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Maëlle
20/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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Petite chronique mélancolique - presque politique - écrite vraiment agréablement.
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Anonyme
26/1/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Une belle histoire, agréable à lire.
Certes le style est assez classique, mais loin d'être mauvais. Il manque cependant un petit quelque chose pour rendre ce texte plus poignant, plus humain. Le narrateur me semble trop éloigné de son personnage. Peut être mettre quelques anecdotes, quelques histoires en plus dans la narration. Ce n'est pas un mauvais texte, il n'est simplement pas assez aboutit à mon sens. |
ANIMAL
26/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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Un beau moment de nostalgie. Il faut avoir connu ce temps là (les années 60-70 d'après la chronologie), lorsque le téléphone fixe était un luxe, la télé à ses balbutiements et internet inexistant, pour se laisser imprégner totalement de l'atmosphère de cette nouvelle. Dans certains endroits, les facteurs étaient les seuls liens ou presque avec le reste du monde.
L'écriture est claire et précise. Le texte se lit aisément et mène à sa conclusion sans heurt. Un vague parfum de regret en émane, mais sans amertume. Une vie de labeur résumée en quelques lignes. |
Anonyme
29/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup. L'écriture est jolie, tranquille comme un fleuve. L'histoire, doucement émouvante, m'a plu dans sa simplicité. Il n'y a rien à retrancher, rien à ajouter. Ce récit atteint (avec moi) parfaitement son but tel qu'il est là.
Merci. |
Anonyme
31/1/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce texte est très touchant: nostalgique et mélancolique..Par l'intermédiaire de ce facteur, il montre bien l'évolution de notre société qui grâce (à cause?) à la technologie va de plus en plus vite (du vélo à la voiture) mais en même temps éloigne de plus en plus les gens des uns des autres...
L'évolution des métiers aussi : ce facteur des origines était "une figure" car il avait un rôle noble de messager, faisait des liens, et rompait l'isolement des solitaires ... La boite jaune est une jolie trouvaille, boite au trésor d'un passé disparu...C'est aussi une forme d'.intrigue qui vient soutenir la narration. Elle arrive au bon moment. Plus longue la narration aurait pu me paraitre ennuyeuse.Car le texte est très descriptif.Cela manque peut être de quelques dialogues bien situés, pour nous faire encore plus rentrer dans le contexte, et nous faire vivre davantage ou revivre les diffèrentes époques. Le texte est bien écrit, simple, clair et adapté au sujet. Bonne continuation |
Anonyme
31/1/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Intimiste, humble, un récit simple servi par une écriture aboutie et des plus agréable. Chronique d'une vie commune, tout ce que j'apprécie. Court, idéal pour lire sur un écran.
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feexlin
31/1/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Court mais touchant.
L'écriture est simple, le style fluide, et convient tout à fait à ce genre d'histoire. Il y' a juste une phrase qui m'a laissée perplexe : "Un jour, profitant des beaux jours" ; je trouve assez lourde la répétition du "jour". Bonne continuation. |
florilange
31/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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Je trouve que le style présente de nombreuses petites imperfections & pourtant, le texte se lit aisément. Oui, il fait remonter le temps.
C'est très agréable & court. Le fait que la boîte n'ait + été ouverte, probablement depuis que le facteur a pris sa retraite, montre bien que quelque chose a pris fin. Pour lui comme pour nous tous. Des tranches de vies. Merci de cette lecture, Florilange. |
Automnale
31/1/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Voilà un texte qui se lit bien facilement. Il me semble, en effet, ainsi que l'a fait remarquer un commentateur précédent, que la vie des facteurs - ou des préposés aux Postes - doit fourmiller d'anecdotes. Et là, malheureusement, il n'y en a guère.
J'ai noté des petits soucis de ponctuation. J'aurais mis une virgule après "sur sa tournée" - J'aurais placé entre virgules "et, une ou deux fois par semaine," ainsi que ", lui non plus,"... Je lis : "une famille qu'il voyait..." et, la ligne après, "comme ses neveux et nièces ont grandi". Je propose : "avaient grandi". En fait, je suis désolée, Merome, je ne relève là que des détails. Peut-être, justement, parce que le texte n'a pas assez suscité mon intérêt. Je continue quand même... "Et de s'engueuler avec". J'aurais ajouté "avec eux". Et puis, dès lors qu'il est question de la famille, de divers frères et soeurs, pourquoi ne pas écrire "depuis que LA mère était décédée" (et non pas "sa"). J'ai vraiment conscience de chipoter... J'ai relevé, dans ce bref récit, cinq fois (peut-être en ai-je oublié) le mot "retraite" ! Je comprends, alors, que Gabriel était encarté CGT, puis SUD ! Enfin, pour ce qui concerne la lettre trouvée dans la boîte jaune, je partage l'émotion de l'ancien facteur. Mais, pour ajouter un plus au récit, est-ce que cela n'aurait pas été mieux de proposer cette correspondance, dans son intégralité, au lecteur ? Merci, cependant, pour cet aperçu de la vie professionnelle d'un fonctionnaire des Postes dans une petite ville de Dordogne. |
Anonyme
1/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Ce texte fait démentir mes goûts habituels. Je suis d'ordinaire sensible à la forme avant de l'être au fond.
