|
|
Bidis
14/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Histoire fort jolie, très bien racontée, très joliment écrite. On reste sous l'impression de ce texte, entre posésie et mélancolie.
|
Werther
15/11/2007
|
Une très belle histoire, écrite avec une fluidité et une légèreté remarquable...J’ai bien aimé la fin, si douce et si jolie !
|
Leo
19/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Une histoire immatérielle et intemporelle, impossible à situer dans l'espace et dans le temps, douce-amère, tendre et fragile comme une fleur de cerisier.
J'ai beaucoup aimé cette intemporalité, qui interdit de situer avec précision non seulement l'époque, mais aussi la chronologie. Elle accroît la dimension du mystère. La fin, qui évoque une longue séquence d'un célèbre film de Kubrick, méritait cependant une bien meilleure exposition, d'autant plus que les mots tombent juste et que le thème aurait supporté plus de longueur. Ca, quelques petites maladresses de style et une mise en forme un peu trop plate qui ne met pas suffisamment en valeur l'émotion, sont les petits défauts qui limitent ma note. |
Togna
21/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Poésie et pudeur pour une touchante et originale approche du deuil.
|
Anonyme
29/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Tant que quelqu'un pense à nous, nous ne sommes pas
réellement morts... Très poignant, écriture fluide, lecture aisée. J'ai beaucoup aimé. |
xuanvincent
5/5/2008
|
Quelle belle histoire ! Je cherche mes mots... Très bien écrite, pleine de poésie... Emouvantes retrouvailles entre la mère endeuillée, devenue l’ombre d’elle-même et sa fille, fantôme léger apparaissant dans le cerisier, au moment où le père veut abattre l’arbre. La mère est-elle folle ou bien voit-elle réellement sa fille dans le cerisier ? L’on hésite entre rêve et réalité. Deux espaces temporels paraissent se dérouler simultanément. La mère s’étonne de voir sa petite fille vieillir tel un être de chair et de sang, jusqu’à la disparition de sa fille adorée. Pourtant, le lendemain déjà et non pas des années après, l’arbre est coupé. La fillette ne sera apparue qu’à une seule personne, celle-là même dont on disait qu’elle avait perdu l’esprit. Pourtant, l’histoire semble donner raison à la mère, puisque, fait extraordinaire, des cendres de l’arbre quatre cerises sont nées. Une pour chacun des membres de la famille. Ce conte, jusqu’à la très belle image de la fin, m'a beaucoup touchée.
|
xuanvincent
25/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Ce très beau conte, tant pour son imaginaire que son style (très bien écrit) mérite à mon avis bien un 15.
PS : Je relis ce texte, plusieurs mois après, cette histoire qui m'avait touchée, et je retrouve de nouveau l'importance de l'arbre, d'un arbre aussi vivant qu'un être humain. |
marogne
21/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Fantastique, la première partie, d'une beauté à couper le souffle, merveilleux oserais-je écrire? (*)
Une idée vraiment originale, qui prend à contre pied les idées que l'on se fait sur la façon dont les fantômes vivent et vieillisssent. on a devant nos yeux un univers entier qui s'ouvre, qui se crée chaque fois qu'un des notres disparaît et qui se multiplie à toute vitesse, quitte peut être parfois, à revenir dans le notre? La douleur de la mère est très bien représentée, et on se sent à ses cotés, contemplant sans espoir (au début) l'arbre maudit/béni. Une écriture ici aussi très agréable, sans effets superflus. Et l'image à la fin, ces quatres cerises qui poussent en hiver (oui, automne...), comme un printemps, le renouveau de la vie le jour des morts; mais le jour qui précède est celui de tous les saints, c'et sans doute eux qui permettent ces miracles... Et ouis les cerisiers, symboles de la mort en pleine beauté au Japon..... |
Menvussa
9/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un très beau texte, émouvant, poétique. Les fantômes existent-ils si exister peut alors avoir un sens. Garde-t-on un contact avec l'être disparu, peut-il se mouvoir dans un monde parallèle. Que de questions.
