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Maëlle
24/6/2009
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ce texte est diffusable et utilisable sous certaines condition. Pour en savoir plus:
http://www.oniris.be/forum/texte-sous-licence-creative-commons-t7514s0.html#forumpost85846 (pour le contrat exact, voir la licence) |
Anonyme
24/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Maëlle
J'aime beaucoup cette histoire, un bon point pour la recherche concernant le sujet principal, la poterie, l'émaillage, le mélange des terres, le minutage des cuissons, on est loin du précis mais c'est fouillé. J'aime moins la répétition de "tous". J'aime la finalité de l'histoire qui me fait penser à plusieurs proverbes. Le fait que cela se passe si loin est aussi très plaisant. Je n'ai rien de très constructif à dire, c'est une jolie histoire, peut-être au niveau des personnages, des rivalités, peut-être que cela manque de quelque chose pour que je m'approprie vraiment ces personnages. Bizarrement celui qui me reste le plus en mémoire c'est la petite vieille méfiante. Alors oui, peut-être qu'il manque quelque chose ici, qui me dépeigne mieux le vainqueur. Mais est-ce vraiment important, je me le demande. L'histoire n'est pas vraiment là, elle est dans ce bol et ce qui découle de ce conte laisse un bon goût en bouche. Bonne continuation. |
Anonyme
24/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien ce conte, il réunit tous les éléments du genre:
La pays lointain, l'épreuve , les rivalités et la morale... J'ai bien aimé certains personnages, notamment le fermier Ana Iko, et Nu tenaru. Au début j'avais parié sur le fermier vainqueur c'est bien que l'auteur ne soirt pas tombé dans trop d'évidence. Un petit reproche le nombre de personnages car je m'y suis un peu perdue. Un plus la documentation et l'exactitude sur la poterie. Un truc qui m'a gênée : Établir la liste de leurs fournitures : certains pigments rares, certaines essences d'arbres demandaient le plus souvent deux à trois lunes pour être acheminés Alors qu'ils n'ont qu'une lune pour fabriquer leur pièce... Puis je me suis dit qu'ils se passeraient de ces ingrédients...Mais alors pourquoi en parler? Sinon c'est très bien écrit Merci xrys |
xuanvincent
24/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Merci à l'auteur pour ce beau conte !
Comme l'a indiqué Xrys, les éléments d'un bon conte m'ont paru réunis. De plus, le texte m'a semblé bien écrit, pour ne pas dire dans l'ensemble très bien écrit. Les noms des personnages (qui m'ont amusée), la mention d'un empereur, font penser à un conte chinois ou tantôt japonais, ce dépaysement m'a plu. Le paragraphe introductif et celui de conclusion m'a amusée et plu. PS : J'ai lu ce conte d'une traite, sans m'arrêter sur le détail. Comme je l'ai trouvé bien écrit, il ne m'a pas été nécessaire de le relire. |
Menvussa
25/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Quelques remarques pour commencer : « Pourtant, rares étaient ceux qui avaient eu la chance,… » Je pense qu’une virgule après pourtant se justifie, marquer un petit temps de pause après ce mot aide à la lecture. « Mais ces pièces d'exceptions, œuvres d’artisans reconnus,… » Je me demande si exception ne devrait pas être au singulier. « … on ne prend pas un maître en apprentissage,… Il appela ensuite ceux qu'il avait choisis. Il y avait Ro-Am, le faïencier, Ur-Talu qui s'était fait connaître pour ses bleus céruléens, Ui-Aram qui travaillait si finement la porcelaine, et Oh-Maané dont les oiseaux peints semblaient prêts de chanter. Il y avait encore Lo-An qui sculptait des vases tels qu'on n’en avait jamais vu, et Mo-Niro qui choisissait sa glaise comme personne. Puis Ri-Nimori qui avait, disait-on, cuit une maison entière, et Ala-Simin qui excellait à former de petits animaux. Enfin, il y avait Oloch-Maura qui maniait la terre noire des îles d'Enuy, Nu-Tenaru, cette vieille femme qui maîtrisait le céladon mieux qu'aucun autre, Ito-Inamo, un potier de village aux formes régulières, et Ana-Iko, un fermier de basse terre. » Le maître déclare : on ne prend pas un maître en apprentissage. Pourtant dans la liste des 12 aspirants que tu décrits, à part les deux derniers, ce sont tous des maîtres… paradoxale, non ? On sent bien se profiler la morale du conte, mais la manière de l’introduire ne me semble pas très logique. Ceci-dit, j’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce conte. On y retrouve une forme très classique avec sa morale. Un plus : dans ce conte, les différents protagonistes se rendent compte eux-mêmes de leur erreur, cela change agréablement d’avec ce que l’on lit habituellement dans ce genre de récits où les « méchants » sont punis. Ça relève un peu le niveau. Merci pour cet agréable moment passé à te lire. |
Marite
25/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Agréable lecture et belle histoire très bien écrite. J’ai apprécié tous les détails sur la fabrication des objets en céramique. Les personnages sont nombreux aussi il m’a été difficile de retenir ce qui ressort de ce conte. Il faudra que je le relise mais ce sera avec plaisir.
