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Anonyme
4/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonsoir ! De cette histoire de moustache j'ai retenu deux très bons Bordeaux, le Château Margaux et le Saint Emilion... Pour le reste, à mon avis, c'est beaucoup de blabla pour une chûte ultra plate... carré blanc inclus ! L'écriture, de qualité moyenne, ne m'a pas non plus inspiré... Désolé !
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Anonyme
4/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Légèreté et bonne humeur courent tout le long de cette histoire plutôt cocasse il faut bien le dire. Aidée par une écriture simple et ironique qui atteint son but, le récit est bien mené, construit avec beaucoup d'efficacité. La conclusion est un peu évidente mais peu importe au fond.
Merci pour cette lecture. J'ai souri souvent, me suis moquée parfois. Bref, j'ai beaucoup aimé. Electre |
ANIMAL
4/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Voilà une histoire aussi bien écrite que joliment narrée. Les efforts méritoires des trois voisines pour déniaiser le beau plombier font sourire.
Qu'ont-elles gagné à l'affaire, nos belles ? Ca c'est une autre histoire... C'est en tous cas un texte rafraîchissant, un brin olé-olé mais pas plus, qui se déguste comme un bon Château Margaux : sans modération. |
florilange
5/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai trouvé cette histoire amusante, coquine & assez bien enlevée. Sa chute est drôle
Le style est malicieux & le fait de placer tous les adjectifs avant les noms qu'ils qualifient n'y est pas pour rien. Le rythme se tient. Une nouvelle agréable à lire. |
Anonyme
10/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une nouvelle bien sympathique ma foi!
Bon je vais faire un gros reproche: la fin et la chute. Je les trouve trop rapides, quasi expédiées (et pourtant l'idée de chute est bonne), ce qui set vraiment dommage. Parce qu'il y a un style Mistinguette, parce qu'il y a une écriture fluide, drôle, agréable. Vraiment dommage cette fin! |
Anonyme
10/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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si je devais comparer cette nouvelle à un cours d'eau, je dirais
que son clapotis est agréable à entendre; le vocabulaire est diversifié, bien choisi et de nombreuses phrases sonnent juste (d'autres un peu moins, mais elle sont en minorités, dommage pour les mots pinards et bagnole, d'autres termes que ceux là aurait rendu l'image de la contractuelle réussie) je dirais aussi que ce cours d'eau s'écoule lentement mais sûrement, et qu'il nous permet de naviguer paisiblement sur une histoire légère qui nous fait passer un moment agréable. puis soudain, le cours d'eau disparait inexpliquablement sous terre; sans jamais réapparaître. Plus rien !!! Une terre aride ! Moi qui m'attendait à une fin délicieuse (sans exiger qu'il puisse s'agir des chutes du niagara) je découvre une histoire atrophiée, amputée de son final; avec par dessus le marché, un changement de temps inaproprié. Dommage. J'ai aimé l'ensemble de cette gentille histoire, mais j'attends toujours son dénouement. |
Anonyme
10/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Dommage, les ingrédients et la recette étaient là. Le gâteau à l'arrivée n'a pas le goût escompté. L'écriture surtout m'a parue scolaire, laborieuse. Pourtant l'histoire est bien menée et sympathique. Pourtant il y a des sourires et des promesses d'ivresse. J'encourage ces promesses.