J'ai trouvé d'abord que le style était assez faible. Ensuite, je me suis dit qu'après tout je préfère la retenue à la surenchère. Finalement, je trouve que la forme ne fait que s'effacer derrière le fond. Sur le fond donc... J'ai d'abord retrouvé cette très jolie région où j'ai passé mes dernières vacances. Ensuite, j'ai apprécié le contraste entre "l'ancien" et le "nouveau", qui n'est d'ailleurs pas simpliste mais fait bien apparaître tout ce que l'on gagne grâce à l'évolution des choses avant de prendre conscience de tout ce que l'on y a perdu. Et puis, finalement, et surtout, la relation père-fils, ce père d'une très grande pudeur par rapport à ses propres attentes, qui s'efface en quelque sorte devant la vie de son fils. Décidément, tout ici n'est qu'effacement et, au final, on peut considérer que l'effacement du style ne fait que participer à l'effacement global. Le but est donc parfaitement atteint. Je confierais même que si le but était d'arracher quelques larmes, c'est plutôt bien vu ! |
Anonyme
1/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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superbe nouvelle, en la lisant j'ai vu dans ma tête les images de cette histoire.
Je trouve aussi très bien de ne pas rentrer trop dans les détails sa permet vraiment de cerner le fond et de s'accaparer cette belle nouvelle. |
Anonyme
2/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Joli texte très bien écrit où l'émotion est palpable. Les avatars de la distribution du courrier donnent à voir l'évolution du paysage français, de la société française, comment les moeurs ont évolué, ce qui rend le récit forcément nostalgique. Merci pour cette lecture d'une nouvelle diablement efficace, mais qui manque peut-être un peu de surprise.
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Anacreodes
2/2/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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Je vais me faire remarquer mais je trouve cette nouvelle émouvante et vraie. Bien loin de toutes ces histoires à dormir debout qui sont à la mode. J'ai lu sur le forum qu'elle avait été écrite d'un seul jet, c'est la meilleure façon de réussir une telle histoire.
Une première partie descriptive bien utile pour la suite, j'ai suivi ce brave facteur dans sa tournée, sur son vélo et ensuite sur un engin à moteur, comme lui j'ai constaté l'évolution des mentalités, il fut un temps où le facteur était un ami, un homme précieux et, au fil du temps il ne devenait qu'un fonctionnaire à qui l'on pouvait faire des reproches. L'environnement, la famille moqueuse, le vieux père veuf... Et puis cette seconde partie où le retraité revient sur les lieux de son travail qu'il ne reconnait plus, l'amertume, la tristesse... Et cette boite jaune abadonnée qui renferme un trésor. Merci Merome, j'ai eu les larmes aux yeux en te lisant. |
widjet
2/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une vie passée en accélérée (pas fan des ellipses en général), écrite dans un style simple, sans fioriture avec humilité à l’image de son modeste antihéros. Rien de renversant, mais rien de déplaisant non plus, au contraire. Une petite répétition (« régulier ») et un final tantinet larmoyant, mais pas de quoi non plus crier au scandale.
Parfois, ce genre de texte, ça fait du bien. W |
Mistinguette
2/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une chronique rurale qui nous plonge avec nostalgie dans le passé.
Histoire simple, mais efficace ! |
kamel
3/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Merome
Le thème basé sur le style narratif semble contenir un souvenir de la jeunesse ou Gabriel faisait ses rondes à "vélo". Ce passage montre cette évidence d'une réalité amère à travers notre parcours dans le temps."un souvenir d'antan"des mots qui justifient une présence momentanée de l'être"Son pére est mort".Une boîte jaune est mise en situation pour que le facteur se souvienne de ces lieux, jadis,habités par ses parents. Tous ces signes sont porteurs de sens à la bonne compréhension d'une lecture ,certes,linéaire et sans aucun obstacle de tournures métaphoriques qui puissent la ralentir. sur le plan de la forme,le pronom personnel "il"domine la structure.(+de 38 fois). Kamel |
Bidis
5/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Mon impression première rejoint celle des commentateurs précédents : voici une histoire simple, écrite avec clarté, porteuse de nostalgie. Mais rien de transcendant.
