|
|
Selenim
8/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Un conte pour enfants un peu trop convenu à mon gout.
La répétition des "il" est assommante, l'écriture ne varie pas assez, tout est récité sur le même ton. On traverse les différentes marches sans surprise, sachant pertinemment comment toute cette histoire va se conclure. Il manque vraiment un souffle à ce récit pour le rendre attrayant. Selenim |
Anonyme
8/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un texte tout en douceur, qui me semble assez bien documenté sur la symbolique positive et négative des couleurs du prisme...
J'avais fait une sérieuse recherche à ce sujet pour une poésie non encore écrite, et les différents tableaux tiennent bien la route de ces symboles... (je regrette juste un peu le passage très rapide sur le bleu/violet...) En ce qui concerne le texte lui-même je l'ai trouvé agréable à lire, et certains passages sont très touchant, comme ce chemin des couleurs de mon cœur... Un texte emplis d'amour et de sagesse, et qui a été certainement beaucoup travaillé. Une bien belle écriture dans laquelle la poésie n'est jamais loin... Merci pour ce texte délicat |
Anonyme
8/4/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Le début et la fin font très... Bibliques.
Dans l'ensemble j'ai lu sans déplaisir, de la sensibilité entre ces lignes. Bon, la symbolique des couleurs est assez banale, enfin, c'est la symbolique quoi. Le principe de la quête initiaticonirique est assez bien exploité j'ai trouvé. Onida, clin d'oeil à Oniris? Je trouve que la terminaison en A d'Amarta ne fait pas très masculin. |
solidane
8/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Certes un conte très classique, dans la structure, l'issue, tout ce que l'on voudra. Mais ça, l'auteur le savait. La lumière pour moi est venue s'une écriture splendidment "adaptée".
|
xuanvincent
8/4/2009
a aimé ce texte
Bien
|
J'ai dans l'ensemble apprécié ce conte.
Comme notrac, le début et la fin de l'histoire m'ont fait penser à la Bible, mais pourquoi pas ? Toutefois, le choix du prénom - "Amarta" - m'a au départ gênée pour entrer dans le récit et bien le comprendre : j'ai cru pendant un moment qu'il s'agissait d'une femme et qu'Onida était au contraire un homme... Passé le moment de confusion, j'ai pu davantage apprécier le récit. Le côté onirique de cette histoire, cette quête de l'être aimé dans un autre monde m'a plu. J'ai apprécié l'importance des couleurs dans cette histoire, la présence de la pluie aussi. Détail : . "il devait monter sur le chemin du ciel" : cette formulation m'a paru un peu curieuse, mais j'arrive à visualiser la scène. Merci à l'auteur pour cette belle histoire ! |
antares77
8/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Le texte n'est pas à l'image des premieres phrases, pour moi trop courtes et pas suffisamment explicites sur cette absente sur laquelle est posée sa main en dormant ...
Ensuite, c'est bien mieux, pour finir tres bien. Le style est effectivement tres bien adapté à ce texte, il lui correspond parfaitement. |
Flupke
10/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Ah oui , non seulement ça m'a bien plu mais en plus j'ai même ressenti un mini frisson à la fin. Le côté légèrement moralisateur ne m'a pas du tout gêné, donc il n'était pas exagéré.
Bravo. |
Menvussa
12/4/2009
a aimé ce texte
Bien
|
"La pluie qui tombait mouillait..." Tiens, une lapalissade, que peut-elle faire d'autre cette pauvre pluie. Bon j'avais un peu envie de sourire.
Je m'y suis repris à trois ou quatre fois pour bien comprendre qui était Amarta. Au début, je pensais que c'était la fille. Bon, tu les aurais appelé Georges et Lucrèce, je n'aurais pas eu ce problème. Amarta, c'est pas fréquent. Enfin un arc-en-ciel que l'on peut gravir, ça non plus ce n'est pas fréquent. (Faut que j'arrête de déconner) Un petit conte fantastique avec sa part de morale, un texte assez bien écrit qui se laisse lire. J'ai recompté les couleurs pour voir si elles y étaient toutes les sept. Rouge, orange, jaune, vert bleu, violet plu celle qui est coincée entre les deux... indigo, le compte est bon. Mais dans l'histoire, les trois dernières semblent fusionner. Par contre on est un peu dans le flou, Amarta est-il mort ou va-t-il rechercher sa belle au royaume des morts. Puisque à la fin il renaît, il semblerait qu'il soit mort. Généralement les contes sont un peu plus précis. |
Liry
13/4/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Un joli conte, classique et agréable à lire.