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Flupke
10/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Mistinguette,
Bravo pour ce premier texte sur Oniris. Le double thème de l’histoire me plaît (L’appendice supérieur - handicap tourné en avantage – d’un jeune homme, ne rebutant pas outre mesure trois jeunes femmes dont les visées convergent à un épanouissement de son appendice inférieur). On sent qu’il y a beaucoup d’humour dans le style (très prometteur) , dans la manière de raconter l’histoire (on décèle un plaisir sensuel à l’écrire). Le champ lexical est riche (merci de m'avoir appris jaspiner), j'ai l'impression que vous avez beaucoup de choses à dire sur ce monde. Bien aimé aussi le twist à la fin. Le troisième paragraphe m’a bien plu. Néanmoins, poster sur Oniris, c’est aussi l’occasion de recevoir des commentaires pour améliorer son texte et le cas échéant, le retravailler si on le souhaite. Dans cette optique voici mes critiques subjectives (que j’imagine constructives) : Je pense que le style gagnerait en fluidité en amputant les adverbes non vitaux. Surtout, là où le sens de la phrase serait peu modifié par une telle ablation. (handicapait PSYCHOLOGIQUEMENT, une vie RELATIVEMENT normale, sonna CARREMENT, MALHEUREUSEMENT si Léonard, le VERTIGINEUSEMENT beau (l’adverbe alourdit trop ici, il me semble), SEULEMENT plus qu’un défi, PARTICULIEREMENT gouleyant. Elle scruta LONGUEMENT le dessin. Là nous entrons dans la dialectique de la règle d'or du « ne pas dire, mais montrer ». "Le rapprochement de ses fins sourcils et les contorsions de sa bouche" MONTRE qu’elle scrute le dessin avec attention. L’adverbe DIT cela, alors que la suite le MONTRE. LONGUEMENT, me semble ici doublement superflu. Aussi, il faudrait peut-être y aller mollo avec l’adjectivation avant les noms. L’excès en tout est un défaut. Une fois de temps en temps, ça va, ça peut suggérer une certaine ironie, mais trop souvent, cela peut lasser à la longue : rébarbative besogne, girond popotin (ne sonne pas très bien dans mon oreille), trois raffiné verres, onéreuse bouteille, disproportionnés naseaux, fondamentale question, la magique potion, les romaines armées, oups sorry je dois confondre avec Astérix chez les Bretons pour les deux derniers :-) Pas du tout choqué par certains mots (pinard, bagnole, cornichon (ce dernier mot suggère un point de vue féminin de narration), fissa, se radina, etc., mais un peu surpris, car l'ensemble du registre est châtié. Cela détone légèrement. « Ho sacrilège » Ho ? Ou Ô ? Quelques exagérations pas graves du tout, mais que je mentionne en passant – la boisson céleste – , la modération ayant plus de punch de mon point de vue. En tout cas, une belle réussite pour votre premier essai sur Oniris, car j'ai trouvé l'ensemble divertissant et j'ai même souri à certains passages. Bonne continuation. Amicalement, Flupke |
caillouq
10/3/2010
a aimé ce texte
Pas
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Par pitié, arrêtez de gâcher le plaisir de la lecture par des virgules complètement fautives ! ("le jeune homme songeant alors, qu'apparaître etc...", "l'abondante tignasse brune (...), mettait en exergue etc", "ayant comme chacun sait, la réputation etc...", je m'arrête là mais il y en a plein d'autres)
Couper le verbe de son sujet ou de son complément par une virgule unique: streng verboten ! Prohibido ! Forbidden ! Si vous n'y voyez qu'une maladresse de style: de bons exemples à travailler sur http://francite.net/education/cyberprof/page12.html (par exemple ...) En essayant de faire l'impasse sur ces virgules malencontreuses (c'est dur): ... non, il y a un "ho sacrilège" (et pas ô) qui se balade bizarrement, sans être ancré par aucune ponctuation ... ... va falloir tout relire pour se faire une idée ... Bon, au final ? Chute qu'on voit venir. Un style vraiment trop "magazine féminin" pour mon goût. Dommage, parce qu'on sent que l'auteur, s'il se laissait aller (ok, mistinguette, c'est sûrement une auteure, mais (i) ce féminin tardif est vraiment trop moche pour mériter d'être utilisé (ii) le pseudonyme transgenre ça existe aussi dans ce sens-là, cf Yasmina Khadra) bref on sent que l'auteur a des potentialités pour la fantaisie. Lâchez-vous un peu, Mistinguette ! |
