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Anonyme
9/5/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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La première réflexion qui me vient à l'esprit c'est que j'aurais davantage vu cette histoire en Fantastique/merveilleux car elle raconte exclusivement un songe, qu'elle s'inscrit hors de la réalité.
Mis à part ce petit détail, sans être passionnant ça se laisse lire, ce vieux bonhomme qui s'évade dans ses rêves est plutôt touchant. L'écriture est de qualité même si elle a tendance à abuser de détails superflus : "Il sort, ferme la porte, tourne la clé, la remet dans la poche intérieure de son blouson, réajuste son manteau, se racle la gorge et s'en va." |
Asrya
9/5/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Quelques répétitions auraient pu être évitées : porte, clé, rouge ; des broutilles.
Mis à part ça, rien ne m'a dérangé. L'écriture est agréable, les phrases sont plutôt longues mais sont relativement bien ponctuées ; la lecture reste plaisante. L'idée n'est pas très originale, il faut le dire, ceci-dit, on y croit, on est pris, et on ne s'y attend pas ; pas trop en tout cas. La vision du "père" de votre personnage serait peut-être à revoir (pour moi). Cela nous invite trop à penser que l'action qui se déroule n'est que fictive (j'étais à mi chemin sur la piste du rêve, à mi chemin sur celui de la mort). Et je ne sais pas si c'est un bon point. J'aurais probablement adoré que l'histoire s'étale un peu plus, fouille davantage dans les profondeurs de votre personnage, son âme, ses ressentis, son vécu ; j'attendais quelque chose de plus touchant, de plus fort, de plus personnel. Oui, voilà, le texte est peut-être trop distant. Pourtant vous nous alléchez efficacement avec cette histoire de "Suède", la disparition de cette "elle" ; dommage de ne pas s'en servir davantage, dommage de ne pas y faire référence avec plus de sensibilité, de subtilité aussi, ou de poésie (puisque vous en êtes capable). De beaux passages dans ce texte, mais ils se font trop discrets. Quelques ajustements ainsi que quelques approfondissements amélioreraient considérablement votre nouvelle (enfin, c'est mon avis). Merci pour ce partage, Au plaisir de vous lire à nouveau, Asrya. |
Anonyme
2/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
votre histoire m'a laissé sur le bord de la route, sur le quai de la gare, assis je ne sais où à suivre vaguement du regard votre personnage devant des paysages, dans ses scénettes intérieures... Je n'ai pas été emporté par les images. On comprend bien vite qu'il rêve, ou qu'il se perd dans ses souvenirs. Le style n'a rien d'exceptionnel, simple, sans effet, sauf un ou deux passages comme "peu apte à vivre au fond", "le crépuscule pèse sur le jour." "Les employés de service peignent le gazon..." Moi, j'aurais écrit: ils peignent "de" leur souffleur et non "avec". Et comme tout ancien cheminot qui se respecte, je ne peux m'empêcher de signaler cette erreur constamment faite : "une porte s'ouvre dans le premier wagon", un wagon ne transporte jamais de voyageurs, mais des marchandises ou des animaux, c'est le terme voiture qu'il faut employer, comme dans l'expression typique des gares de roman " En voitures, s'il vous plaît." Mais là, il est vrai que je chinoise, désolé. La seule chose qui m'ait plu dans votre nouvelle, ce sont ces quelques phrases de Jean Paul Sartre qui s'immiscent dans le rêve du vieil homme, où Jean Paul Sartre lui-même apparaît, peut-être. Ce passage du rêve sonne authentique et j'ai bien aimé. Il y avait encore beaucoup à faire avec cette idée de voyage onirique pour devenir vraiment une histoire prenante. Dommage. Il ne me reste qu'une vague sensation de cette tristesse du vieil homme, de son ennui devant son écran de télé. A vous relire avec toujours autant de plaisir malgré tout. Après relecture, voici un complément de commentaire: Bonjour, j'ai relu cette nouvelle et peut-être qu'au moment de mon premier commentaire, je n'étais sans doute pas suffisamment concentré. Et là, je dois dire que votre texte me plaît davantage. Une bouffée d'émotion m'a surpris à la fin quand le vieil homme se réveille et qu'il cherche sa compagne, qu'il réalise qu'elle est partie, et qu'il rêvait, mais pas son départ à elle. Je me suis imaginé un instant à sa place et c'était très intense comme impression, infiniment flippant. Comme quoi, un état d'esprit bien ou mal influence énormément notre façon de voir, d'apprécier les choses. Je réévalue donc. Je savais bien qu'il y avait un petit truc qui clochait dans cette nouvelle, et je n'avais pas compris que c'était moi, le lecteur. Désolé. |
Automnale
26/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un homme d'un certain âge est, devant son téléviseur, affalé dans un fauteuil. Sans dire au revoir, sans prévenir, celle qu'il aimait est partie, la veille, pour le grand voyage... Ils auraient encore pu faire tant de choses ensemble. Ils auraient pu, entre autres, vivre tous les deux en Suède... Alors, le vieil homme, désemparé, trouve son sac à dos, y met quelques vêtements et provisions, puis prend la route...
