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placebo
31/5/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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''Manquent d’un sarouel à paillettes à leurs côtés.
Ils entrent dans la station au même moment. Le train suivant et le sarouel à paillettes. Le premier pesamment, paisiblement. Le second violement, enfilé à la hâte sur un corps plein de sommeil et de colère. '' j'ai eu un peu de mal à comprendre, des phrases tarabiscotées :) au début, j'ai cru que les tongs et le saouel restaient dans les couloirs, genre SDF, je n'avais pas lu qu'ils étaient dans le métro. et puis comme la fin m'a plu, j'ai relu le tout et j'ai compris. il y a des trous (stylistiques et narratifs) que le lecteur doit combler, mais ça ne m'a pas dérangé. beaucoup aimé, un joli moment de détente. aucun conseil à donner, si ce n'est peut être relire en pensant davantage au lecteur pour la compréhension de certains passages. c'est suffisamment rare pour que je le remarque : 5000 caractères suffisent, bravo. bonne continuation |
Anonyme
1/6/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est beau une rencontre entre des tongs et un sarouel. Je n'ai pas compté le nombre de doigts, ni les stations, ni mon plaisir à lire ce texte dont le phrasé est en parfaite adéquation avec l'histoire.
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florilange
1/6/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai bien aimé cette façon légère de raconter une histoire aussi simple que banale mais qui ne finit pas bien. L'histoire d'un coup de coeur qui n'était qu'une erreur.
Un seul détail me chiffonne car je suis très terre-à-terre. Comment a-t-elle pu lui faire un croche-pied en étant derrière la vitre dans une autre station? Le style convient bien au mode de récit. |
Maëlle
5/6/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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trés trés chouette. Le parti pris de ne pas décrire les protagonistes donne au texte un côté joueur, mais même sans cela je gage que le texte serait de bonne tenue.
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Mellipheme
8/6/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cette peinture par petites touches d'un incident minuscule de la vie urbaine est tout à fait délicieuse. Les personnages, dénotés à travers deux détails vestimentaires, ont la fugacité des silhouettes croisées sur les trottoirs de la ville.
La langue est simple mais travaillée. Bravo et merci pour ce bref instant de belle lecture. |
Selenim
8/6/2010
a aimé ce texte
Pas
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Ça commence mal, dès la première phrase.
Une sorte d'entame qui prend des airs de définition de dictionnaire. Le procédé qui distille les réactions humaines par le biais des accessoires vestimentaires est original, la désincarnation aurait pu fonctionner si l'écriture avait suivi. Le rythmique tient plus du télégraphe que de la prosodie. les phrases courtes s'enchainent, sujet-verbe-complément, basiques et sans grande saveur. S'il y a une intention poétique de la part de l'auteure, et il y en a surement une car j'ai relevé 2-3 allitérations sympas, je ne l'ai pas captée. Les dialogues sont plutôt consternants, d'une banalité sans superlatif. La rame s’ébranle tel un animal résigné. J'ai du mal à voir la chose. Au final, je pense être passé à côté de quelque chose pour rentrer dans ce texte. Vu la brièveté du récit, je me suis permis plusieurs lectures, toutes infructueuses. Malgré l'angle narratif original, tout le reste n'est pas à la hauteur de cette ambition. Selenim |
Anonyme
8/6/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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L'idée de base est sympathique, le traitement original, cependant, certaines choses m'ont agacée. Ne serait-ce que les innombrables répétitions (ok pour tongs et sarouel, mais il y en a d'autres ; train, sirène, regard, sourire ...).
