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solidane
30/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Beau comme un tableau. Pourtant la partie sensuelle du début , suivie d'un autre plus descriptive pour aboutir à une "compréhension" m'ont gênées. Beau comme un tableau oui, mais l'émotion était insuffisamment au rendez-vous chez moi.
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Anonyme
30/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Depuis le superbe "Londres", on sait l'intérêt que Marogne porte à la peinture.
Ici, l'ambiance est radicalement différente. De la Provence sous le cagnard on passe à une antiquité fantasmatique. L'auteur prend à la lettre l'intitulé de l'exposition " la fabrique des rêves" et donne libre cours à son imagination. C'est original, inventif, intelligent. |
Selenim
30/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un descriptif littéraire d'une œuvre picturale, l'auteur avait déjà expérimenté, avec Londres, quelques teintes d'impressionnisme.
Mais dans ces bains mystérieux, il plane une sensation de naïveté. Les liens donnés par l'auteur pour connaitre le tableau inspirateur, sabordent en même temps la découverte du texte. Si des photos illustrent parfaitement certains textes, c'est parce qu'elles se concentrent sur un détail où sont l'objet d'une interprétation. Ici, on suit littéralement un descriptif de la peinture. seul le dernier paragraphe nous dévoile un pan de réflexion de l'auteur. C'est bien dommage d'être resté dans cette position d'observateur car on n'apprend rien de cette toile plutôt fascinante. Avec plus d'audace et d'analyse, ce texte aura pu se parer de quelques plumes. Selenim. |
Flupke
30/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Marogne,
J’ai trouvé cet exercice - imaginer une nouvelle sur la base de tableaux – intéressant et réussi. Ca m'a bien plu. L’univers décrit est à la fois limpide et onirique. Les deux dernières phrases semblent avoir une portée philosophique. Je remarque quelques phrases peuphoniques (un néologisme que je viens d’inventer il y quelques secondes et dont je te cède la licence d’utilisation à titre gracieux – contraction de peu et euphonique) : C’est arrivant là que brusquement cela m’est apparu Le canal là l’entoure « Je me rappelle avoir dans le passé eu de telles envies ». La distance entre « avoir » et « eu » étonne un peu . On à l’impression que les bretelles entre l’infinitif et le participe passé vont lâcher. Dans la continuité de ta nouvelle précédente, « baignoire » étant séparé de « bain » par une poignée de mots dans mon dictionnaire, il est aisé de deviner que le titre de ta prochaine nouvelle sera « Le bakchich » ce qui gâche un peu le suspens et l’effet de surprise. Bon je vais arrêter là, je sens que le surréalisme de ta nouvelle contamine par osmose inverse mon commentaire. Amicalement, Flupke |
victhis0
30/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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C'est un bon exercice, assez tentant...Mais je peine un peu à la lecture, même si elle est assez fidèle du sentiment que l'on ressent devant les toiles de Chirico. Donc, c'est réussi ? oui, mais pas passionnant à lire pour autant en ce qui me concerne.
Si cet exercice t'intéresse, je te conseille vivement la lecture de l'Arrière Saison, de Philippe Besson, histoire entièrement imaginée à partir d'un tableau de Hopper. |
liryc
30/4/2009
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D'abord le positif, je retrouve l'ambiance des tableaux de de Chirico avec exactitude? Qu'a-t-il voulu exprimer dans ses toiles? Sans doute quelque chose prophe de ton récit. J'adore sa peintue métaphysique et ta nouvelle l'est touta autant.
Maintenant le négatif : Ennnorrmément de répétition : j'ai compté 9 x "je suis" 2 x "je me suis" 9 x "c'est" 3 x "impression" 2 x "seulement" 4 x "vraiment" 2 x "seulement 16 adverbes en "...ment" "j'ai seulement conscience de l'endroit où je suis" pourrait par exemple devenir : j'ai conscience de cet endroit. "La brume qui recouvre légèrement le paysage semble provenir de mon cerveau fatigué" par : Le paysage se couvre d'une brume issue de mon cerveau fatigué. "C’est arrivant là que brusquement cela m’est apparu" (apparu et brusquement forme un pléonasme) par : arrivant là, cela m'est apparu. "Précautionneusement j’y entre" : j'y rentre, avec précaution "Il porte un chapeau, et est complètement immobile" : figé, il porte un chapeau. etc... J'ai lu hier des trucs et astuces pour améliorer mon propre style, et l'utilisation abusive et courante de verbes tels que être, avoir, se trouver, dire, des adverbes en ...ment et des "que" y est déconseillé. |
Menvussa
30/4/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Le texte est assez bien écrit et colle bien à ce tableau de Chirico. La nouvelle en elle même ne m'a pas trop intéressé, j'y ai trouvé une ambiance assez lourde, ambiance que je retrouve, d'ailleurs, dans le tableau.
