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Robot
7/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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L'histoire n'est pas inintéressante mais je trouve qu'elle manque de saveur, comment dire autrement que le style est peu relevé à mon goût. La nouvelle est courte pourtant elle a provoqué un peu d'ennui car trop linéaire et scolaire dans sa rédaction.
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senglar
20/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Mona,
Troublant... Très bien écrit ! Un petit chef-d'oeuvre de style comme cette abbaye dont je suis allé voir les restes sur Wiki. Beaucoup d'allure pour ce gothique breton et quelle entrée ! J'ai trouvé curieux que tes parents, par ailleurs bohèmes (baba cools ?) pour avoir habité un tel endroit aient voulu brider ton imagination de petite fille, petite princesse. Je suis rassuré : ils n'ont pas réussi. Sans doute ont-ils voulu pour te surprotéger ?... La magie de ce récit a donc fonctionné sur moi ; je crois que nous avons tous un trône (voir plusieurs) chargé de mystère quelque part dans notre imaginaire enfantin :) Brabant |
Anonyme
20/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Mona, tu te fais rare, trop rare... mais heureusement cette mystérieuse Dame Blanche vient nous rappeler que tu n'as rien perdu de tes qualités de conteuse, que ça soit sous forme de poèmes ou, comme ici, en tant que nouvelliste.
Comme tu le sais je te préfère en vers mais cette courte nouvelle, mélangeant adroitement le rêve et le réel, n'est pas pour me déplaire... J'ai vu l'abbaye dont il est question et je suis surpris que tu aies vécu dans ce décor et que ces ruines aient été un jour lointain ton terrain de jeu... On le serait à moins ! Sauvée par la Dame Blanche ? Ca valait bien que tu le mettes noir sur blanc... J'aime bien le côté mystique de ce récit sans arriver à discerner le rêve du vécu mais l'histoire est belle et je t'en remercie, ô Mona la rescapée... pour notre plus grand plaisir ! |
Anonyme
20/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je vous savais poète mais pas conteuse, force est de constater que vous êtes à l'aise dans les deux domaines. Cette petite aventure est en effet agréable à lire, elle rend bien compte de l'imagination fertile de nos vertes années. Peut-être est-il dommage que vous n'ayez pas insisté sur le côté fantastique, sur une présence plus marquée de la Dame Blanche. Tel quel le récit est trop sage et ne dépasse pas une anecdote d'enfance alors qu'il y avait matière à pousser plus loin les angoisses de cet âge.
Vous prenez toujours grand soin à rédiger vos écrits. On reconnait bien là votre style, propre, soigné, avec une maitrise évidente de la langue. |
Marite
21/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai adoré Mona et je ne trouve pas que ce récit soit trop sage, il est réaliste, rien à voir avec le fantastique. De cette réalité que nous offre le monde des songes lorsqu'on ne le perturbe pas avec toutes sortes de produits ingurgités, soit pour les annihiler, soit pour les exacerber.
Cette Dame blanche est revenue, elle n'a pas oublié vos pensées enfantines lorsque vous vouliez devenir son amie pour la consoler. Elle est et sera votre amie, c'est son message. après toutes ces années, mais le temps n'existe pas dans ce monde car c'est le domaine de l'éternité. Cette phrase " je me suis réveillée tremblante avec, dans ma chambre close, le sentiment d'une présence rassurante et douce" traduit parfaitement le sentiment qui peut nous envahir, parfois, au sortir de ce monde fabuleux sur lequel nous n'avons, heureusement, aucune prise. |
aldenor
25/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Beau paragraphe en préambule. Limpide. Comme le dernier d’ailleurs.
« ...étaient venus échouer par je ne sais quel hasard » : Je songerais plutôt à un « concours de circonstances » qu’au hasard. « Dans l'un de ces logis, à l'aspect pour le moins étrange » : Pourquoi revenir sur l’aspect des logis, déjà décrits ? Bon dialogue avec Mathilde, très naturel. « Péremptoire, la vieille femme répliquait... » : une broutille peut-être, mais on ne sait pas qu’il s’agit d’une vieille femme et cette manière d’introduire la chose semble à retardement. « Je sautai donc » : « Donc » n’est pas clair. On ne voit pas le rapport de cause à effet. Les autres ne lui demandent pas de bondir au fond de la saillie. La ligne entre rêve et réalité est bien tracée ; l’auteur nous fournit toutes les explications voulues, laissant sciemment juste un point de coïncidence, une porte au merveilleux. Une écriture poétique. Avec cela, un bel effort de clarté, de logique, de construction. |
emilia
26/1/2014
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J’ai bien aimé accompagner cette petite fille « au royaume des songes… », en quête de sa Dame Blanche légendaire ; la trame narrative est efficace et la langue soutenue, dans un cadre très propice à l’inspiration…Bruno Bettelheim a bien su analyser le rôle des contes auprès des enfants et l’auteure l’a très bien traduit dans cette phrase : « j’adorais, malgré tout, frissonner d’une délicieuse terreur… » L’univers enfantin est également bien restitué avec : « cet esprit inventif, toujours prêt à concocter mille sottises », cette incitation à pousser l’autre à faire la bêtise envisagée tout en éprouvant le besoin d’apprivoiser les mystères… ; l’histoire se termine comme il se doit, rassurante, sur un sentiment de douceur qui respecte une innocence rafraîchissante…
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Anonyme
23/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup aimé cette nouvelle qui nous fait voyager dans ce lieu étrange et qui donne la chair de poule. Les pierres se rappellent de bien des choses...alors pourquoi ne contiendraient-elles pas leur lot de fantômes ?
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Donaldo75
9/6/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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L'histoire partait bien, dans un style plutôt classique, quand la narration permettait d'envisager un vrai rôle à la Dame Blanche. Malheureusement, cruelle déception, cette dernière s'avère un prétexte à un récit moins intéressant. Quant à la fin, elle arrive très vite.
C'est dommage parce que c'était plutôt bien écrit et semblait prometteur. |
poldutor
6/6/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Mona79
Je viens de découvrir cette courte nouvelle vieille de plus de cinq ans... Bien écrite, claire, j'ai bien aimé cette histoire de Dame Blanche qui apparait parfois. Ce genre de légende à de quoi faire rêver une petite fille, entre rêve et réalité, le souvenir demeure à l'age adulte. Garder son âme d'enfant, c'est un privilège. Cordialement. poldutor |