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SQUEEN
21/1/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je ne suis pas entrée dans votre histoire. La façon dont les informations sont distillées complique la lecture, la structure narrative est d’après moi inutilement complexe. L’accident de voilier est mal relaté, la tension aurait dû être énorme je ne l’ai pas ressentie. J’ai fait de la voile et je n’ai jamais entendu dire que l’on attachait quelqu’un au mât pour sa propre sécurité ! Je comprend Marie: « dont le visage n'était qu'un cri de terreur. » L’alzeimer de Thomas parasite le récit, ce n’était peut-être pas utile de l’ajouter, il justifie certaines actions mais de manière factice, ça ne « sonne » pas naturel, et on se demande quel âge il a finalement Thomas. Quelque soucis de vocabulaire comme : « dédaigneux du froid » … « avant le heurt sur les rochers. » Trop de maladresse pour moi, dans le fond et dans la forme, désolée. SQUEEN
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Tadiou
25/1/2018
a aimé ce texte
Bien
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(Lu et commenté en EL)
Le suspense est bien ménagé. La découverte se fait peu à peu. L’émotion est présente. L’écriture est pleine de belles images ; l’environnement est bien décrit et on peut visualiser de manière agréable. Mais je trouve que c’est un peu à l’emporte-pièce ; il y a trop peu d’éléments pour que je puisse pénétrer dans les personnages qui me semblent alors comme des fantômes désincarnés. Cela me semble comme un résumé, un synopsis ; un squelette qui demanderait à être habillé de chair. Malgré ce bémol, j’ai passé un bon moment de lecture. Merci donc et à vous relire. Juste un minuscule détail : je suis intrigué par le choix du genre « Réalisme/Historique »… Tadiou |
hersen
19/2/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je trouve la narration est un peu ratée. Et j'en ai pris conscience à partir du moment où l'auteur nous apprend, par la bouche de la sœur du marin, qu'il est atteint d'Alzheimer. Car alors, rien ne correspond . Un Alzheimer est, de mon point de vue, absolument incapable de « manigancer » sous quelque forme que ce soit. Donc, que l'ami Pierrot lui ait préparé son bateau avant qu'il ne vienne en train, pour qu'il mette son plan à exécution, demande un suivi dont est incapable un cerveau atteint de cette maladie.Même s'il est plausible qu'il revienne à un endroit qui l'a marqué, ou en tout cas qu'il essaie. Je vois mal cet homme acheter un billet, monter dans le bon train, enfin je n'y arrive pas. Je pense que l'histoire aurait vraiment gagné en densité sans la maladie, car alors l'esprit de cet homme qui veut en finir serait sain, non soumis à une folie exubérante de plans irréalisables dans son état. Je suis d'accord que « l'enfermement » de ces malades est quelque chose de très douloureux. Mais le monde extérieur est je pense tellement effrayant pour eux, ils sont tellement perdus hors des points de repères qui n'existent plus qu'il me semble difficile d'appuyer la nouvelle sur cet aspect. Car, dans ce cas, oui, le malade peut se souvenir de Marie, mais pas de ce qu'il vient de faire. Mais je ne sais même pas comment un Alzheimer peut vivre vraiment dans le souvenir. C'est une maladie très déroutante pour l'entourage. Et je remarque que l'on a souvent des histoires où les personnes âgées sont atteintes de cette maladie, comme si on la confondait avec la vieillesse, qui est tout autre chose, même quand la mémoire s'en va un peu, sans que ce soit une maladie particulière. Un point aussi pour le moins surprenant : Lui et sa femme Marie essuient une tempête et il ne trouve rien de mieux que de l'attacher au mât ? C'est certainement le meilleur moyen pour y rester ! De plus « contourner l'Espagne pour aller jusqu'en Méditerranée ». Il appareille de Biarritz, si j'ai bien compris le souvenir, point duquel il veut partir aujourd'hui. Il me semble qu'il faut plutôt contourner le Portugal, l'Espagne étant baignée à 95 % par la Méditerranée. Et par force 10, je suis surprise qu'il soit resté près des côtes. Sans parler de signes avant coureur qui annoncent une si forte tempête, il n'aurait pas dû partir ou se mettre à l'abri dans une rade protégée ou un port. Cela fait pour moi beaucoup trop d'approximations qui m'empêchent d'apprécier le texte. Merci de cette lecture hersen |