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FIACRE
2/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oui, se précipiter tout conformisme à la rue dans les canaux ouverts !
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horizons
2/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Citer le tableau en préambule scie un peu les papattes.Le titre de la nouvelle aurait suffit si tu voulais que quelques cultivés (dt je ne suis pas) reconnaissent l'oeuvre. Du coup on a l'impression d'une description, certes très belle mais téléguidée par un autre (le peintre). Il faudrait que les personnages et l'intrigue sortent encore plus du tableau qui devrait être seulement une toile de fond.
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widjet
2/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Pour ma part, l'auteur n'a pas su et contrairement à son Londres que tout le monde cite è juste titre, imprégner son texte de ce charme hypnotique. Ici, la sensation est trop timorée, je ne me suis pas senti prisonnier de mes sens, si j'ose dire. Sans doute à cause d'une écriture trop descriptive, répétitive (mais sans l'effet ensorcelant de la redite) et globalement (et étrangement) peu inspirée.
Pourtant il y a de l'idée dans la structure : une première partie qui décrit, qui pose l'ambiance et une montée en puissance, plus haletante à l'image d'une dernière et très longue phrase. Bien vu...mais trop tard. Le charme est déjà rompu. Comme je l'ai dit, le problème vient sans doute de ce déséquilibre : la première partie écrase l'effervescence du final...Dommage. Mais c'est surtout l'écriture qui m'a déçue... Widjet PS : C'est con mais le mot "sein" pour un homme ça me fait bizarre à chaque fois. |
Anonyme
2/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Marogne
L'idée de commenter un tableau de l'intérieur est très originale. toutefois je ne sais pourquoi je n'ai pas été portée par le texte. j'ai l'impression qu'en tant qu'auteur tu es resté "en dehors" du tableau" et donc moi aussi du coup. parce que là les pensées du personnages ne me semblent pas suivre une suite logique. Bon d'accord c'est pas obligé non plus mais en s'éveillant au tableau(c'est cela qu'il fait non?), je ne crois pas qu'il puisse décrire les choses de cette façon... Enfin moi j'ai lu d'abord le texte puis après je suis allée voir le tableau (je suis une ignare en art) et j'avais pas "vu" cela. je voyais ce tableau plus rouge plus cruel... Xrys ignare Désolée Xrys |
Anonyme
3/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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D'un point de vue stylistique je trouve ce texte très bien écrit. Certes, il y a quelques répétitions, mais le texte coule comme le fleuve ou le canal.
Sur le fond je ne vais pas trop dévelloper simplement parce que ce texte est composé à partir d'un tableau et que la vision de marogne est aussi bonne que n'importe qu'elle autre. Bref, un texte agréable, plaisant, mais peut être un peu trop interprétatif... |
xuanvincent
4/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Cette nouvelle (si je n'avais pas lu au préalable l'introduction de l'auteur) m'a fait penser à un rêve étrange (plus qu'à un récit véritablement fantastique). Sans m'intéresser autant que le précédent texte, je l'ai assez apprécié, pour sa dimension onirique.
Détails : . "Je me suis assis, je suis seul" : j'ai moyennement apprécié cette phrase . comme Liryc l'a déjà écrit précédemment, il m'a semblé voir ici et là des termes se répéter dans le texte, notamment le mot "cabanes". |
Togna
5/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Les quatre toiles « Les bains mystérieux » titillent l’inspiration, comme beaucoup de celles de Chirico, d’ailleurs. Je ne sais quelles visions ont guidé son pinceau, pour moi, le plus mystérieux est « La vasque aux trois baigneurs ».
Tu conduis ton personnage vers l’amont alors que ceux de Chirico semblent tournés vers la mer. Tu as donc choisi de remonter vers la source. Celle du mal, qui finit par broyer l’être humain ? |
Bernet
12/5/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien ces tous petits paragraphes comme des touches, des impressions furtives, éphémères…
Nous sommes dans le sensitif. Il faudrait peut-être ne pas l'écrire ! Ressentir et non sentir… Trop d'eau tue peut-être ce "je" ? Trop de "je", noient aussi l'émotion ? Un dernier paragraphe qui s'étend, la goutte marine devient mer rouge. Ne faut-il pas canaliser ce passage ? Des questions de forme, je vous en demande pardon. |