Cela m'a beaucoup plu. |
Anonyme
8/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonne idée qu'a eue Maëlle de ressortir une oeuvre de jeunesse, ce qui m'a permis de remonter jusqu'à celle-ci.
C'est remarquablement écrit. Tout en retenue. J'ai frissonné à plusieurs reprises. C'est la première fois que ce phénomène ce produit à la lecture d'un texte sur Oniris. Comme si la petit fantôme allait se manifester. La chute signifie, de façon très poétique, le retour à la vie. Superbe nouvelle. |
studyvox
9/11/2008
|
Et dire que je suis passé à coté de cette nouvelle!
Tout aété dit, mais j'ajoute encore un "très bien plus", pour cette évocation poignante particulièrement réussie. C'est le plus beau texte de Maëlle que j'ai lu. |
victhis0
10/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Que de tact et de justesse sur un sujet ou la sensiblerie guette à chaque phrase...Que de tendresse pour cette mère endeuillée qui survit comme elle peut et vit par procuration l'évolution probable de sa fille. J'en ai des frissons !
J'ai encore en moi cette mère, tellement présente alors que rien n'est dit sur elle, cette histoire profonde comme un cercueil et pourtant pleine de vie : cette ambivalence maîtrisée, cette simplicité lumineuse mérite très largement ses quatre plumes. Bravo |
Nobello
18/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Super...
|
Anonyme
21/2/2009
|
C'est tendre, doux comme une caresse et chaque image résonne.
Le merveilleux existe, l'auteur me l'a fait rencontrer. Et la dernière image s'est figée dans mes rétines. J'attends les prochaines cerises avec impatience. Une bien belle histoire, féérique. Rare. |
Ariumette
2/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Je ne me suis pas ennuyee une seconde. C'est endre sans etre gnangnan... Tres jolie histoire vraiment ! Merci !
|
hevoeh
9/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Des réminiscences shakespeariennes ?
On perçoit chez Martha à la fois l'effroi et la stupeur qui envahissent le cœur du jeune prince Hamlet lorsqu'il aperçoit le fantôme de son père qui se promène sur les murailles et disparaît comme un souffle. Très irréel le défilement des années chez les esprits. L'auteur voudrait-il nous enlever même notre préhension sur la notion de temps pour accentuer encore notre déstabilisation. Très bien décrit tous les aspects psychologiques chez la famille et notament chez Martha de la repercussion du décés de l'enfant. Ce qui est touchant dans le texte est l'absence de culpabilité et de reproches mutuels. L'unité ne fut jamais brisé et l'image finale je l'ai compris comme une autre interprétation de la notion de l'absence et de la mort. |
horizons
15/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'arrive un peu en retard mais la bouche pleine d'adjectifs admiratifs: poignant, triste, beau , nostalgique, pudique...
Bref un grand grand bravo à toi. H |
aldenor
18/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Au départ le premier paragraphe me dérangeait. Comment se fait-il que l’observateur (le narrateur) s’intéresse à la branche ? Dans le flash-back qui suit, la scène s’achève sur la petite fille au sol. Normalement, ce devrait donc être elle et non la branche qui retienne l’attention de l’observateur.
