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Anonyme
6/5/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Vraiment marrant ! Bon, honnêtement j'avais vu venir le coup de la confusion des bagages, mais pas celle du nouveau fléau domestique. Le style allègre m'a bien plu, je ne l'ai pas trouvé trop appuyé dans le genre "attends, je vais te faire rire". Une mention pour "que de gens honnêtes dans Paris ce soir-là !...", j'ai adoré.
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Pascal31
6/5/2011
a aimé ce texte
Bien
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Une nouvelle bien écrite, dommage que le style un peu emprunté plombe parfois l'ambiance.
J'ai lu sans déplaisir cette histoire de chat encore plus envahissant mort que vivant, simplement je regrette que l'humour ne soit pas plus présent (la faute, donc, à un phrasé un tantinet précieux). Un récit assez distrayant malgré tout. J'ai bien aimé. |
Selenim
10/5/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Une histoire amusante qui pêche surtout par son écriture inutilement sophistiquée.
Je n'ai pas beaucoup de reproches en ce qui concerne l'intrigue, c'est léger et divertissant. Par contre, il y a des phrases lourdingues à la syntaxe de plomb. C'est paradoxal dans un texte si tranquille d'adopter un style si pesant et chargé. Enfin, c'est pas si facile de modifier sa façon d'écrire. |
beth
18/5/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Arthur, OÙ T'AS MIS LE CORPS?
Le texte m’a fait sourire … pour la détente, sur, il fonctionne. La culture de l’écrivaine est évidente, l’écriture est fluide mais dans le texte elle n’est pas assez au service de l’humour et je pense que le point essentiel de la « critique » est là. Bien sur m’est venue aux oreilles la fameuse chanson de Julos Beaucarne (Grand papa Nicolas …qui voulait tuer son chat), et celle de Steve Waring (Le Matou…. le matou revint le lendemain matin) et du coup je me suis amusée à chercher les références aux chansons populaires, cachées dans le texte….alors le « Arthur, où tu as mis le corps ? de Boris Vian est apparue au moment des échanges de paquets….et « Ça vaut mieux que d'avaler d'la mort aux rats … Ça vaut mieux que d'faire le zouav' au Pont d'l'Alma » chanté par Ray Ventura. Il est éminemment drôle que le paquet risque de tomber sur la tête du zouave et que…subséquemment l’Ordre y veille ! Faut-il entendre la Chanson de Maxime Le Forestier- La salle des pas perdus ? ou lire simplement un jeu de mots ? La citation attribuée à Henri III « Il est plus grand mort que vivant » lors de l’assassinat du duc de Guise (dans sa chambre) est truculente. La rubrique des « chats noyés » prenant la place de celle des « chiens écrasés » est aussi une bonne trouvaille. « Que de gens honnêtes dans Paris ce soir là ! » est aussi une petite phrase savoureuse à la Brassens. Tout est plaisant dans le texte, (y compris le titre) et je pense qu’il y a matière à en faire un texte vraiment humoristique, peut être en forçant les traits des personnages (le Persan dans son aspect d’odieux félin félon) la femme dans son côté « yorkshire (à ruban rose non ?)+Persan (pure race, il va de soit) cuisinant tout de même le lapin qui aurait pu être son chat. Le pauvre amant pourrait aussi être davantage « transi » surtout au lit…. suffisamment excédé, nourrissant des rêves de meurtres… Merci Mona79 pour ce moment de détente ! |
toc-art
18/5/2011
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bonjour Mona,
le style de votre récit est très classique, ce qui vous promet quelques déconvenues en ces lieux... :-) plaisanterie mise à part, l'histoire est gentillette, peu réaliste (un mec qui essaie de virer un colis depuis un pont, je doute qu'un flic passant par là se contente de le sermonner) mais je pense que votre intention n'était pas là. peut-être conviendrait-il de ne pas être trop explicatif : tout le monde a compris l'échange des paquets, nul besoin d'y revenir. et le point d'exclamation clin d'oeil au lecteur après potron-minet me parait un peu maladroit. dernière chose, j'ai noté quelques confusions entre l'imparfait et le passé simple. un moment de lecture sympathique. bonne continuation |
Bidis
28/5/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un charmant moment de lecture.
Il y a une progression dans la narration, une pointe d'humour bienvenue, du mouvement (avec la quête de l'endroit où se débarrasser du carton), un rebondissement de situation et une bonne chute à l'histoire. Pour moi, ce genre de texte aurait demandé des phrases plus courtes en en de nombreux passages. Et j'ai trouvé l'intervention de la concierge peu convaincante : le carton ne devait pas être bien grand ni remarquable, et en tout cas pas de quoi susciter une telle curiosité. |
Anonyme
29/5/2011
a aimé ce texte
Bien
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Très amusant. Une nouvelle distrayante et bien écrite en dépit de fautes d'accord redondantes et de certaines imprécisions. Rien de rédhibitoire, cependant. Rien qui rende la lecture trop agaçante pour être poursuivie, comme cela arrive parfois.
La fin est sans surprise et c'est un peu dommage. De fait, le chat en civet vaut largement le lièvre. Le chien aussi, ce n'est pas mauvais, surtout quand on a pris la précaution de longuement l'imbiber d'un alcool de qualité. Mais le chien est une nourriture Yang, très chaude, qui devrait être réservée aux hommes. Pour un repas d'amoureux, le chat est mieux. Au moins, on peut partager. Je me demande ce que pourrait donner un mitonné de yorkshire et de persan artistement mêlés en un bouquet de saveurs délicates et opposées, Yang et Ying se complétant, au final... quelque chose d'éblouissant, je pense, comme pourrait l'être votre nouvelle en y mettant plus de cruauté ou un calme plus pesant encore, je ne sais pas trop, c'est vous l'auteur... Bien aimé. Cordialement, micdec |
Charivari
31/5/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Eh bien, j'ai vraiment beaucoup aimé.
Le style, un peu précieux, un peu vieillot, marche très bien ici, ça nous donne un côté "les aristochats" (j'avoue que j'ai pensé, pendant tout le récit, à ce pauvre majordome du dessin animé). Vraiment un style aussi bien léché qu'un chat d'appartement. Quant au récit lui-même, je ne m'attendais pas du tout à ce retournement, très bien amené. Bref, un texte à en ronronner de plaisir. |
Anonyme
1/6/2011
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'ai tout simplement adoré! Ton texte est un petit bijou d'humour ou tu narres avec des termes tragiques une situation ridicule: j'espère en lire d'autres très prochainement!
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jeanmarcel
20/2/2012
a aimé ce texte
Bien
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Un texte à l'humour tendre , une chronique au ton légérement désabusée que j'ai lu avec beaucoup de plaisir. J'ai adoré :"Bigre ! Il est encore plus lourd mort que vivant..." petite référence historique à Henri III devant la dépouille du Duc de Guise, qu'il venait de faire assassiner, qui lança : "Il est encore plus grand mort que vivant". La ballade sur les quais avec le colis honteux est une scène charmante elle aussi. Quand à la chute, où l'auteur nous pose un lapin, elle est pour le moins inattendue. Un requiem tout en finesse.
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