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xuanvincent
27/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Merci à l'auteur pour cette jolie histoire !
S'il ne s'y passe pas grand-chose, le thème de l'histoire et l'histoire tout simplement m'a plu. Le style de la nouvelle, proche il m'a semblé du rythme du conte, m'a de même plu. On ne sait pas trop pourquoi la vieille dame suit ces messieurs en noir, mais là ce n'est sans doute là qu'un détail. Autre point, sans que cela ne m'ait vraiment gênée, il m'a semblé que certains verbes, au présent, auraient pu être mis au passé comme le reste du récit. Détail . "Quant à la vieille elle n'est jamais revenue" : "la vieille" dans le contexte m'a paru mal sonner (alors qu'il ne m'avait pas gênée dans les phrases précédentes), "vieille dame" m'aurait paru préférable. Je lirai volontiers un autre conte de l'auteur. |
Anonyme
27/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Merci pour cette très jolie histoire fort bien contée.
Un texte agréable très doux à l'oreille. De belles descriptions. |
Selenim
27/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J'ai trouvé ce texte trop répétitif et manquant de pep's.
On sent le désir de l'auteur de conter une belle histoire mais les phrases s'enchaînent sans qu'on se sente concerné. Il manque de la matière. Dommage. |
Anonyme
28/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très bien ! J'adore la chute et la morale que ce texte porte en lui...
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Brandnew
8/6/2009
a aimé ce texte
Pas
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La fin sauve un peu le début, on se surprend à réfléchir à la construction et au sens une fois parvenu au dernier paragraphe, ce qui est pas mal pour un départ assez peu engageant. Cela dit, au-delà du récit, on en vient alors à se demander "la liberté se définit-elle seulement par une dichotomie joie/tristesse". Être libre est être heureux, ne pas l'être c'est être triste. Est-ce bien tout de la question de la liberté, ou du moins, est-ce vraiment comme cela que l'homme s'y rapporte. Je conçois tout à fait qu'il s'agisse ici d'une ode à la liberté, je n'ai rien contre, mais n'y aurait-il pas eu moyen de dépasser cette vision du rapport de l'homme à la liberté. Quelques thématiques, si développées, m'auraient plus satisfait, comme par exemple, au pif : "Sommes-nous heureux même quand nous sommes libres ?", "Ne trouvons-nous pas toujours de quoi réfuter notre liberté, prétextant notre aliénation par des forces supérieures et des complots", "Ne sommes-nous pas heureux dans le sacrifice ?", "Donnez sa vie à quelqu'un, n'est-ce pas une forme de bonheur ? ", "Cherchons-nous vraiment le bonheur ?". Et d'autres thèmes auxquels je ne pense pas à l'instant.
Donc au final, je dirais, la liberté mérite mieux que cela. J'espère pouvoir te relire bientôt, Amicalement |
Pistodrake
8/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé cet aspect de petit conte, avec quelques bizarreries amusantes, comme des immeubles construits pour voir la vieille dame.
Le changement brutal de l'arrivée des hommes en noir qui modifie un peu l'atmosphère de l'histoire tout en restant un compte est intéressant. Le message est intéressant mais aurait peut-être gagné avec un je ne sais quoi de subtil en plus sur l'idée de liberté qui m'est moi aussi chère, je n'ai pas grand-chose a dire de plus étant assez débutant et je salue l'auteur comme camarade Manosquin ^^. |
florilange
9/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Cette histoire est 1 conte &, comme tel, je le trouve bien amené, avec de jolies images. Pas besoin de logique, selon moi, l'auteur n'a pas voulu faire 1 essai sur la liberté, seulement nous conter quelque chose, comme autrefois à la veillée, ce qui explique les quelques menues répétitions pas gênantes.
Cette région de Manosque, avec ou sans vieille dame, demeure 1 région où il fait bon vivre & où la liberté fleure nombre d'arômes subtils. Merci pour cette douce évocation sans prétention. Florilange. |
LeopoldPartisan
9/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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En Belgique terre nettement plus froide que ce petit village au Nord-Ouest de Manosque, l'on avait il y a fort longtemps un écrivain qui n'était pas du tout aimé de l'intelligentsia. Son nom Arthur Masson, certain l'appelait le Pagnol belge ou pour être plus précis le Pagnol Wallon. Je retrouve dans cette histoire tout le charme souvent décrié voire carrément nié du récit régionaliste. Heureusement qu'il y a encore des gens qui écrivent comme cela car ils sont les tenants de nos racines. En afrique, pays de grandes traditions orales on les appelle le vieux baobabs. Les abatrre, les oublier, les nier ou encore les laisser de côtés comme celà nous arrivera peut être, c'est laissé l'effet de serre manger nos côtes , ce sont ainsi des pans entiers de notre humanité que nous sacrifions.
J'aime d'autant plus que jamais je ne parviendrai à écrire de la sorte. |
Brandnew
9/6/2009
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C'est vrai qu'en découvrant d'autres textes de l'auteur, je mets mieux les choses en perspective. En tout cas les annotations des derniers commentaires me font réfléchir. Aurais-je parlé trop tôt ?
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placebo
24/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le texte ne m'a pas trop accroché, j'ai aimé le thème, mais j'ai été un peu déçu par la narration.
Le style, surtout au début, pêche un peu je trouve, d'abord des répétitions, quelques maladresses: un respect ''magique'', l'air de la vieille ''frais et joyeux'', des petites choses. On assiste en fait à la description de la phrase mentionnée dans le texte: "Il existe un endroit où une vieille rythme l'humeur de tout un village", et je trouve dommage que l'auteur ne soit pas allé plus loin. En revanche, la fin, avec son réalisme sur les aventures immobilières de ce village et les hommes ''de la ville'' qui emmènent la vieille, on croit être guidé vers une découverte d'autres phénomènes, mais non, on reste sur sa faim, comme ce village qui retourne dans l'ombre. Le dernier paragraphe invite le lecteur à s'imaginer un conte, comme l'ont dit des commentateurs, et de fait cela aide à passer sur quelques maladresses, comme on pourrait le faire à l'oral. De reste, la lecture, quoi que j'en ai dit, reste relativement facile. Mais, et ce n'est peut être pas le but recherche par l'auteur je reste juste dans cette hypothèse, ce n'est pas une excuse au reste. Je trouve dommage que l'auteur n'ait pas abordé les quelques points décrits, et vais lire quelques unes de ses autres œuvres, car il y a beaucoup de promesses. un lecteur un peu intrigué et sur sa faim, placebo j'allais oublier, que veut dire le premier mot? est-ce un nom propre? et puis la liberté... un peu trop vite abordée: tout le monde a besoin de liberté, si là bas ils en ont vraiment besoin, il faudrait le justifier un minimum. La liberté de cueillir des champignons? Pardonne moi si ça te semble acerbe, ce n'est pas le cas, je suis juste heu, un peu déçu. |
Anonyme
13/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une belle histoire qui m'a portée au gré du vent et fait rêver mon âme d'enfant.
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