Merci pour ce moment de lecture Liry |
Anonyme
24/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Il y a beaucoup de poésie dans cette nouvelle qui joue avec la lumière comme un prisme. Un charmant moment de calme après une dure journée. Merci.
|
Marite
27/4/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour Marimay. Joli conte et j’ai beaucoup aimé l’escalier arc-en-ciel. Mais je n’ai pas compris pourquoi à chaque fois il doit redescendre en bas de cet escalier pour changer de couleur. J’aurais bien imaginé, après un certain nombre de marches, la possibilité pour Amarta d’utiliser des passerelles pour passer d’une couleur à l’autre et ainsi progresser dans son ascension pour retrouver Onida. Merci pour cette escapade dans le merveilleux.
|
Anonyme
2/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
L'écriture est très agréable, et adaptée au récit. L'atmosphère est très poétique ce qui peut être de mise dans un texte portant sur l'amour. Mais du début à la fin je trouve que tout est trop prévisible.
|
Anonyme
9/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Je ne suis pas spécialement adepte des quêtes en tout genre, mais celle là a quelque chose de spéciale. Non elle n'est pas plus originale que les autres, non elle n'est pas écrite de façon particulière, mais..Je crois simplement qu'elle correspond à un moment que j'aime dans la vie: celui de la recherche de l'autre quel qu'il soit ou qu'il soit.
Ensuite je pourrai disserter inutilement sur le nombre de chemin (7...), sur les couleurs etc...Mais bof, je n'ai pas envie. Juste garder le plaisir d'avoir lu quelque chose de frais et agréable. |
jaimme
9/11/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Une légende initiatique sur l'amour.
Ecrite comme le sont les mythes; avec une très belle introduction. Puis le style s'apparente plus à de la Fantasy douce. Je passe sur quelques tournures, l'ensemble est agréable à lire. Je regrette un peu vers le début la présentation de l'absence d'Onida. Il manque, je trouve, à ce moment-là la description de l'angoisse de son aimé. Mais globalement l'atmosphère est bien rendue. Une belle lecture. |
kamel
24/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour marimay
Un conte ou un récit à la manière de voir le monde merveilleux. L'idée centrale du texte est basée sur la rencontre magique des deux amants par l'intermédiaire du vieux sage. La lumière englobe un champ lexical majeur dans l'énonciation. Une cohérence du sens se dégage à travers un déroulement et un enchaînement parfait de la juxtaposition des mots. Une aventure de l'écriture est engagée dans le reflet de la valeur des axes contradictoires du thème. Au début ,l'obscurité et à la fin, la lumière. Belle aventure dans l'écriture |
placebo
27/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
- une phrase un peu longue : mettre une virgule après ''dans l'éclat du soleil''?
- ''s'enlaçaient, dénués de pudeur devant l'assemblée.'' je pense que tu as voulu faire ressortir assemblée avec pudeur, mais c'est bizarrement formulé, je verrais plus ''s'enlaçaient devant l'assemblée, dénués du pudeur''. Pas pour faire classique hein ^^ il y a d'autres formulations surement j'ai vraiment trouvé le début mimi tout plein ^^, bien accroché on reste dans le flou pour la fin comme l'ont fait remarquer certains, pas très grave pour moi. pas grand chose à voir, mais j'avais des images de Horus, prince du soleil en tête :) c'est bien pour moi, très bien même tu écris toujours, dis ? Dessine moi un mouton ^^ |
florilange
27/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Je ne trouve pas précisément que ce conte soit destiné aux enfants. Les adultes ont bien le droit de rêver, même de rêver en couleurs.
J'aime beaucoup cette volonté d'Amarta de parvenir à retrouver Onida. Cette persévérance dans la recherche du bon chemin est plutôt rare, surtout de nos jours, où l'on a parfois l'impression que beaucoup de gens font n'importe quoi, de préférence. J'ai beaucoup apprécié ma lecture, elle est pleine d'espoir. florilange. |
Anonyme
6/6/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Tiens, un conte de la très discrète Marimay, plein de délicatesse, du coup j'ai fait attention à ne pas écraser les pivoines et coquelicots.
Un bémol, je n'ai pas aimé le mot accolé. Je ne saurai dire pourquoi mais il me semble déplacé dans ce conte un peu « naïf » (D'une simplicité naturelle, sans apprêt). Marimay, prêtez moi votre balai que je puisse voler « tel un oiseau sur l’éternité tranquille d’un bleu si pur ». |
Bidis
16/9/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Je me suis sentie transportée dans un autre monde, une sorte de rêve, et c’était agréable.
