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Anonyme
5/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Venise en impression fugace, un masque passe, se cache, passe...
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strega
6/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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E la nebbia muta la città in ombra. Marogne, si vous saviez comme ce texte m'a enchantée. J'étais de nouveau à Venise. Meric mille fois... Très réaliste, je ne sais pas si c'est vécu, mais si ce n'est pas le cas, c'est très bien étudié en tout cas. Merci encore.
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jensairien
16/1/2008
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Encore un beau texte de Marogne mais l’apparition du gondolier n’a pas suffit à le transformer en véritable nouvelle. Ça manque donc juste un peu de poids
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widjet
6/5/2008
a aimé ce texte
Bien
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Pour créer une ambiance, pour donner corps et vie à une atmosphère, MAROGNE se pose là. C'est la force de ses descriptions, ce sentiment de réalité, d'authenticité vivace qui nous ferait presque croire qu'il écrit et qu'il vit l'histoire au même moment. C'est ce talent là (doublé d'une culture toujours plaisante et jamais ostentatoire) qui me frappe, que j'envie et salue. Porté par le navire de sa plume, il m'a semblé contempler Venise....
Merci et bravo à l'auteur Widjet |
Anonyme
6/5/2008
a aimé ce texte
Un peu
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""Irons-nous à Venise ?"
Clin d'oeil ... :) Une description, simple, par le menu Un peu carte postale.. Venise, la proie des touristes ? Ah, je ne peux le croire, même si... |
Flupke
5/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Superbe évocation.
Je trouve que les descriptions sont vraiment bien réussies. J’hésite toujours à mettre des O italiens au pluriel. (Un scenario des scenarii). Mais ça c’est ma part d’ombre, mon côté maître Capello, assez déféquant, plus soucieux des règles que des sonorités. Si je devais écrire « des courageux vaporetti » je me ferai un hara-kiro avec mon stylo-plume immédiatement. Donc j’évite lâchement les O italiens euh je veux dires les i :-) Honte à moi. Mais à part cet auto-gachage self inflicted par moi-même, j’ai trouvé la lecture très agréable. Bravo et merci. |
Anonyme
23/12/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
je ne suis pas du tout sensible à ce type de récit descriptif. J'avoue que je ne suis pas du tout touché et j'ai une tendance à m'ennuyer profondément. Mais c'est très personnel. |
Anonyme
17/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Concis, très "ambiance". Ce texte m'a donné envie d'en lire un autre du même auteur. C'est sa première qualité. L'écriture de marogne ressemble à une voix profonde. C'est évidemment un texte fort court et on aurait aimé qu'il s'étende un peu plus, qu'il donne encore plus de cette ambiance. Mais il vaut mieux une bonne nouvelle courte qu'une longue ennuyeuse.
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carbona
12/10/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je n'ai pas apprécié cette courte description de Venise. Votre texte ne m'a fait ni voyager, ni rêver, ni découvrir. Je n'ai pas réussi à aller au-delà des mots, le décor ne s'est pas créé. Il y a un côté trop documentaire dans les tournures employées qui gagneraient à se fondre dans le récit car ici, elles ressortent comme jaillies d'un livre d'histoire. (ex : Verdi est ici, créé à partir de l’eau, comme une exhalaison de cette ville qui a produit de magnifiques chefs-d’œuvre dans une époque de larmes) J'ai noté quelques répétitions sur lesquelles je me suis arrêtée : - "le labeur des bâtisseurs devant lutter contre les hautes eaux, les sols mouvants et l’eau démolissant des mois de travail, les espoirs des conquérants" < eau - "La parole était murmurée, la sérénissime toute puissante et malgré cela faible devant les appétits de ses puissants voisins ou concurrents" < puissant/puissance J'ai buté sur la construction de cette phrase : "Et puis une voix, une voix monte du grand canal, et comme l’éclair demandé à saint Georges, tranche la nuit d’une grande clarté pourpre." "et comme l'éclair", le 'et' a gêné la compréhension, j'ai l'impression qu'il manque un "qui" Merci pour votre texte. |