C'est lassant dans un texte aussi court. Je n'ai pas aimé le style beaucoup trop scénarisé de l'ensemble, trop distant, presque froid, à peine ébauché. Cependant, quelques passages m'ont paru bien meilleurs, d'une plus grande force narrative : "La barre métallique est froide et lisse. Les mains s’agrippent et se croisent. Des mains fatiguées aux veines saillantes et aux bagues nombreuses. D’autres fermes, lisses et chaudes. Entre Plaisance et Gaîté, quinze doigts. Entre Gaîté et Montparnasse, dix doigts. Entre Montparnasse et Duroc quarante-deux doigts. Des doigts qui glissent, des doigts qui s’évitent, des doigts qui se frôlent. Qui serrent et desserrent le métal, suivant les mouvements du wagon." "Le tunnel disparaît. Le wagon crisse, sursaute, ralentit, rebondit puis s’arrête. Dix doigts s’accrochent puis se détachent de concert de la barre métallique. Le sarouel emboîte le pas aux tongs. Les fleurs et les paillettes cheminent côte à côte. Sagement rangés l’un derrière les autres sur l’escalier mécanique, les fleurs et les paillettes s’effleurent." Pour le reste, le ton oscillant entre humour, suspense et tristesse m'a laissé de glace : l'intrigue n'est pas suffisamment développée à mon goût, c'est lapidaire. J'ai l'impression que la seconde partie (celle du deuxième jour), est bâclée. Elle me convainc beaucoup moins que la première, la narration est hâtive, les 'dialogues' médiocres. Volonté de finir au plus vite ? Bref, toujours est-il que, si cette nouvelle ne m'a pas transportée, j'ai pu déceler des signes très encourageants dans l'écriture. Bonne continuation donc, et au plaisir. |
Chiffon
8/6/2010
a aimé ce texte
Bien
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Il y a non seulement nos deux protagonistes-vêtements mais aussi tous les autres êtres évoluant dans cette nouvelle qui sont réduit à des excroissances sans visages. L'exercice de style est génial, on s'immerge dans cette masse inhumaine, dans cet anonymat des villes.
Mais l'intelligibilité de l'intrigue en prend un coup, on ne se représente pas toujours distinctement le lieu où l'action est rendue et ce qu'il se passe exactement. Bref, il faut absolument garder cette idée, mais la description du reste de l'espace et du temps peut être améliorée. Plusieurs lectures sont en effet nécessaire pour bien tout comprendre, or cela empêcherait la possibilité d'édition "en l'état". Merci pour cette touche de génie , encore à canaliser en partie. Chiffon |
caillouq
8/6/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Une lecture agréable pour une histoire simple, que le lecteur est invité à recréer pour l'essentiel, le charme du texte résidant dans le point de vue ... heu ... pédestre. Un rapport plaisir / temps de lecture assez satisfaisant, même si le moment ne laissera pas beaucoup de traces (syndrome dit de la tong ?). Dommage: la répétition du mot « chute » dans les pénultième et antépénultième phrases.
Ah oui, et j'ai eu du mal, pendant tout le texte, à me rappeler que la tong à fleurs était masculine, puisque orteils velus, et paillettes sur sarouel donc féminin ce dernier. Tong oui, mais à fleurs, ça repartait tout de suite XX au lieu de XY. Comme quoi on a quand même des schémas bien implantés ... Libérons le motif floral du gynécée. |
Anonyme
8/6/2010
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Très bien écrit avec un certain raffinement. C'est élégant, stylé, léger mais ça raconte une rencontre belle, pas forcée, impromptue, imaginée, magique. Beaucoup de poésie et de lumière et de couleurs.
