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wancyrs
1/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Joli conte que je raconterai volontiers à mes enfants. l'histoire est bien ficelée et menée de main de maître du début à la fin. Les expressions propres à ce style littéraire s'y retrouvent à profusion, et le tout finissant par une belle prise de conscience...
Bravo ! Vous êtes un(e) excellent(e) conteur(se) Merci ! Wan |
hersen
3/9/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Si je prends ce texte comme une histoire, la fin idyllique ne me fait pas oublier le calvaire de l'épouse. ( et des chats !)
Je le prends donc comme un conte, et alors tout est possible. Très bien écrit, ce conte, donc, nous raconte comment un vieux bougon se transforme en gentil voisin. Et comment des yeux d'un bleu ! en sont à l'origine. Faudrait-il donc si peu de chose (ici la couleur des yeux) pour que le monde aille mieux ? Il est plaisant de le penser, nous avons de temps en temps besoin qu'on nous rappelle à des choses simples. C'est un conte que je lirais volontiers à un enfant. Merci |
Bidis
22/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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L'histoire me surprend en cours de route et me surprend d'autant plus que j'attendais une chute plutôt noire, mais dès que je me suis vue définitivement sur le chemin choisi par l'auteur, je me suis mise à m'ennuyer un peu. Trop édifiant, pour moi.
L'écriture elle, est tout à fait correcte, agréable. A la relecture, je suis venue enlever ma petite restriction à cet égard. |
Anonyme
22/9/2015
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Bonjour Mona79
J'avais la larme à l’œil en terminant ma lecture. Votre histoire respecte on ne peut mieux la contrainte du concours. C'est bien parce que la couleur de ses yeux lui rappelait ceux de son épouse que Pomponette a échappé à la félinophobie meurtrière du vieux Joseph. Autour de cet argument vous avez laissé courir votre plume avec une jubilation qui apparait à chaque image, à chaque pointe d'humour. On vous imagine conter cette histoire devant un auditoire attendri. Vraie ou inventée, peu importe. Je pense que vous tenez là le sujet d'un télé-film. Merci Mona pour cet excellent moment et bonne chance pour le concours. |
Anonyme
22/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Mona... Un conte pour les petits que le grand enfant que je suis resté a apprécié à sa juste valeur. Pas de surprise mais une évolution bien menée du mal vers le bien !
Je pense que ce texte est tout à fait dans l'esprit du concours et de plus très bien écrit. Bonne chance pour le verdict final ! |
alvinabec
22/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Mona,
La rédemption par la grâce d'une chatte, il fallait y penser. Charmant conte servi par une écriture délicate où l'on sent l'auteur chercher l'expression la plus juste pour la narration. Le 'happy end' me semble trop proche d'un 'Et ils eurent beaucoup d'enfants' ce qui du coup expédie l'ensemble du récit du côté des bons sentiments même si le personnage de Joseph ouvre le bal avec la fée carabine. Du mal à adhérer. A vous lire... |
Anonyme
22/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
moi qui ai un faible pour les animaux je trouve votre nouvelle charmante. Thème respecté à 100 % il me semble. De plus votre écriture est fluide et précise. Sur le fond les yeux de chat et d'humain sont assez différents mais à part ce petit détail, comme j'aime me laisser emporter, j'ai suivi sans problème ce petit détour par la métempsychose. Bonne chance pour le concours. Corbivan |
Anonyme
22/9/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Une nouvelle vraiment fabuleuse, et je pèse mes mots. Cette fois-ci, tout y est : 1. Le thème : on ne peut mieux respecté, 2. La narration : une histoire un peu en forme de compte, très bien écrit, 3. L'intrigue : très bien menée, 4. Les personnages : très visuels, très bien décrits, sans fausse note, 5. Le plus : l'extraordinaire beauté de l'histoire. Pour le moment la meilleure nouvelle du concours. Bien à vous, Wall-E |
jfmoods
23/9/2015
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Voici un conte de belle facture.