Mais voilà, ce fait introduit une touche de mystère ; un œil omniscient s’est posé sur la branche tandis que tout le monde se précipitait vers la petite fille. Et le bel effet miroir avec la dernière phrase de la nouvelle confirme l’intention. Un beau texte vraiment bien construit. La symbolique est riche : l’existence à laquelle la petite fille était destinée se déroule en quelques instants dans l’esprit de sa mère ; image saisissante d’une existence cyclique comme les saisons, tronquée pour la petite fille, telle la branche brisée. Et la vie reprend, par delà l’accidentel, quand reviennent les cerises. Je trouve cependant certaines lourdeurs dans l’écriture, en particulier dans la première partie : « Ca n’avait duré que quelques minutes… », la répétition de « Quelques minutes à peine » me semble inutile ; et puis qu’est ce qui avait duré ? L’absence d’Amaury ? Il fallait le spécifier : Amaury ne s’était absenté que quelques minutes… « Où Amaury l’avait quittée des yeux » est maladroit : uno, c’est sous-entendu dans son absence, duo, quelques minutes c’est long, l’expression n’est plus appropriée… Les « à la » bouche tachée… petites mains… nuque brisée… font énumération d’attributs ; et le « et » final me chiffonne le plus : il me semble qu’en supprimant les « à » et le « et » on aurait une forme de crescendo plus efficace. Les concordances de temps dans le dernier paragraphe de cette partie me dérangent ; je suggérerais « … Elle cessa de crier … […] ne croisèrent plus son regard… » La suite coule beaucoup mieux. Il y’a une volonté manifeste de donner au texte un ton alerte en abrégeant les phrases et recourrant souvent à des raccourcis et des suppressions d’articles. Encore que ces effets soient parfois exagérés et puissent faire brouillon : « Comment sa fille, sa petite fille peut lui apparaître ainsi…» Il faudrait dire « Peut-elle lui apparaître ainsi… » « On dit qu’elle sourit aux anges… » Il est entendu qu’elle vit retranchée avec les siens ; cet « on » anonyme ne va pas dans ce cas. « …tente des gestes consolateurs, diaphanes et immatériels. » On dirait ici qu’elle tente des gestes diaphanes, ce qui n’est pas le cas, il manque un verbe. « Martha rêve. Au matin elle ne se souvient pas. Parfois ses rêves lui donnent envie de chanter…» De quoi ne se souvient-elle pas ? Il faut préciser « Au matin elle ne se souvient pas de ses rêves, mais parfois il lui donnent envie de chanter… » |
Selenim
13/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Une histoire subtile et pleine de retenue. Le deuil est un thème jamais facile à aborder mais l'auteure s'en tire avec les honneurs.
Il y a un belle écriture soignée, qui ne verse jamais dans le pathos, principal écueil de ce genre de récit. La nouvelle a une armature plutôt originale et j'ai souvent été pris à contrepied, renouvelant régulièrement mon attention. Même si la trame demeure classique, tragédie, fantôme, la qualité narrative ne décroche jamais et tient le lecture dans sa paume. Une réussite. Selenim. |
shanne
24/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour à vous,
j'aime, j'ai vu surtout cet arbre, en automne, avec la chute des feuilles (la chute...) , en hiver, je le regarde: je me souviens, au printemps:je sens de nouveau la vie et l'été: la joie de vivre retrouvée Un grand merci |
Lunastrelle
30/5/2010
a aimé ce texte
Passionnément
|
Une histoire merveilleuse, j'en suis émue... Que dire? L'idée en elle-même est originale, bien développée, le récit est agréable à lire... Et la chute est surprenante: quatre cerises...
Et en même temps on se pose énormément de questions: qu'est devenue sa fille, et ses enfants de nuage? Que sont-ils réellement dans l'esprit de Martha, et le cerisier, sa blessure... Est-ce pour dire au père qu'elle lui pardonne? |
Anonyme
22/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un très joli Dis quand reviendras-tu. Une prose très poétique, légère et colorée. Une histoire plaisante qui donne envie de la relire. Et surtout une chute conte de fées moderne, toujours poétique, qui est ravissante :
"Au-dessus de la cassure, une branche frêle a poussé. Qui porte quatre cerises. Une pour chacun d’entre eux." |
Anonyme
28/2/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Je viens de découvrir ce texte au hasard de mes recherches dans
|
in-flight
1/4/2020
a aimé ce texte
Bien
|
Compliqué de "toucher" à un thème aussi fragile. Ici on ne sombre pas dans la pathos excessif, le ton est juste, voire détachée.
L'auteur fait le choix de focaliser sur les émotions de Martha, privilégiant la relation mère-fille, quand bien même toute la famille doit être touchée par le drame. "Son haleine givre devant elle." --> tournure pas très heureuse. "Son souffle givre au gré de sa démarche" ? |