Anonyme
11/3/2010
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Citation : Et puis ne dit-on pas que la dimension du principal attribut viril est proportionnelle à l’organe vissé au centre du faciès ?…
Moi qui croyait le dicton : petit nez, bien troussée. Nous n'avons pas les même références littéraires, ce me semble ? 1, 80 m de muscles ??? De plus le mot exergue (recherche d'un effet de style ?) me gène ; en évidence eut suffit. Attention à l'utilisation des synonymes, certains sont plus appropriés que d'autre. Je vous conseille un excellent site pour la langue française (tout y est) : http://www.cnrtl.fr/ ; il y a même un classement des synonymes par ordre de pertinence. Et hop ! retour du plombier polonais ! Là, ça sent le roman de gare. Et de l'usage de la ponctuation ; je sais que c'est toujours délicat éprouvant moi même parfois comme un sentiment d'hébétude quand il s'agit de choisir entre rien, une virgule, un point virgule, etc... Exemple cette phrase : citation : Ironie du sort, le vertueux Léo habitait une minuscule ruelle en cul-de-sac, dont les résidents s’avéraient en majorité, être des résidentes. On trébuche sur les virgules et du coup l'envie de continuer la lecture sur un terrain aussi accidenté nous semble relever de l'exploit. Mais bon, vaillant nous sommes, alors ! Citation : une plantureuse serveuse mignonne comme un cœur. J'ai oublié le nom de ces journaux dits féminins, mais vous voyez de quoi je veux parler je suppose. Ah ! Nadège à la sidérante beauté, artiste peinte (peintre) de surcroit, que te t'ai-je connu plus tôt. - Puis-je vous croquer ? Non, j'arrête, ce n'est plus comestible. |
Anonyme
11/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Moi, je la trouve plutôt sympathique cette histoire.
C'est pas mal écrit, même si je reste évidemment perplexe devant les choix de ponctuation. Bon, le passage en revue des séries télévisées de ces trente dernières années donne un côté un peu kitsch, mais en même temps bon enfant aussi. Ce côté résolument "sympathique" permet d'oublier le manque de crédibilité de ces trois jeunes femmes à qui, manifestement, il ne faut pas la faire et n'auraient pas eu besoin du blase de Léonard pour flairer le pot aux roses. Ce que je trouve dommage, c'est qu'on voit arriver la fin quasiment depuis le début. "Masquer" cette chute aurait sans doute été difficile. A défaut de pouvoir la masquer, j'aurais espéré qu'elle soit mieux mise en scène. Comme "on dit", je suis curieux de la prochaine publication. |
Anonyme
11/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'aime bien ce texte assez amusant coquin. L'écriture assez agréable devient de temps en temps un peu lourde (adverbes trop nombreux)
Mais un texte savoureux. Une chute un peu trop vite expédiée. Des idées intéressantes. En tout cas je lirais volontiers d'autres textes |
Mellipheme
11/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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Jolie petite histoire assez bien enlevée.
Quelques erreurs de style et de ponctuation. Le mot "exergue" me parait mal choisi. "mettait en évidence" aurait suffit. "Probablement que colmater..." est lourd, une formulation plus légère était possible, par ex. : "Colmater les fuites... titille sans doute la fibre égrillarde". La toute dernière phrase "Mais avec le carré blanc celui-là" est superflue. Au delà de ces quelques scories ou approximations, le lecteur passe un moment agréable. Au fait, chère Mistinguette, je partage vos goûts en matière de boissons, et j'ai un nez plutôt proéminent ! :-) |
Mistinguette
12/3/2010
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zorglub
1/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'ai souri à de nombreuses reprises au cours de ma lecture, et franchement ri sur l'allusion à l'érotisme latent d'un célèbre représentant du monde agricole. C'est donc forément de bon augure pour une nouvelle à vocation humoristique.