J'ai aimé cette idée - tellement juste - de préciser que, dans le couple, c'était lui le plus vieux, le plus souffrant. Logiquement il aurait dû partir le premier. Or, le destin en a décidé autrement. J'ai aimé l'expression "baroudeur de l'infini" ou, encore, "la D306, une cicatrice goudronnée sur la campagne jaunie par l'été". J'ai aimé, aussi, "un roulement à la Piaf", ainsi que le titre du livre de la voyageuse :"En attendant que le train parte" (d'où le titre de la nouvelle). Mes propositions (utiles, peut-être, dans l'objectif de la publication d'un prochain recueil) : - "Une lumière jaune projette, sur le quai, l'ombre d'un groom avec son képi (plutôt que "avec son képi sur le quai"). - "Les paupières prises de stigmates brefs" (et non pas "prisent"). - Je préciserais dans le texte, et non pas en N.B. car cela fait trop plagiat, que les citations sont de Jean-Paul Sartre. - "qui lui rappelle vaguement quelqu'un, sans savoir qui" (plutôt que "ni où ni quand". En cas de maintien, la phrase devra être peaufinée. - "Ce livre l'ennuie" (et non pas "l'ennui"). Pour ce qui concerne le fond, je me demande si les rêves d'autrui, ceux faits en dormant, intéressent quelqu'un (hormis un psy)... Afin de surprendre le lecteur, n'aurait-il pas été plus judicieux de ne dévoiler qu'à la fin - juste à la fin - que l'homme dormait ? Quant au personnage, je l'ai trouvé sympathique et touchant. En dépit de son âge, de son état de fatigue, ce baroudeur dans l'âme souhaite encore "découvrir l'indécouvrable". En conclusion, tous les ingrédients (idées, poésie, style d'écriture, sens de la narration...) sont réunis pour faire de ce "En attendant que le train parte" une excellente nouvelle. Pour créer un effet de suspense, il suffirait de remanier un peu le texte et de le nourrir... Pourquoi ne pas s'attarder davantage dans "L'Orient-Express" (ou dans un autre train prestigieux) ? Pourquoi ne par parler davantage de la Suède (coutumes, paysages, artistes...) ? Il me semble que nous devrions, avec curiosité, plaisir ou terreur (comme le voudra l'auteur), suivre l'homme dans son supposé périple... et ce jusqu'à la chute finale. A bientôt, Benjamin ! J'adore, vous le savez, m'évader en votre agréable compagnie... J'adore ce que vous faites... |
hersen
26/5/2015
a aimé ce texte
Un peu
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" Zut, j'ai oublié d'éteindre la télévision " voilà LA phrase de la nouvelle. Celle qui annonce la fin que nous ne devinons pas encore.
Elle est excellemment bien placée. J'ai eu du mal à m'accrocher. On sent que ce vieil homme est fatigué, mais pour autant, quand il se revoit dans son rêve, jeune, il n'y a guère plus d'enthousiasme. Je crois que mon manque d'intérêt vient de cette léthargie très présente. Bien sûr, il y a une grande nostalgie mais alors il fallait plus la nourrir si elle devait être l'élément essentiel. On attend u peu la Suède tout au long de la nouvelle, mais comme le vieil homme ne la verra pas, c'est logique qu'on reste sur notre faim. Mais il aurait alors fallu une compensation. L'amour fou qu"il a vécu avec sa compagne? Enfin, je n'ai pas été emballée et j'en suis désolée. Merci pour cette lecture. |
Pepito
27/5/2015
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Bonjour Neojamin
Forme : pas mal de morceaux façon "tout et son contraire" "corps lourd affalé" donc immobile et "maladroit". Comment peut-on être immobile et maladroit ? "Ses yeux sont secs." comment voir que l'autre à les yeux secs ? Humides oui, secs, hmmm ? "rejoindre l'hiver"... "pour voir passer l'été" "partir sans dire au revoir sans prévenir" > "sans prévenir" d'abord "sans dire au revoir" ensuite ;=) "malade depuis ses vingt ans... réformé à l'armée" > "comme avant, lorsqu'il partait seul sur les routes, baroudeur de l'infini" là, faut savoir "relique d'un autre temps qui était terré" pourquoi le "qui était" "baskets" plutôt que les "chaussures de randonnée" du placard ? ... Fond : bon, un petit siestou et ça ira mieux. Curieux qu'il n'est pas eu froid avec un paysage d'automne suédois sous le nez. ;=) D'autant que son rêve est bien ancré sur terre, un peu trop peut-être. Bonne continuation. Pepito |
Louis
28/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce texte nous convie à suivre un vieil homme dans un voyage imaginaire.
