle est un soulagement pour lui. On a du coup l'impression d'un être totalement coupé de ses émotions, apathique. On aurait pu avoir cette même impression de Graziella mais non puisqu'elle orchestre le bouquet final. Graziella a je pense quitté son état apathique depuis longtemps au moins depuis aussi longtemps qu'elle a échafaudé son plan et jouer la femme apathique lui permet de réussir son coup sans éveiller les soupçons. Merci pour ce texte, le thème abordé me plaît tout autant que le traitement que vous en faites. L'ordre n'était pas celui prévu. Graziella avait-elle juste envisagé d'éliminer le mari en rentrant seule avec lui ce soir-là ? Bon ben comme on dit, d'une pierre deux coups et je crois que tout le monde est content. Merci, Carbona |
hersen
12/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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la nouvelle va vite et on a du mal à s'imprégner de la Saint-Valentin !
Finalement, je ne sais pas trop quoi penser de sa construction. j'ai le sentiment que des choses importantes à l'histoire ne sont pas dites, sans doute pour "rester en suspens", en quelque sorte. Et cet aspect est assez réussi, je dois dire, l'impression que tout est parachuté. C'est un peu une caricature. "I due" deux balles et on n'en parle plus; Un rêve de certains pour la St-Valentin? Merci pour cette lecture. |
vendularge
13/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Cette histoire assez bien écrite me paraît décalée (ce qui est aussi le sujet du concours). Le glissement de la situation normale, banale à l'extrême (conversation entre époux, diner au restaurant..) à celle du salon arrive un peu comme un ajout de dernière minute puisque rien ne la laisse présager. Je crois qu'une étude un peu fouillée de la psychologie des personnages aurait ajouté un peu de matière à ce récit. Merci |
Pouet
25/2/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'écriture est agréable, à mon goût bien que sans grande surprise.
Quelques détails toutefois comme "le gérant d'une station-service de carburant", il me semble que "de carburant" est de trop, une station-service vend toujours de l'essence non? Mais je peux me tromper. Sinon, "ce job peu valorisant", je ne vous pas bien en quoi, y a bien pire... Pas trop goûté non plus à "couine sa retenue". Bon, Massimo n'échappe pas au cliché de l'italien gouailleur et fort en gueule. Sur le fond j'avoue avoir eu du mal à adhérer à votre récit, je n'ai pas bien réussi à m'imaginer la scène et à trouver ça crédible. Massimo et Réjane à un tel degré de désinhibition me laisse un brin songeur... Pas compris le "il attend un ordre de sa soeur ou sa cousine"... Le vengeur sicilien de la fin, c'est le frère ou le cousin de Graziella? Faudrait choisir non? J'ai trouvé ça étrange. Ou bien alors c'est le point de vue de Raymond qui suppose? Ou un détail m'a échappé. Pas très clair pour moi. Ce coup de théâtre m'est apparu trop théâtral justement et je n'y ai guère adhéré, trop "gros". Voilà au final un texte qui m’apparaît bien écrit mais qui, pour moi, force trop le trait et perd de ce fait beaucoup en réalisme, catégorie du texte. |
Bidis
25/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un style plutôt journalistique, qui me fait un peu penser à Pierre Bellemaere quand il raconte ses « histoires extraordinaires ». C’est facile à lire et l’intérêt est immédiatement éveillé. On sait qu’il va se passer quelque chose d’inhabituel, de violent ou de sanglant d’après le thème du concours, et on s’en réjouit.
Mais, pour moi, cette attente est finalement déçue. On dirait qu’une fin tragique est plaquée sur une scène qui se veut érotique mais qui, à mon avis, est assez banale et ne provoque guère d’émotion. Quelques petites remarques ponctuelles : - « qui n’en décroche pas une. » : à mon avis, expression un peu trop familière pour un texte très neutre jusqu’ici. « Et toi Massimo ? » A mon avis, la familiarité qui, dans la vie quotidienne, fait des ellipses ne convient pas toujours à des textes par ailleurs précis. « Et toi, Massimo ? » revient ici à demander s’il a aussi toujours bon goût alors qu’on doit sous entendre toute une proposition « «Et toi, Massimo, quel ton p’tit cadeau à ta femme ? » - « il n’a pas pensé ou trop tard » : Même remarque. On commence à devoir compléter le texte à la place de l’auteur. Cela ne nuit pas à la compréhension du texte, mais un peu à l’agrément que l’on prend à le lire. - « Il est sans aucun doute l’amant de sa femme » : Les pronoms personnels et les adjectifs possessifs demandent toujours beaucoup de précision car si le sens est évident, malgré tout, la moindre confusion perturbe la lecture. Je n’ai pas trouvé la règle, mais pour moi, le « Il », sujet de « Il est sans doute l’amant » renvoie au sujet « il » de la proposition précédente « Il apprécie », alors le sens veut que ce pronom renvoie au complément de ladite proposition, « Massimo ». Même imprécision pour l’adjectif possessif « sa » de « sa femme ». Plus loin, toujours ces possessifs et toujours cette imprécision avec « sa brutalité » qui renvoie à Massimo suivi de « son désir de sérénité » qui renvoie à Raymond. |
Vincendix
25/2/2016
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Commédia dell’ arte et vendetta, Casanova et Messaline, Pantalon et Colombine, un récit sans originalité mais que se lit facilement.
