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Fattorius
24/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Beaucoup de soin dans l'écriture, ce qu'il convient de relever. Je trouve en revanche un peu "carte postale" l'évocation de Vienne, cette Vienne qui tourne en rond au rythme des valses de Strauss. Un peu clichés égalements, les "sanglots du violon", au moins depuis Verlaine... Dommage - aurait-on pu créer davantage de résonances entre les lieux et les personnages?
Merci pour ces belles phrases, toutefois, et pour l'instant de lecture. |
strega
24/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Fattorius à raison, je ne connais pas Vienne, mais c'est l'image que tout le monde s'en fait. J'en déduit donc quelle est cliché. Mais passons.
Ben j'aime toujours ce style légèrement onirique, tournoyant justement. Ca me fait tourner aussi et j'aime bien ça. Quant au fond, quoique très classique, rien n'empêche que lorsque c'est bien écrit, ça fonctionne. |
Anonyme
24/6/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'aurais aimé qu'Annah ait le sang indigo de ma Lysèle d' "Unter den Linden" , qu'elle déclme du Richter un des vers de Schiller, avant...
presque romantique? Bien loin pourtant. "Sur le lac de Constance un cygne noir s'envole" (Némésis est partie) Je salue l'effort pour la forme assez correcte |
clementine
25/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime cette écriture, je la suis sans fatigue ni lassitude.
L'histoire bien que triste m'a entraîné par sa poésie, dans cette valse. |
xuanvincent
25/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Une belle et triste histoire, d'amour déçu... Bien écrite, comme les précédents textes.
La fin ne m'a pas paru explicite mais elle laisse au lecteur la liberté de l'interpréter. PS : Ce texte change de ceux du cycle qui vient de s'achever (sentimental, sans arrivée et montée du fantastique qui effraie (un peu) le lecteur) |
widjet
25/6/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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On pense beaucoup à Tania en lisant ce texte toujours écrit marqué de la délicatesse qui caractérise le "style Marogne" avec le bémol suivant : l'émotion peine à sortir.
L'histoire mélancolique faite de musique raffinée, de danse doublé d'un bel hommage (Arthur Schnitzler excusez du peu !!) est tout de même agréable. Widjet |
Anonyme
6/7/2008
a aimé ce texte
Bien
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Et voilà comment un beau fantôme va venir hanter un lieu jadis paisible !!! Non, je plaisante. C'est un beau texte avec beaucoup d'émotions, d'attentes déçues, le temps semble être suspendu dans cette nouvelle bien qu'il y soit fait souvent référence.
La lecture est facile et l'on se laisse happer par la curiosité et la beauté du moment. Belle nouvelle, pour moi. |
Anonyme
19/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai tourné dans la valse d'écriture. Un rythme classique, presdque saganien, donc proustien, quelque chose de surranné et d'infiniment moderne à la fois. Un texte qui fait rêver.
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Flupke
14/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ah oui le Tokay, quand on en a bu une gorgée on s’en souvient !
Y a-t-il des statistiques sur les morts et les suicides passionnels dans les histoires d’amour fictives ? Et si oui a-t-on pu prouver qu’ils étaient beaucoup trop supérieurs à la réalité ? Bon j’ai lu cette nouvelle, yeux grands ouverts, ce n’est pas le genre d’histoire que j’affectionne avec la chute en plouf dans le lac, mais c’est vraiment très bien écrit et certains passages sont très jolis. Par contre si elle s’était terminée sur « Et Annah dansait, la nuit était tombée sur le lac de Constance. » , (sans plouf fatal donc) sûrement que j’aurais mis très bien. Et oui je fais mon petit lobbying pour protéger les personnages de fiction d'une mort qui me semble parfois inutile. ATTENTION : AIMER TUE !!! Qu’on se le dise sur les claviers ! (de toute manière, vivre tue, tôt ou tard) Du chipotage flupkéen : La nuit était calme en ce MILIEU d’été, et au MILIEU de la tourmente … Je ne sais pas si c’était voulu, mais à 4 mots près c’est presque un télescopage de deux milieux. Respectons les distances. 4 mots, danger, 1000 mots, sécurité. |