Quelques remarques... « Jamais son humble village avait vu chose pareille » Je sais qu'il existe des exceptions à la règle de la négation avec « jamais », mais je ne suis pas certain que nous soyons, ici, dans l'une de ces situations. « Son instinct de prédateur » C'est une femelle. Pourquoi pas « Son instinct de prédatrice » ? Je constate, d'autre part, un relâchement sur la ponctuation. Les virgules sont, en effet, par moments, aux abonnées absentes. C'est le cas pour cette proposition subordonnée participiale... « Tourmenté par ces réminiscences il se revit » …, pour cette proposition subordonnée circonstancielle de temps... « Quand il remit en joue le chat avait disparu. » … ou pour ces compléments circonstanciels en début de phrase... « Un jour la chatte » « De temps en temps il entendait la voix » D'autre part, je reste dubitatif sur l'absence de virgule après l'adverbe en tête de phrase. « Pourtant était-il obligé » « Pourtant Pomponette » Merci pour ce partage ! |
Arielle
23/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une manière charmante de coller au plus près du thème imposé.
Entre la fable et le conte cette Pomponnette me rappelle celle de Giono dans "Jean le Bleu" qu'a reprise Pagnol dans "La femme du boulanger" Derrière l'histoire simplissime se profile l'éloge de la tolérance, le refus de juger sur les apparences, la croyance au pardon ... Un beau regard sur les rapports humains dans une langue claire et pleine de tendresse. |
papipoete
23/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Mona; il fallut que son épouse, silencieuse en toute circonstance, ne montrant jamais sa peine ( sa joie, n'en parlons pas, elle n'en avait jamais ) ferme à jamais ses paupières, pour que le vieux Joseph se rappelle qu'un jour, avait succombé à son regard.
Il était craint tel un tueur de chat, réputation qu'il avait acquis, ne supportant pas qu'un matou vienne rôder sur ses plates-bandes! Maintenant qu'il était tout seul, son coeur l'étreignait, il souffrait et qui pourrait bien adoucir sa vie? Pomponnette, chatte de la petite Jeannette, s'aventura à portée de fusil, chez lui; soudain lui revint cette vision des yeux éteints pour toujours de son épouse. Comme métamorphosé, il succomba pour le deuxième fois de son existence, à des yeux aux " saphirs ravageurs ". A partir de ce jour, le père Joseph partagea les joies et les peines " félines " de sa petite voisine; mots doux et caresses au matou devinrent gestes quotidiens, et sa vieille pétoire finit par rouiller à son clou. Une boule de poils avait réussi à rendre bon un méchant; faut dire qu'elle avait comme feue sa femme, " ce regard bleu apeuré "... Belle histoire, si bien racontée et faisant grande allusion au thème du concours! |
Anonyme
23/9/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Une belle histoire pour les enfants, une écriture soignée, le thème du concours parfaitement respecté. C'est propre et sans bavure, avec une fin des plus heureuse. Mais voilà, je suis un adulte, je demande autre chose à lire ! J'ai cru que les tourments de la malheureuse épouse allaient enfin donner du relief à ce qui me paraissait quand même bien gnangnan. Non, vous passez rapidement dessus préférant poursuivre sur quelque chose de plus gai. C'est votre choix, mais du coup j'ai perdu tout intérêt.
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Agueev
23/9/2015
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Une bien jolie histoire. Mais un peu trop téléphoné dès le second paragraphe. Une très belle écriture mais un tantinet trop cucul la praline pour moi.