De manière générale, je l'ai beaucoup appréciée. L'écriture est dans l'ensemble légère et fluide, même si, comme certains l'ont déjà signalé, quelques incohérences de la ponctuation cassent un peu le rythme. Je me suis régalé des innombrables variations sur le thème nasal, ainsi que du caractère des donzelles. Personnellement, je n'avais pas vraiment vu venir la fin, et je l'attendais avec impatience. Comme plusieurs commentateurs, j'ai en effet été un peu déçu, même si je comprends les contraintes que tu exposes. J'espère avoir l'occasion un jour d'en découvrir une nouvelle pour ce texte. |
Anonyme
26/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Mistinguette
Incontestablement vous avez du style. Pile poil comme je l'aime, c'est à dire léger, familier coquin, ne rechignant pas devant l'usage (modéré) de l'argot. L'histoire est sympa. Le lecteur mâle s'identifie aisément au personnage du plombier puceau (même s'il n'est ni l'autre) Au cœur de l'intrigue on s'embrouille un peu. J'ai du relire pour bien piger (heureusement que ce n'est pas un roman) Votre texte me fait penser à une sculpture inachevée. Il faut enlever encore de la matière pour qu'elle soit au top. N'hésitez pas à élaguer avec férocité pour ne garder que la substantifique moelle. Les incises par exemple alourdissent les dialogues. Je commente après avoir lu vos remerciements en forum. Incontestablement vous avez du style. Mince, je me répète. Du style, et beaucoup d'humour. J'aime |
littlej
17/5/2010
a aimé ce texte
Pas
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Je n'aime pas et je vais vous dire pourquoi.
D'abord, le style : très adolescent j'ai trouvé, naïf, parfois lourd. Le principal reproche que je vais faire à votre texte c'est cette abondance de synonyme, cette volonté de remplacer un mot par une autre expression plus compliquée pour ne pas répéter, ou pour faire bien. Quelques exemples : "l’appendice nasal", "groin", "organe vissé au centre du faciès" ou encore, au lieu de dire tout simplement pénis, vous préférez : "principal attribut viril", etc. J'ai envie de dire : "Pourquoi ?" Pourquoi à la place d'écrire SIMPLEMENT plombier, vous écrivez ces "ces virtuoses de la clef anglaise" ? Pourquoi vous faites compliqué, quand vous pouvez faire simple ? On sent la recherche tout le long, du travail, oui, mais je pense sincèrement, que justement, un bon style est un style qui ne sent pas le "travaillé". C'est bien sûr tout sauf évident, je vous l'accorde. Mais il y avait moyen ici d'éviter cette lacune. Pour le fond, je n'ai rien à dire. ça ne me passionne guère. Un texte donc peu convaincant, à mon avis. Merci tout de même pour cette lecture. j |
victhis0
24/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il y a une certaine jubilation et un vrai plaisir d'écrire, çà c'est bien.
Je déplore ainsi que mes petits camarades l'emploi intempestif de virgules lâchées au mauvais endroit qui cassent le rythme de lecture bien curieusement. J'aurais aimé un peu plus d'audace tout de même, un peu plus de truculence et d'érotisme pour être tout à fait convaincu mais il n'en demeure pas moins que j'ai lu cette histoire très féminine avec le sourire et un vrai plaisir. |
Anonyme
24/3/2011
a aimé ce texte
Vraiment pas
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J'ai trouvé l'ensemble très laborieux, faussement sémillant... Les maniérismes de style, avec la recherche de formules toujours plus alambiquées pour le nez, les moustaches etc. (maniérismes nécessités sans doute par le désir des plus honorables d'éviter les répétitions), n'ont à mon sens pas aidé, ont aggravé l'impression que j'ai eue de lourdeur, d'effort pour faire "décoller" le texte. Les dialogues aussi m'ont paru artificiels, par exemple :