Deux thèmes sont réunis, celui du voyage et celui de la mort. Il est remarquable que traditionnellement la mort soit évoquée dans le vocabulaire du voyage. Ici les deux thèmes se recoupent, se croisent et se fondent. L’épouse d’un vieil homme est décédée. Sa mort est évoquée avec les mots qui désignent un départ en voyage : « Elle est partie hier. Sans dire au revoir, sans prévenir ». On se souvient des mots du poète ( Haraucourt ) : « Partir, c’est mourir un peu ». Partir et mourir : les deux idées se confondent. Le vieil homme décide à son tour de partir en voyage, avec les mots encore par lesquels on désigne la mort : « Une intuition soudaine. Un dernier voyage… ». C’est un voyage rêvé. C’est le rêve d’une mort qui prend l’aspect d’un voyage. Une injustice : son épouse est partie avant lui, alors qu’il aurait dû partir le premier, lui, souffrant, malade, plus âgé qu’elle ; pour réparer, il désire la rejoindre, partir avec elle, non pas à sa suite, non, mais la devancer, et remettre ainsi les choses en ordre. Ses pas le mènent jusqu’à une gare. Il partira en train. Cette sorte de départ figure la mort dans le monde moderne. Ainsi, dans de nombreux tableaux de ce grand peintre Giorgio de Chirico, marqués par l’angoisse de la mort, un train à vapeur est représenté en arrière-plan, comme dans L’angoissant voyage, L’Enigme du jour, Chant d’amour, l’Incertitude du poète, ou la série des Places d’Italie. C’est un train à vapeur que prend le vieil homme, un train du passé, parce que c’est un train qui voyage aussi dans le temps, qui remonte le cours de la vie. De compartiment en compartiment, il remonte le train de la vie qui roule vers la mort. Dans le premier, apparaît l’image du père. On est bien là dans un autre temps : « malles en cuir d’un autre temps », temps de la naissance, temps de l’enfance ; à travers les vitres, « il croit voir un instant les collines de sa Creuse natale ». Ce compartiment figure les premiers temps de la vie, la première étape de l’existence. Le deuxième figure une autre étape de l’enfance : le temps de l’école. Des « écoliers » occupent ce lieu, en effet, et ce temps marquant, des écoliers moqueurs qui l’affublent de « sobriquets ». Le personnage du vieil homme a subi ces moqueries, il en a souffert. Elles subsistent dans un compartiment de sa mémoire, et sur les rails de ce train, on le raille encore, pour toujours. Le troisième remonte le temps jusqu’à la période de l’adolescence. Il était alors un jeune homme timide, d’une « grandeur maladroite », objet déjà des quolibets infantiles et cruels des écoliers. L’adolescent qu’il fut se trouve placé face à un homme au ton professoral, Jean-Paul Sartre lui-même. L’homme a été marqué par la pensée de l’écrivain philosophe. Des trois livres qu’il a voulu emporter pour « son dernier voyage », l’un était de Sartre ( la Nausée), mais il a fini par lui préférer Camus, son choix s’est porté sur L’étranger. Sartre parle de l’engagement, du chemin de la vie, et de son sens. Il expose certains des grands thèmes de sa pensée : chacun est engagé, en situation non choisie, à partir de laquelle il doit faire des choix libres, des choix de soi-même ; nul n’est déjà tout fait, il faut se faire, « perpétuellement se faire », chacun est sur un chemin, en partance, en voyage vers soi-même, sans s’atteindre jamais. Seule la mort fera de nous une « chose », faite pour toujours. Le vieil homme entend Sartre proférer qu’une vie, c’est fait avec de l’avenir, des possibles à réaliser, alors que lui n’a plus d’avenir, alors que lui est au bout de son existence. Peut-être lui reste-t-il encore un acte à réaliser ? Le vieil homme a préféré Camus, peut-être n’a-t-il pas oublié ce qui est affirmé dans le Mythe de Sisyphe : « Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide ». Le vieil homme ne se reconnaît pas dans cet adolescent disciple de Sartre, « il demeure un instant paralysé devant ce jeune homme qui lui rappelle vaguement quelqu’un » ; de même il ne reconnaît pas cette femme, cette « belle inconnue » qui se trouve dans le dernier compartiment. Elle lui parle pourtant sur un ton familier : « Tu vas où ? demande-t-elle d’un ton trop familier, comme s’ils se connaissaient de longue date, comme s’ils avaient partagé la plus profonde intimité ». Le vieil homme est revenu dans ce temps où il ne connaissait pas encore celle qui allait devenir sa femme. Les mots lui manquent devant elle. Il cherche le B de Bonjour, et ne le trouve pas. Ce B est trop présent dans ce qu’il est à ce moment-là : « brutal ; brusque ; balourd ; baveux ». Il manque de distance par rapport à ce qu’il est pour trouver la lettre. De même, il ne trouve pas la