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AlexC
23/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Mona,
Très jolie nouvelle, émouvante mais pas niaise, rythmée mais pas expédiée. La narration évite la surenchère de pathos et s’épargne une chute à effet. Cela fait du bien de lire quelque chose de simple dans le style tout en étant élaborée et riche en sentiments. Quelques remarques : -Le passage de la haine à la tolérance est un brin trop rapide. Qu’il soit envouté par les yeux de Pomponette soit, mais qu’il accepte si vite que tous les chats du quartier s’ameutent dans son jardin, un peu fort. Une ou deux phrases de plus pour expliquer son laxisme ne seraient pas de trop. -Le style est un peu moins fluide dans les trois quatre derniers paragraphes. je tique : “une chatte aux yeux d’azur profonds comme un beau ciel d’été, siamoise de pure race (ou presque)” “des cris lamentables” “et comme tous les enfants du monde, c’était de vrais polissons ! je jubile : “les yeux de ce chat qui, par leur seule vertu, parvenaient à exorciser ses démons.” Merci bien pour cette nouvelle humble et égayante. Elle a toutes les chances de figurer sur le podium du concours. En espérant vous relire bientôt. Alex |
Blacksad
23/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un joli conte... écriture classique, sujet également avec une fin qu'on devine dès le début mais ça reste plaisant si on le prend pour ce qu'il est (de mon point de vue) : une belle histoire toute simple, qu'on peut raconter aux enfants, petits ou grands pour le seul plaisir des mots, du récit qui coule, du happy end. Si c'était le but, c'est pleinement réussi.
Par contre, si c'était un texte pour émouvoir et/ou faire réfléchir les adultes, ça manque de profondeur, de réalisme, d'énergie... De plus, le thème du concours est parfaitement respecté. |
Anonyme
24/9/2015
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Bonjour Mona
Je préfère les chiens aux chats, aucune affinité avec les siamois aux yeux bleus, je les trouve simplement majestueux mais pas plus que certains autres chats, bref... L'histoire est très bien écrite, les personnages bien en chair - Jeannette est un peu maigrichonne - mais l'intrigue est bien menée. Une jolie histoire avec une vraie évolution de personnage. Bonne chance pour le concours. |
Mona79
24/9/2015
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carbona
24/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Pas évident de transmettre un conte sur "papier", on y perd l'art de la conteuse qui aurait sans doute bonifié le récit. La lecture n'était néanmoins pas désagréable. L'idée des yeux du chat et de la défunte est sympa. Quelques passages où j'ai tiqué : - "Mais cet autre regard, tellement semblable à celui de sa mère, il le revoyait aussi. Et ces quatre paires d'yeux qui le fixaient de l'au-delà lui causaient des tourments qui ressemblaient à de tardifs remords." < la mention de la mère m'a surprise car elle arrive de nulle part. Il s'agit bien de la mère de Joseph, n'est-ce pas ? - "Bientôt, tous les matous rescapés du coin se donnèrent rendez-vous chez lui et il toléra leur présence." < il tolère leur présence, on ne nous dit pas qu'il les apprécie, mais ce changement m'a surprise, je pensais qu'il ne tolèrerait uniquement Pomponnette - "petite Céline aux yeux de myosotis" < je ne trouvais pas utile de parler des yeux de la petite-fille J'ai aimé la description de Joseph, de son épouse, de leur tragédie (dur passage!), la coincidence des yeux, le fait que Joseph en soit troublé mais ensuite j'adhère moins à la tournure que prennent les choses. La transformation de Joseph me plaît moins, elle est trop entière, trop caricaturale mais nous sommes dans un conte, c'est le jeu. J'aurais aimé une suite et fin plus dure, un combat entre Joseph et ses sentiments naissants, voire quelques petites scènes de torture pour finir sur un changement quand-même mais qui aurait été plus laborieux à obtenir. Merci pour ce texte. |
Anonyme
25/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Vous avez une belle écriture, débordante de tendresse.
Dans le conte tout est permis et la rédemption qui passe par le regard est un symbole fort. Celui que vous portez sur le monde alentours fait beaucoup de bien. En plus, vous contez bien. Merci. Bonne chance pour le concours. |
Perle-Hingaud
26/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un joli conte, bien raconté. L'écriture est précise et équilibrée, c'est un plaisir. Vous connaissez peut-être mes goûts de lecture, alors je ne vous étonnerais pas en écrivant que l'histoire me parait un peu trop sucrée, mais pourquoi pas, puisque c'est un conte pour enfant...
...Quoique! Tout le monde sait à présent que les contes sont bien souvent aussi cruels que sadiques ! Merci pour cette lecture ! |
ameliamo
4/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un joli conte écrit respectant les règles d’un conte, où tout est possible et tout fini bien. Charmant et éducatif pour les enfants petits ou grands. Un bon message pour aimer les animaux.
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