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NICOLE
27/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un joli conte, très attachant.
Il réunit des artisans qui excellent dans leur domaine ; puis il cherche celui qui, bien que reconnu comme tel, accepte d'apprendre encore. C'est une belle idée. Merci pour cette lecture. |
leon
28/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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j'ai bien aimé le conte, mis à part l'histoire de la license creative commons. C'est écrit très simplement et efficacement.
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Anonyme
29/6/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le contexte de l'histoire est attrayant. Le sujet est maîtrisé de l'auteur. Cependant la lecture de certaines phrases est parfois laborieuse. Néanmoins j'en ai apprécié l'essentiel.
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florilange
1/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le principe de tout conte est de finir par 1 morale & celui-ci n'y fait pas exception. Donc construction classique & style aisé, avec, comme il se doit, juste ce qu'il faut de naĩveté dans le ton & ce petit air de vous faire la leçon sans y toucher vraiment.
Je n'aime pas la répétition "le lieu où ils étaient était propice..." mais bon, 1 détail sans grande importance. J'ai aimé cette histoire dépaysante à souhait mais sans prétention contenant de jolies descriptions des pièces fabriquées. Et l'amour de leur métier de tous ces artisans cherchant la perfection. Merci, Florilange. |
Bidis
24/9/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J’ai trouvé l’atmosphère de cette nouvelle très bien rendue, les spécifications de chaque métier ressortent joliment, l’écriture est souvent élégante et fine, l’histoire est intéressante, et si la chute n’est pas époustouflante, j’ai aimé que ce texte dégage de façon simple, claire et agréable, un message que j’estime excessivement important : le meilleur des comportement est totalement erroné s’il n’est pas ADAPTE à l’environnement dans lequel il s’inscrit (lieu, personnes, événement...)
MAIS : Au niveau du style (d’autre part léger, simple, agréable, je l’ai dit) : Des répétitions : - « Il ne doutait pas que chacun d'entre eux ait sur lui de quoi travailler au moins de manière rudimentaire. Il faudrait, par contre, que chacun choisisse un endroit où construire un four. » : chacun - « Mais il se trouva que dans ses premières pièces, la moitié se fendirent, au moment même où Oloch-Maura sortait du four une série de pièces toutes vierges de la moindre fêlure » : pièces Ou un effet de répétition : ici « tous avaient »/ « rares étaient » (« - Tous avaient, un jour ou l'autre, caressé l'idée d'égaler le Maître, en talent ou en renommée. Pourtant rares étaient ceux qui avaient eu la chance, ne serait-ce qu'une fois, d'apercevoir une de ses créations. ») - Et 26 fois le mot « tous » !!! Certaines tournures de phrases m’ont semblé peu heureuses : - « Nombreux ils furent. » : Je n’aime pas cette inversion. Jusqu’ici le style est élégant et simple, pourquoi cette fantaisie ? Enfin, c’est une question de goût, bien entendu. - « il offrait parfois un objet mineur, bol, ou petit vase, ou même une écuelle, à quelqu'un qui lui avait rendu un service inestimable. » : Ici, j’aurais de loin préféré « à celui » - je verrais mieux « a quelqu’un » en début de phrase mais je ne peux pas dire pourquoi « A quelqu’un qui etc, il offrait etc ») Ou faibles : Il y avait un endroit parfaitement adéquat : l’expression « il y a » est fort pauvre littérairement parlant Au niveau du fond : - Je n’ai rien compris à l’histoire de Cho-Tag. On est intrigué par ce désespoir qui ne se rattache à rien de ce qui précède ni à rien de ce qui suit. Et en définitive, on se demande ce qu’est venue faire cette anecdote-là, qui d’autre part intrigue, dans la nouvelle. - « Il appela ensuite ceux qu'il avait choisis. Il y avait Ro-Am, le faïencier, ... et Ana-Iko, un fermier de basse terre. » Cette avalanche de noms exotiques font un peu perdre le fil et distraient de ce que chacun produit qui est d’égale importance à leur nom cependant. J’aurais donc aimé voir un peu plus de texte au sujet de la spécificité et de la production de chaque artisan. |