|
|
pounon
3/2/2008
a aimé ce texte
Bien
|
Joli suspense. Mais donner la frousse à sa fille c'est un peu pervers.
|
calouet
3/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
C'est pas mal fichu, du tout, mais il y a un petit truc qui m'a gêné à la lecture... Je crois, à chaud, que ce récit serait bien plus percutant et vivant au présent, plutôt qu'à l'imparfait... J'en suis même presque sûr. L'idée narrative sinon de raconter le déroulé de plusieurs points de vue différents marche bien, et permet, en douceur, de mettre plein de détails sur l'ambiance.
|
fisoag
4/2/2008
a aimé ce texte
Bien
|
Jolie nouvelle. La chute est inattendue. J'ai bien aimé. Cependant, il y a un truc qui me chiffonne. Pourquoi le père de Laura a besoin de se cacher, de ne pas avoir de témoins? Qu'il veuille surprendre sa femme et sa fille, cela peut se comprendre mais quand on aime des êtres, on se moque de ce que peuvent penser les autres, surtout si c'est pour embrasser sa fille et aller au cinéma.
Ceci dit, la lecture est aisée et fluide. |
Anonyme
7/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
J’ai beaucoup aimé ce suspense qui m’a tenu accroché jusqu’à la fin. Le texte me semble aussi, bien cohérent et très bien écrit. Le punch final est une surprise totale.
On pourrait se demander à la fin, pourquoi le père a pris autant de précaution pour ne pas attirer l’attention. Cela peut très facilement s’expliquer dans un contexte de paranoïa, causé par la présence de problèmes de moeurs dans cette localité. L’évocation de la suspicion du gardien de sécurité et de la patrouille policière en sont des exemples. Donc, un homme de faction dans sa voiture, pendant ce qui semble être une assez longue période, pourrait dans les circonstance attirer l’attention. Pour terminer, j’ai trouvé l’idée de Calouet, d’utiliser le présent au lieu de l’imparfait, très intéressante, et j’abonde dans le même sens que lui. Bravo ! |
widjet
4/2/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Bonsoir
Sympathique mais il y avait matière, je pense, à rendre la tension plus palpable en prenant le temps de travailler davantage l'ambiance et troubler le lecteur en jouant sur la psychologie du personnage principal. Le final aurait davantage surprit. Prometteur néanmoins :-) Bonne soirée W |
Anonyme
17/5/2008
a aimé ce texte
Bien
|
Oh, surprise!
Deuxième lecture del'auteur... D'abord je commence par une question : la phrase "Enfin, ce serait bientôt dix-neuf heures." me gène. La tournure est étudiée exprès de la sorte? Ensuite je voudrais te féliciter pour l'angoisse qui s'instaure, la perversité de l'envie du père de faire peur aux femmes de sa vie. Et la chute, qui tient magnifiquement son rôle en nous sortant du contexte initial. Jusqu'à la fin on espère en bon lecteur de nouvelles noires, que mère et fille se feront enlever (en tout cas, moi je tirais vers ce genre de fin), et on se prend une claque. Et non, ... la pulsion est plus saine (bien qu'un peu perverse, je l'ai déjà dit) et tout à fait inoffensive. Bien écrit, bien décrit, un bon moment, je t'en remercie. |
Bidis
13/10/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un bon suspense, j’adore ça. Et une chute surprenante.
Mais beaucoup de failles dans l’écriture à mon avis. - Le passage « Laura était en train [...] les images du film ? » me semble un peu convenu. (Comme il m’est venu l’horreur de relire mes propres textes de ce point de vue, je vois cela gros comme une maison chez les autres...) Le passage « Le professeur de danse [...] à la maison » est confus (avec en plus une répétition : la conjonction « mais » qui intervient trois fois) Dans « Elle n’était pas sûre du tout », le pronom est grammaticalement mis à la place du sujet qui précède, c'est-à-dire le professeur alors que d’après le sens il s’agit de Laura. Il faut rectifier, ce qui altère la lecture. Le passage « L’heure approchait [...] le reconnaître. » n’est pas clair non plus. On vient de parler de trois autres personnages avant de revenir à l’homme dans l’auto, de sorte que le pronom « il » ne fait pas immédiatement penser à ce dernier. Bien sûr, le sens reste clair, il ne faut pas réfléchir vraiment. Mais ce n’est pas fluide. Et dans « elle ne lui irriterait pas la peau », on ne sait pas qui le pronom « lui » désigne, parce que le personnage a l’écharpe à la main, donc on pense à une des femmes. Là on reste un peu dans l’interrogation, on sera fixé à la fin du texte, mais sur l’instant cela reste confus. Le passage « Silvia tenait Laura » [...] sur ses épaules nues » est, pour moi, encore plus confus. - « pressée de rentrer » : il faut extrapoler : la maman conduit la fillette à son cours, puis rentre chez elle, puis ressort pour revenir chercher l’enfant. On comprend cela en relisant le début, mais sur l’instant ce n’est pas évident du tout. - « Elle céderait » : grammaticalement le « elle » renvoie à Laura, le dernier sujet qui précède. Mais l’évidence renvoie à la maman. C’est très dommage, parce qu’il y a une vraie progression dramatique dans ce texte, et la chute provoque une réelle chute de tension. Alors entre « très bien + » et « moyen – », cela fait pour moi un petit « bien + » |