La description des personnages est appuyée ce qui rend les deux amants antipathiques et leur destin fatal ne touche pas le lecteur que je suis. Quand à la passivité de Raymond elle est pitoyable. Finalement, Graziella la tueuse par délégation est la plus sympa et Don Giovanni Valentino aura sa récompense. |
Anonyme
25/2/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bonsoir,
j'ai trouvé ça un peu gros, un peu trop brutal, que ce soit dans le déroulement, les dialogues, les caractères des personnages, peu crédible et trop abrupt pour la fin. L'histoire en soi me semble intéressante, j'aurais aimé un traitement plus délicat, ici j'ai l'impression que la scène est surréaliste, comme s'il fallait que ce soit injustement cru, violent et cruel. Au final, je n'ai pas vraiment goûté le récit, puisqu'il s'appuie entièrement sur le rebondissement de fin, rebondissement que j'ai trouvé mal géré, avec mes excuses à l'auteur. Merci. Et bonne chance pour le concours ! |
Anonyme
27/2/2016
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je suis déçu, sur la forme et sur le fond.
La forme : C'est bien écrit, nul doute, mais je trouve l'écriture si sage et monotone que j'ai un peu l'impression de lire un article de journal. Le fond : J'ai l'impression de trouver quelques morceaux mis ensemble, mais sans véritable liant et, surtout, des morceaux un peu durs à avaler. Enfin, un gros morceau, surtout. Il n'y a pas véritablement de progression qui permette d'introduire la suite des événements. Et pourtant, il en aurait fallu une fameuse pour pouvoir croire à cette scène de coït donné en spectacle, qui plus est justement au moment où le frère ou le cousin se pointe. C'est trop d'invraisemblances. Je sais ce dont vous êtes capable et j'ai l'impression d'un texte écrit à la hâte avant l'échéance du concours. Remanié, il pourrait peut-être donner quelque chose. |
Automnale
1/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh bien, quelle histoire ! Après l’avoir lue, qui aura hâte de voir la Saint-Valentin arriver ! Bon, il nous reste un peu de temps jusqu’à la prochaine !
Les quatre - bientôt cinq - personnages sont plutôt bien campés. De façon succincte, mais efficace. Raymond Lechantre, qui fume cigarette brune sur cigarette brune, est gérant d’une station-service de carburant. Sa femme Réjane, la petite quarantaine, travaille dans une banque. Elle revient à la maison à 18 heures. On se demande ce qu’elle vient y faire, à part trouver à redire après son homme. Le soir de la Saint-Valentin, les voilà, avec un couple d’amis, au Napolitain, restaurant, comme son nom l’indique, italien. Massimo est un collègue - mais pas seulement - de Réjane. Graziella, son épouse, ne parle pas beaucoup. Méfions-nous cependant de l’eau qui dort ! La Saint-Valentin est une belle connerie, pense Raymond qui, à mon avis, n’a pas tort du tout… Au fil de la soirée, Réjane est ivre, complètement ivre… Le dernier verre, ils vont le prendre chez Massimo… Celui-ci se rapproche, sans se gêner, de Réjane (l’épouse de Raymond). Ils se rapprochent tant et tant que Massimo, échauffé comme une locomotive à charbon, laisse entendre un souffle court. Réjane râle, dans le sens sensuel du verbe… Massimo couine… Pour Raymond et Graziella, le spectacle est, forcément, insupportable. C’est alors que Giovanni, comme au théâtre, fait son apparition. « I due ! », lui ordonne Graziella. Certes, nous le savons, elle s’exprime peu mais, lorsqu’elle le fait, ce n’est pas pour rien. Giovanni sort un revolver et abat, sans trembler, Massimo et Réjane... Graziella, avec le tueur, quitte alors la scène du crime. Quant à Raymond, il appellera la Police lorsque sa dernière cigarette sera consumée… …… Moi qui suis loin d’être friande de théâtre (et de tabac !), j’ai apprécié cette histoire, son côté vivant et original. L’ayant lue voilà plusieurs jours, elle me trotte encore dans la tête. Raison essentielle pour laquelle je vais la placer, dans le cadre du concours, dans le trio susceptible de grimper sur le podium. Merci, Macaron. Ce n’est pas la première fois que j’éprouve, pour votre écriture, un petit coup de cœur. |
Blitz
13/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un style un peu surprenant pour une nouvelle de ce type, ce qui n'est pas inintéressant. Mais j'ai eu du mal à être entrainé jusqu'à la fin. L'intrigue n'est pas très originale mais pas banale non plus. Une description de la psychologie des acteurs aurait sans doute apporté un peu plus de profondeur.
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