L’auteur dit dans un forum ne pas pouvoir réécrire ses textes. Mais il n’est pas besoin de réécrire un texte commenté dans l’instant. Peut-être, dans quelques années, reprendra-t-il son texte, et le réécrira-t-il à la lumière aussi des commentaires reçus… Dans cet espoir, je vais préciser ici ce « pourquoi rien de transcendant » tout en sachant que l’on voit toujours mieux ce qui « cloche » chez l’autre que ce qui ne va pas chez nous-mêmes. A savoir : je ne prétends pas du tout mieux écrire, au contraire. Dans le premier paragraphe, soit 67 mots, nous avons dix informations différentes : - « Gabriel était facteur. - Il avait passé le concours des Postes - et l'avait réussi. - Après plusieurs années dans la capitale à apprendre le métier, - il était revenu dans sa province natale, - en Dordogne. - Affecté dans un petit bureau de poste - d'une dizaine d'employés, - il effectuait la même tournée depuis vingt ans, - chevauchant par tous les temps un vélo aux sacoches lourdes de bonnes et de moins bonnes nouvelles. » On entre dans une histoire simple et grâce à cette simplicité, ce n’est pas vraiment un pavé qui nous tombe sur la tête. Mais tout de même, ces informations auraient pu être un tantinet étoffées. De même, la tournée aurait pu être rendue plus vivante par l’une ou l’autre anecdote, par des dialogues sentant bon le terroir, par un paysage racontant cette jolie Dordogne, etc… Le paragraphe « Partout où il passait, […] la distribution des lettres n'est jamais régulière. » me semble bien parfait. Puis le texte coule à la suite sans problèmes. J’y relève en passant « entre la poire et le dessert », il me semble que l’expression consacrée est « entre la poire et le fromage ». Pour « s’engueuler avec », je rejoins Automnale, « avec eux » me semblerait plus correct. De plus, moi, j’aurais dit « s’enguirlander », plus poli. - « son vieux vélo de postier que les collègues lui avaient offert à son pot de départ. » : pas logique. Le vieux vélo, c’est normalement celui avec lequel il faisait les tournées. Celui qu’ont offert les collègues pour le pot de départ devrait au contraire être presque flambant neuf. Et, toujours à l’instar d’Automnale, j’aurais trouvé le texte plus vivant et plus riche si l’on avait donné l’intégralité de la correspondance. La chute n’est pas originale mais s’inscrit dans la ligne d’un texte sans prétention. Par contre, j’ai trouvé la dernière phrase géniale parce que, loin de prétendre nous apprendre quelque chose et nous surprendre, elle contient comme en résumé, l’absolue non prétention du texte |
costic
6/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une belle histoire, humaine avant tout. Une vie en racccourci, un panoramique un peu triste toutefois. Il y a sûrement eu quelques rires aussi...Ils manquent un peu. J'ai beaucoup aimé cette vieille boîte jaune qui recélait des trésors du passé. Et si la lettre avec l'écriture de son père n'avait pas été adressée à Gabriel mais à quelqu'un d'autre, l'aurait-il ouverte?
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Anonyme
9/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Touchante histoire vraiment, mais qui est par endroit à deux doigts de glisser vers le registre: "ancien combattant" ou du "tout fout le camp ma brave dame!"
Peut être solliciter davantage l'imaginaire du lecteur. Le moment où l'on ouvre la boite oubliée par exemple est très fort, à mes yeux l'image métaphorique de ce petit récit. Très plaisant en tout cette sincérité qui sent le vécu. ps J'ai bien sur fait le rapprochement avec "Jour de fête" de Jacques Tati, à tort ? |
Anonyme
16/2/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Cette vie repassée en revue dans ses grandes largeurs, est touchante. Mais on a l'impression qu'elle a été écrite à la va-vite, du moins c'est mon ressenti.
"Le père de Gabriel mourut peu de temps après. Son enterrement fut la dernière occasion pour lui de voir ses frères et ses sœurs, et de s'engueuler avec une dernière fois. La politique..." est trop ramassée sur elle-même, on reste à la surface des mots sans approfondir. Je dirai que le fond de l'histoire est intéressante, mais qu'hélas on effleure que la partie supérieure sans en connaître l'intérieur, la substance. |
jaimme
21/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Pas fan de ce genre de texte j'ai pourtant été touché à plusieurs reprises. Le rythme est bon et c'est une qualité.
On sent qu'il aurait fallu le travailler à nouveau, j'ai buté quelques fois. C'est dommage car de cette gangue de qualité aurait pu sortir un petit bijou. La fin, pour éviter le larmoyant facile, aurait pu être plus suggérée. Auteur à suivre à mon avis. jaimme |