lettre P, parce que trop « paresseux ; ponctuel ; précis ; parfait ». La lettre P pour partir ; pour dire le départ, le voyage pour la rejoindre. Pour dire qu’il est déjà parti, avant elle. Selon l’ordre des choses, l’ordre juste. Encore trop englué dans ce qu’il est, dans ce qu’il fait, et nous ne sommes rien de plus que ce que nous faisons, rien de plus que nos actes, enseignait Sartre, il ne trouve pas les mots pour dire. Il colle trop à soi, et ne trouve pas la distance qui permet la représentation, celle qui ouvre et rend possible la parole. Le livre que lit la belle inconnue, sa future épouse, s’intitule : « En attendant que le train parte », titre même de la nouvelle. Elle l’attend, lui, elle attend que le train le mène jusqu’à elle, elle quand elle sera sa compagne, sa femme, son épouse. Pour être de nouveau réunis, dans la mort. Le voyage aura été immobile ; le vieil homme n’a pas quitté son fauteuil. Il n’a pas quitté les images des paysages suédois où il aurait aimé vivre avec elle, en automne. Là-bas, l’hiver doit être plus supportable, croit-il, et la mort plus douce. Un texte intéressant sur le voyage et la mort. |
Anonyme
28/5/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'adore!
L'ambiance est douce, elle se laisse lire et même vivre. Le fond, profondément humaniste est une bouffée d'optimisme sur la condition humaine, même si l'histoire es plutôt triste et que j'ai été très déçue qu'il se réveille à la fin. Peut-être est-ce voulu, mais j'ai cru pendant une partie du texte que le personnage était mort et que le train était une métaphore de la mort, de son repos après tant de souffrances. Et le réveil est plus un calvaire, j'aurai bien aimé qu'une fois réveillé, il parte vraiment en Suède... Je trouve cependant qu'il y a trop d'évocations de "elle" qui rajoute un côté tragique au récit,alors que l'histoire de cet homme pourrait se suffire à elle-même. Mais dans tous les cas, merci pour cette histoire sublime! |
bigornette
30/5/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Neojamain.
Evidemment, passer après un commentateur tel que Louis, c'est comme essayer de paraître intelligent à côté de Raphaël Enthoven. Je ne vais donc pas en faire une tartine. Sur le fond, l'histoire vaut pour cette phrase, ce constat, cet arrêt : "Il veut suivre l’agent à la chemise blanche comme il a voulu répondre à cette belle inconnue, comme il a voulu tenir tête à son professeur, comme il a voulu vivre, toute son existence. Mais il lui est impossible d’effectuer le moindre mouvement." Un homme qui n'a jamais rien fait, cela valait bien une messe. Par contre, je suis sceptique quant aux choix que vous avez fait pour décrire ce rêve. Je suis d'accord avec Pepito : le récit est trop bien ancré dans la réalité. Des douleurs articulaires ? Rêver qu'on s'endort ? Et, au lieu de souffrir de sa disparition en rêve, ne rêve-t-on pas plutôt de sa compagne ? Si c'est bien un rêve, j'utiliserais la "réalité" du rêve. Avec ses ellipses, sa logique, ses surprises semi-conscientes... J'éviterais la première partie très réaliste, jusqu'au banc. Ou bien je le ferais se réveiller sur le banc justement. Mais ce n'est que mon opinion. Merci. |
CharlesH
30/5/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Écriture fluide, histoire facile à suivre, images claires. Pour ce qui est de la forme je laisse les autres commenter, ils s'en tirent très bien. Par rapport au fond, comme d'autres, certains éléments m'ont dérangé. Le rôle de cette femme mystérieuse au début de l'histoire laisse présager un lien intense qui reviendrait plus tard, mais non, rien. Elle est complètement oubliée, alors pourquoi même la mentionner. Puisqu'elle n'apporte rien à l'histoire, à moins que quelque chose m'échappe, je la retirerais. Sinon la réutiliser peut-être avec une allusion plus claire à la femme dans le wagon, pardon, la voiture, vers la fin de la nouvelle.
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carbona
10/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Une idée de déjà-vu qui, si elle n'est pas traitée de manière particulièrement intéressante peut vite lasser le lecteur. Ce fut mon cas. Peut-être aurais-je été davantage emportée dans les souvenirs/les rêves du personnages s'ils avaient été plus approfondis, plus atypiques, plus marquants. Merci pour votre texte. |
Canuelle
12/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beau texte que ce voyage dans le temps et dans l'espace. Le style est fluide et les jeux sur les allitérations ont su trouver leur juste place. On s'attache à ce vieil homme qui voyage sur place. Belle métaphore.
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