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estelane
11/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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très belle ode à l'enfant qui est en nous.
beaucoup de sensibilité dans cette nouvelle, de la fragilité aussi ! sentiments et paysages vivants. félicitations pour cette carte postale ! |
Anonyme
11/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un joli texte, inattendu chez un auteur que j'avais mal jugé à la lecture de ses commentaires souvent déplaisants.
Je partage cette philosophie (celle du texte, pas celle des commentaires). Je pense à ce passage de Jacques Prévert: "Dis camarade Soleil, tu ne trouves pas que c'est plutôt con, de donner une journée pareille à un patron?" Merci Mélonels d'avoir évoqué "ce village gaulois aux accents soviétiques"(tiens? Un alexandrin!) |
Anonyme
11/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Belle ode à la vie aussi, sous forme de bilan, même si c'est un peu trop teinté de rouge à mon goût. ;-)
Aaahhh, l'heureuse époque post soixante-huitarde où les rêves les plus fous semblaient encore accessibles, où la parole n'avait pas encore été bridée et on pouvait encore copuler avec qui on voulait, sans autre contrainte que l'envie... ;-) Euh, Flixecourt, c'est pas dans la Somme, ça ? |
marimay
11/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour melonels,
Décider et... réussir à être l'adulte qu'on s'était promis d'être, l'adulte encore capable de regarder le monde avec des yeux d'enfant ! "J'ai décidé d'être tout ça éternellement, passionnément." Vous avez mille fois raison melonels. Je ne doute pas un seul instant que vous soyez cette femme-là : vos réflexions sont pleines de la fraîcheur et de l'entrain que vous avez en vous. |
Anonyme
11/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ecrit avec le coeur et d'une fort belle plume ! Que cette dernière soit "rouge" ne change rien, bien au contraire, à la sincérité et à l'émotion que dégage ce texte.
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xuanvincent
11/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai dans l'ensemble assez apprécié ce texte.
Surtout la première partie (jusque vers "mon village gaulois aux accents soviétiques". J'ai apprécié le fait que l'auteur m'a paru faire passer pas mal d'idées de manière simple et assez vivante (quelques images, telle le village d'Astérix, m'ont plu). Quelques phrases m'ont paru assez jolies pour les images. La nostalgie du passé, de l'enfance, du village de l'enfance, m'a paru assez bien rendue. |
solidane
12/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je crois que j'aime ce texte pour sa simplicité. Texte de quelqu'un qui a eu et le sait et qui aura encore. Alors quoi d'autre ? Impasse délibérée sur ce qui rend les choses parfois moins évidentes, mais c'est le prix de cette simplicité qui pour moi fait réellement la qualité de ces lignes.
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Anonyme
12/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bravo melonels pour cette page de nostalgie !
J'aime en particulier ce paragraphe où la nostalgie se fait particulièrement ressentir : "C'était une cité ouvrière, des maisons de briques alignées, toutes identiques, aux cloisons si fines que votre voisin faisait partie de la famille. La journée ensemble à l'usine, le soir ensemble au pas de la porte sur une chaise à bavarder de tout et de rien, attendant que l'univers éteigne la lumière. On se voyait, on se parlait, on se touchait, on existait pour l'autre." Et ce clin d'oeil, magnifique de confiance, de volonté et de lucidité : "Jusqu'à aujourd'hui je tiens parole." Ce texte me fait penser à une charmante vieille dame avec des yeux bleus pas possible (les regarder c'est voir les anges) formidable, gaie, souriante, Enfantine dans chaque mot, dans chaque geste. J'espère, Melonels, que ce "jusqu'à aujourd'hui, je tiens parole" deviendra un jour - le plus tard possible - un victorieux : "J'ai tenu parole !" Merci pour cet agréable et très frais moment de lecture. |
Nongag
13/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un beau texte personnel écrit avec des touches d'émotions juste et sensible.
