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widjet
16/3/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ah ben c'est malin, ça...
Loin de moi l'idée d'être déagréable ou blessant...mais j'ai envie de dire : de qui se moque t-on ? A moins qu'une suite soit en cours (auquel cas il fallait préciser), je trouve que là l'auteur pousse le bouchon un peu loin... Créer un petit suspens - efficace d'ailleurs -, tenir la main du lecteur pour l'abandonner à la fin sans lui donner la plus infime des infimes des explications.... NON ! On sait que la rencontre boueverse la vie du héros ok, très bien... Mais quelle est cette rencontre ? Pourquoi lui ? Bah rien, wallou, nada, niente, quedalle, le lecteur est devant le fait accompli, soumis à cette justice arbitraire de l'écrivain... Ce n'est pas acceptable.... La rencontre a eu lieu c'est tout ce le lecteur aura droit ....Démerdons nous avec ça.... Attention ! J'aime les histoires intriguantes et je suis 100% d'accord pour ne pas dire explicitement - voire même ne donner que de maigres indications, subliminales, bien cachées même - de ce qu'il en est (je le fais souvent aussi) mais ne donner pas l'ombre d'un aliment à picorer, pas l'esquisse d'une info sur quoi spéculer, imaginer, prendre un chemin (même stupide), là c'est fort en café ! Pour ma part, j'y vois plutot un aveu d'impuissance de l'auteur de conclure son histoire ou d'y apporter de quoi la rendre plus mystérieuse. J'aimerais bien une explication. Maintenant c'estpeut-être de ma faute et que le mystère se trouve bien dans ces quelques lignes. Dans ce cas, c'est moi le coupable. Enfin et pour finir j'admets que le texte est fluide et se lit bien... Widjet |
Sanderka
16/3/2008
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Atmosphère contemporaine teintée d'un début de vingtième siècle, cela m'a fait pensé aux égarements de Sam Lowry dans le film de Terry Gilliam "Brazil".
La moindre occasion est bonne pour "s'évader un peu dans les méandres de mes songes". Certes, il est vrai que sur la fin on reste un peu... sur sa faim. Mais faut-il toujours se repaître à s'en faire péter la panse ? Quand on est au salon de thé, on ne commande pas un Paris-Brest pour faire le plein de protéine. La lecture fut plaisante à l'oeil et à l'imagination. Et comme dirait George mon voisin : what else... would you like ? |
Anonyme
16/3/2008
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Bah..moi j'aime bien les nouvelles où il se passe rien. :-)
Là il se passe quelque chose puis rien. Le rien est quelque chose, il trouble. On veut savoir si ce quelque chose est rien ou pas. Mais le rien est fait de plein de petits quelque chose qui finalement donnent rien. Bon. Pour noter, il me faudra un petit quelque chose. Or j'ai rien là. Je remarque quelque chose: la forme est élégante :-D |
calouet
16/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le fin est frustrante, en effet... J'ai relu ce fameux premier paragraphe, et je me pose encore des questions, mais peu importe finalement : c'est très bien écrit, j'ai lu avec envie et plaisir même... Bref c'était bien, et tant pis si la chute me semble foireuse, l'essentiel n'était peut-être pas là.
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clementine
16/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je partage l'avis des autres, la lecture est facile et plaisante car l'écriture est fluide, notre attention est d'emblée retenue.
La chute nous laisse, perplexe, en plein questionnement mais sans la moindre piste pour y répondre. J'ai relu puisque tu dis que la clef est peut-être cachée dès les premières lignes. Rien, rien trouvé, pas bien cherché ?? Dommage car j'ai néanmoins bien apprécié ta nouvelle. Au plaisir de lire les suivantes donc. |
Manonce
17/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup aimé cette nouvelle et surtout la fin... qui n'en est pas vraiment une.
Je me suis reconnue dans le début comme beaucoup sans doute. Une large porte reste ouverte pour imaginer la suite : l'extraordinaire rencontre, celle que l'on aimerait faire, qui nous expliquerait le monde, le pourquoi et le comment. Oui, vraiment, j'ai aimé. |
David
19/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Merci pour ma curiosité,
Un plaisir à lire, mince il y a redingotte et RATP dans le texte, c'est un peu anachronique ? Il y a de belles libertés dans le vocabulaire, comme ce participe présent: "soufle-coupante". Je l'ai lu juste aprés "approximative", ici le titre et la fin sont trés bien, encore une étrange rencontre bien orchestrée. |