Anonyme
19/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Cette nouvelle bien écrite ( bien qu'il manque un accent sur un eut) est le récit simple d'une obsession. Le scénario de ce texte se découvre au fil de la lecture par petites touches successives. C'est ce qui fait son intérêt, le lecteur change à chaque paragraphe la vision finale de sa lecture. |
plumette
19/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Mimosa
l'histoire m'a touchée, globalement. Cet homme souffrant, qui se sent responsable de la mort de sa compagne aimée, avec une culpabilité faite de couches successives manifestement. Ce désir plus fort que tout de la rejoindre. Il y a cependant un hic pour moi : Alzheimer! J'aurai vu plutôt la dépression avec l'hospitalisation en maison de repos ( comme on dit!) et un sursaut de cet homme pour mettre un plan à exécution un sursaut qui, à la fois le sort de cet état car il a un projet, et en même temps lui permet d'accomplir son dessein morbide. Et puis, l'histoire du bateau me déroute un peu: s'il s'est fracassé contre les rochers comment est-il à nouveau en état de fonctionner. Car il semble bien s'agir du même bateau? "celui de ses vingt ans, le premier, petit et maniable, un risque-tout par grand vent, celui de cette nuit précisément" L'expression " celui de cette nuit précisément" semble faire allusion à la nuit du drame, en tout cas il y a une ambiguité pour moi. sinon le récit est fluide, j'aime bien que le lecteur soit dans la confidence de la fuite de Thomas puis que peu à peu seulement on découvre le contexte et les motivations. A vous relire Plumette |
toc-art
20/2/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai trouvé du charme et beaucoup d'humanité à ce récit. C'est vrai qu'il n'est pas parfait et mériterait à mon sens d'être repris mais le portrait de cet homme dévasté est touchant. Parmi les choses qui pourraient à mon sens être améliorées : - l'évocation d'alzheimer, même en début de maladie, n'est sans doute pas nécessaire, une "simple" dépression aurait aussi bien fait l'affaire et vous aurait épargné certaines préventions. - la psychologie des personnages secondaires est brossée de façon trop hâtive, un peu maladroite (par ex, la réaction du beau frère qui se trouve d'un seul coup minable). - Certaines incohérences scénaristiques : Thomas semble un marin aguerri. Son imprudence est peu crédible et attacher sa copine au mât laisse songeur. si Thomas a déjà fugué, et souffrant d'alzheimer, je doute qu'on le laisse sortir pour la journée. - un manque de clarté sur des points de détail mais qui sortent le lecteur de sa lecture : Thomas prend pour partir son voilier de jeunesse, non celui à bord duquel sa femme est morte, mais comme vous évoquez sa maintenance, le lecteur peut facilement confondre et s'étonner. Enfin, autant vous égarez le lecteur sur différents points, autant la dernière phrase est paradoxalement trop explicite et, pour tout dire, inutile. Et sinon, "dédaigneux du froid " est parfaitement correct. :-) Voilà, je le répète, l'impression globale est bonne. Merci pour cette lecture. |
Perle-Hingaud
21/2/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour mimosa,
J'ai lu cette nouvelle avec plaisir. J'aime bien l'écriture, je la trouve très visuelle et sensible. Le thème est classique, mais joliment traité. J'ai tout de même un problème avec l'âge de Thomas (qui en plus est un prénom assez "jeune" pour moi, même si c'est très subjectif): j'ai longtemps pensé que Thomas était le fils d'Alice. Alzheimer ne me semble pas vraiment approprié, une maladie mentale (forte dépression, tendance suicidaire...) aurait peut-être fait l'affaire ? Je ne sais pas. La dernière phrase est inutile, mais ce n'est pas bien grave. Merci pour cette lecture ! |
mirgaillou
1/6/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Le personnage est attachant, c'est important dans une nouvelle, mais le trouble que vous lui prêtez ne colle pas.
Où il a été mal diagnostiqué ou vous êtes mal documenté. Après tout, dans un récit de fiction, tout est permis mais il est préférable, pour donner plus de densité et permettre de s’inscrire dans l'histoire, de s'appuyer sur des situations plausibles. Sinon, l'ambiance est réussie. |