Plusieurs joli phrases : « Le bonheur est dans les instants fugaces… …il se collectionne. » Bien! « La journée ensemble à l'usine, le soir ensemble au pas de la porte sur une chaise à bavarder de tout et de rien, attendant que l'univers éteigne la lumière. » Quelle belle formulation. « Les promesses qu'on se fait à soi-même sont les plus importantes à tenir. Si le regard des autres est parfois lourd à soutenir, rougir de ce qu'on est c'est une petite mort, un cancer qui vous ronge, votre honneur qui s'enfuit. » Juste et bien dit! Un passage répétitif : « Ne jamais oublier les moments simples de la vie, ceux qui font le quotidien, les petits riens insignifiants que nous croyons pouvoir laisser filer sans blessure mais qui font l'air du temps, ceux qu'on recherche et qu'on ne retrouve jamais. » Il me semble que tu as déjà mentionné ce fait plus haut, c’est un peu redondant cette insistance. Une phrase qui semble incomplète : « La curiosité, en quête de découverte et conserver ce regard illuminé » La nostalgie est vraiment bien rendue. L’émotion est palpable tout du long. Une très agréable lecture. |
victhis0
13/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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C'est bien écrit, c'est naïf, c'est ultra conservateur - c'était mieux avant- c'est léger-léger mais loin de me passionner ni de m'apprendre quoique se soit que je n'aurais pas lu ailleurs. Rien de neuf sous le soleil de la littérature...
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Menvussa
13/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très beau texte, allez au hasard, parce qu'elle me vient à l'esprit, parce qu'elle évoque la nostalgie... La javanaise.
"Je veux toute ma vie avoir envie." Savoir toujours s'émerveiller. |
jensairien
14/3/2009
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Je trouve, un peu à l'image de ta nouvelle "pas prévu" qu'il manque une histoire, une trame narrative, pour porter tes réflexions à fleur de peau. Et c'est dommage.
je n'ai pas tellement aimé la place baignée de soleil "comme là-bas" qui reprend un slogan publicitaire, ce qui fait moche dans ton texte,à moins que tu n'en aies fait un motif satirique, ce qui n'apparaît pas. J'aime bien ta petite bourgade communiste "aux accents soviétiques" sinon dans l'ensemble les images manquent d'originalité. Pourtant il ne s'en faut pas de beaucoup. Certaines idées aussi sont trop grosses. En tout cas une, quand tu dis que tu crois encore au Père Noël. On se doute bien que tu ne crois pas au Père Noël. Alors pourquoi écris-tu cela ? Ou si tu l'écris, il fallait développer, quelque part prendre à contre-pied cette expression. Mais posée comme ça, à plat, ça ne fonctionne pas. |
Anonyme
12/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai eu des frissons, des larmes dans les yeux à la lecture de ce texte...
Que dire de plus!!! |
Marquisard
12/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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un beau texte, vrai et touchant, vraiment touchant. aucune envie de faire une critique sur la forme, que j'ai appréciée sans chercher le détail.
au plaisir |
florilange
25/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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S'il est vrai que ce texte ne comporte pas d'histoire, il dit que ce qui va sans dire, va encore mieux en le disant.
Moi non + je n'ai pas cherché de poux dans les lignes de melonels, je me suis juste laissée emporter. Vrai qu'il faut garder 1 regard d'enfant, vouloir être heureux, ne pas laisser les choses négatives nous polluer. Avant était mieux parce que nous étions enfants, il faut continuer. Merci de cette lecture simple et fraîche. Florilange. |
shanne
19/9/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour à vous,
"Pour ne pas quitter l'enfance, il ne faut pas l'oublier" C'est vrai, un air de musique, une photo, une rencontre ou votre nouvelle...En la lisant, j'ai pu imaginer votre enfance et me replonger dans la mienne Un grand merci |
Coline-Dé
4/10/2009
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Une vraie carte postale ! Gentiment écrit, plein d'enthousiasme, on voudrait y croire !
Melonels, vous êtes une sacrée brodeuse : quel art d'embellir le passé ! |