Mélany ? Merci. Mince je ne note plus mais évidemment c'est très très bien... |
widjet
8/6/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Une bonne idée que d’avoir utilisé les objets (tong versus sarouel, mais aussi des bras, des doigts...) pour identifier les personnages, mais peut-être aurait-il fallu personnifier davantage ces objets (et y donner plus de couleurs, plus de mouvement) pour renforcer l’humanité de leurs propriétaires (à moins que l'objectif était justement de faire refléter le caractère anonyme/impersonnel ou universel de ce genre de rencontre)
Attention, trop de phrases courtes finissent (parfois) par agacer et par hacher le récit trop durement (enfin selon moi qui en fais aussi les frais). La disposition des dialogues notamment sur le « je ne peux pas rester », « je suis trop lâche… » ou « ce n’était pas ton arrêt »… m’a perturbé car en l’absence de tiret, je ne savais plus qui parlait. Je ne pige pas la fin. La fille se venge et fait un croche pied au type ? Pas assez clair, je trouve. Bref, ça se lit sans encombre, mais c’est une tranche de vie qui parle à tous (qui n'a jamais été attiré par qqun dans les transports ?) que la forme hélas ne transcende pas du fait de son absence d’originalité (et d'humour). W |
brabant
9/6/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour MELANY,
J'ai bien aimé ce texte frais, aéré, baba cool avec le sarouel à paillettes et les tongs à fleurs, free love. La compréhension n'a pas été immédiate, mais plus je lisais, plus j'aimais. Tiens ! il y a ça, et puis ça, et encore ça. Oui ! vraiment ! c'est bien fait ! Quand on a cerné qui est qui, et qui dit quoi, ça fonctionne à merveille. Un air de vacances dans un Paris bitumeux, un couple exception dans une foule anonyme. Et c'est le sarouel qui s'adresse aux tongs, cool ! Le sarouel a des yeux et les tongs ont un sourire. C'est une riche idée que de vous en tenir à cela jusqu'à la fin du texte. C'est ce qui en fait le charme et évite tout pathos. Le ton est donné. La fin ne peut pas être tragique. Une amourette s'engage. Sensualité des non-dits. Contacts- préludes. La rencontre ratée du petit matin va faire capoter la romance. Les yeux se dessillent au lever du jour; à moins que les tongs n'aient pas eu leur Ricoré. Pas cool ! Le train, lui, reste indifférent; il brasse les aventures et débarrasse: "Deux ou trois paillettes scintillent autour de la chaussure abandonnée." Le train est resté un train, le sarouel a perdu quelques paillettes sans laisser trop de plumes et la tong est devenue citrouille.("chaussure"). Pas très élégante, cette tong; elle a bien mérité son halloween. |
MissGavroche
9/6/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Le postulat de départ, l'originalité du point de vue est très interressant, malheureusement la réalisation n'est pas à la hauteur à mon avis.
Le début est assez confus, il faut se reprendre à plusieurs fois pour bien imaginer la scène. Concernant les dialogues, ils sont trop "neutres" pas assez porteur de sentiments à mon sens. |
Anonyme
10/6/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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La rencontre d'un Sarouel à paillettes et de Tongs à fleurs...
J'ai trouvé cela délicieux et rafraîchissant. Même si j'ai du relire certains passages plusieurs fois pour bien les comprendre, cela ne m'a pas dérangé. J'ai également beaucoup apprécié "la vie" donnée aux différents objets. Les phrases courtes et les dialogues simples servent bien la cause de cette rencontre furtive... |
Anonyme
15/6/2010
a aimé ce texte
Bien
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Je retiendrai une seule chose "ne pas prendre le métro en tongs" ^^
Non mais sinon, c'est amusant, sans plus quoi, une petite histoire rigolote à lire dans le métro justement. Je mets "bien" parce-que pour moi l'intention de l'auteur me semble être juste légère et sans prétention... et un peu de légèreté et de "pas prétention" des fois, ça fait du bien ^^ |
marogne
21/6/2010
a aimé ce texte
Bien
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Je n'ai pas bien compris la fin... mais ce n'est pas grave. Une lecture amusante pour la fin d'une longue journée, légère et apportant quelques touches de couleurs bien sympathiques dans les tunnels.
Ah oui, les barres... je les trouve toujours chaudes! Mais ça doit être un de mes toc (comme Monk sans doute). Bonne continuation. |
Flupke
22/6/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une histoire bien narrée et un point de vue intéressant. Romantique mais réaliste.
Et efficace car j’ignorais le mot sarouel. L’exercice est plutôt réussi. |
leon
8/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'histoire d'une rencontre sans lendemain, c'est plutôt banal.
Mais en mettant en scène les tongs et le sarrouel, ça le devient un peu moins. Pas mal, donc, mais pas transcendant non plus. |