"je pense que pour trouver la solution, quelques gorgées de Château Margaux seraient bénéfiques à nos méninges" Les quelques élisions présentes dans les dialogues ("J'crois", etc.) m'ont aussi semblé forcées. Au total, je n'ai pas souri une seule fois. J'ai relevé ci-dessous les phrases où la présence de virgules a arrêté ma lecture, où j'ai trouvé qu'elle cassait le rythme : "L’abondante tignasse brune surplombant son mètre quatre-vingt-cinq de muscles, mettait en exergue" "Le jeune homme songeant alors, qu’apparaître devant saint Pierre avec un nez parfait, ne présentait au bout du compte" "dont les résidents s’avéraient en majorité, être des résidentes" "la jolie coiffeuse sur le départ pour son travail, dut faire l’impasse du numéro de charme" "Le rapprochement de ses fins sourcils et les contorsions de sa bouche poupine, révélèrent soudain que quelque chose la chiffonnait" "aucune des trois n’imaginait les outrancières bacchantes de ce Casanova agricole, plaquées sur le mignon minois" "de lui servir quand il viendrait déjeuner dans son restaurant, un café bouillant" "un employé des studios de cinéma qui se tenaient à deux pas de l’impasse, placarda des affichettes " "seraient bénéfiques à nos méninges!" : manque l'espace avant le point d'exclamation |
Jagger
25/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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S'il y a bien quelque chose que l'on doit reconnaitre c'est que le style de narration est originale. J'apprécie la constance du ton car, parti en trombe des les premières lignes, je m'attendais à un essoufflement qui, heureusement n'est pas venu.
Les personnages sont drôle et attachant et si l'auteur le veut bien, j'apprécierais qu'elle me communique l'adresse de cette impasse et si certain appartement ne seraient pas à louer... Les rebondissements sont parfois improbable mais font parti du charme du texte également. Si certain termes peuvent être vieillot (bacchante...) j'aime la contre balance avec des références modernes ( Desesperate housewife). Un récit vraiment chouette, vivement le suivant. |
Bidis
22/2/2014
a aimé ce texte
Bien
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Ce texte sans aucune prétention se laisse lire avec agrément, mine de rien,. Et malgré des maladresses pour moi évidentes, on ne le lâcherait sous aucun prétexte avant de savoir le fin mot de l’histoire, ce qui pour moi est primordial pour le plaisir du lecteur. Et puis l’écriture est amusante, primesautière, on ne se prend pas la tête, c’est plaisant.
Quelque petites remarques : - « …un groin au milieu du minois : « Vilain nez n’a jamais déparé joli visage ! » : J’aurais inversé : « un groin au milieu du visage : « Vilain nez n’a jamais déparé joli minois ! » -« puis ne dit-on pas que la dimension du principal attribut viril est proportionnelle à l’organe vissé au centre du faciès ?... : J’aurais cherché à formuler cela plus adroitement. Par exemple : « que c’est à cet organe qu’on suppute la taille du plus précieux des attributs virils » A mon avis, en inversant, on échappe au lourd « organe vissé au centre du faciès » et « précieux » me semble plus léger que « principal - Toujours est-il que la vitrine de son anatomie : J’aurais préféré : « ce détail anatomique déplaisant » - aux délices de la copulation : J’aurais préféré le mot « chair », « aux délices de la chair ». - comme chacun sait : c’est plutôt « comme le prétend la légende », cela remet cette réflexion au niveau de la blague (qui vaut d’ailleurs aussi pour le facteur). Dit comme ici, l’auteur a l’air de croire à la moindre réalité de ce poncif. - que ce dernier soit le summum de l’érotisme : Un homme peut être érotique mais pas l’érotisme ou alors « que ce dernier soit l’érotisme incarné » - Enfin, j’enlèverais la soirée costumée au profit d’un paragraphe expliquant comment les trois commères convainquent Léonard de se déguiser et de porter la moustache ad hoc. |
Berndtdasbrot
7/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai aimé le début de l'histoire. Cette intrigue amusante : comment dépuceler Léonard. Un ton léger, vivant.
Je trouve, contrairement à beaucoup de commentaires, que vous avez travaillé l’écriture. On sent une certaine recherche, même si parfois, quelques erreurs, mais bon.. L'intriguer est un peu retombée à plat ensuite et la chute m'a semblé tirée par les cheveux. Berndtdasbrot |