L’écriture est fort belle. J’ai seulement regretté une pléthore de pronom « il ». Rien que dans le premier paragraphe (+/- 400 signes), j’en ai compté sept. C’est dommage, car les images sont souvent très jolies, il en ressort une impression de couleurs, de lumière et de paix. |
patro
27/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Je lis ce conte à un moment où , comme Amarta, je voudrais retrouver dans la lumière celle qui m'a quittée . Mon appréciation est donc très partiale !
Mais pourquoi ne pas dire ce qui me plait dans cette quête si évidente et pure : un vagabondage de l'esprit vers un temps où mes yeux voyaient , mes sens sentaient :" pivoines et coquelicots , végétation luxuriante et chemins d'eau, l'éternité tranquille d'un bleu si pur " Une belle et douce lecture. |
Proseuse
16/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Marimay!
En matière de contes, je suis bon public, j' ai juste gardé ce côté enfantin qui aime que l' on les lui lise, ça me rend toujours un peu paresseuse quand je suis dans le registre des "nouvelles" !! pourtant, je ne suis pas déçue d' avoir vaincu ma paresse pour venir te lire , J' ai passé un très bon moment et t' en remercie , ton écriture est très agréable et l' histoire féérique à souhait ! Merci |
lucilius
10/5/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
Mon jugement paraîtra sévère, certes, mais l'utilisation excessive des auxiliaires être et avoir (8 dans les 4 premières lignes) ne m'incite pas à poursuivre tant je trouve médiocre le manque d'imagination et de recherches mieux appropriées (ex : "parmi ces yeux étaient ceux d'Amarta"... Pourquoi ne pas utiliser "brillaient" ou "luisaient" ou bien encore, selon le sens recherché "vivaient" ?
Je suis tout de même allé un peu plus loin mais le constat ne change guère, et mes propres yeux se sont, hélas, trop vite épuisés. Il en aurait pourtant fallu bien peu pour que je poursuive. |
senglar
31/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Marimay,
On ne peut que se laisser séduire par ce monde de couleurs évoqué en... 2009 ! Je peux vous dire qu'aucune n'a perdu de son attrait :) Cela nous renvoie peut-être à l'éternité de l'amour, pour qui il nous faut quand même gravir pas mal d'escaliers afin de le mériter comme le dit le vieux sage - des étoiles dans les yeux - dans les cieux (C'est pareil non ?) ! Merci pour cet instant magique ! Senglar |
papipoete
28/11/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
bonjour marimay
Amarta qui revenait d'un long voyage, réjoui à l'idée de retrouver sa dulcinée Onida, sa présence rassurante, ses mots-doux et son corps qu'il ne laisserait plus jamais...est effondré lorsqu'un vieux sage le rassure " tu peux la retrouver dans l'au-delà, mais il faudra la chercher ! savoir emprunter le bon chemin... " Amarta aura l'embarras du choix, entre plein de couleurs chatoyantes colorant chaque voie, mais au bout point d'Onida ! La couleur la moins engageante, là où tout n'était que vide et obscurité, verra apparaitre le vieux sage, qui lui ouvrira les portes sur celle dont il ne connaissait en fait que le superficiel, et en pleine lumière son Onida lui apparaitra ! NB je trouve ce texte tellement philosophique, mais bien que fort onirique, je pense que j'aurais pris les mêmes directions que cette âme en peine ! Chaque palais céleste en impose, mais au-dedans on y vit en luxe débordant, ou entre gens suffisants, ici on se vautre dans la luxure... non vraiment ça ne va pas ! Il y a bien celui-ci, mais si ordinaire, et puis la lumière est si fade ! Cette nuance-là, intermédiaire semble l'attirer et le miracle se produit ! Il cherchait en vain le plus beau ton du ciel, alors que c'était celui d'un coeur qu'il devait trouver, celui de celle qui l'attendait... je me suis cru dans l'univers du film AVATAR, aux personnages extraordinaires, volant dans les airs, avec dans leurs veines un sang différent de celui des terriens, mais avec un coeur pouvant aimer... et souffrir d'amour. Une aventure extraordinaire, dont un enfant se régalerait chaque soir d'une page, mais ne songerait qu'au lendemain " dis, tu me lis encore un épisode des " chemins d'Amarta ? " |