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Anonyme
6/6/2016
a aimé ce texte
Bien
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– Je voulais voir les petits lézards.
– Il n’y a plus de lézards ! Ils sont morts la dernière fois, quand tu as jeté ta petite voiture dans le vivarium ! C'est là que j'ai saisi la situation. J'ai trouvé dans l'ensemble ma lecture divertissante, même si je n'ai vraiment ri qu'ici : – Ben Affleck. Le terroriste. – Vous voulez parler de Ben Laden ? – Merde, je me suis gouré de ligne Théo ! Oui, c’est ça, Ben Laden ! ... et ensuite, au rappel de Ben Affleck qui revendique des attentats. Dieu "Toupussan" en PDG avec un hobby, pourquoi pas ? Ce n'est pas vraiment neuf, mais plaisant. Dans l'ensemble, j'ai trouvé l'histoire plutôt bien menée, certaines trouvailles sont cocasses. Un bémol ici : Théo ouvrit son sac à main et saisit le persuadotron. Glissé au creux de la main, le petit appareil cosmogonique permettait de convaincre instantanément son interlocuteur du bien-fondé de ses propos. Rien que le nom "persuadotron", selon moi, indique la fonction de l'appareil ; la deuxième phrase me paraît superflue. Au final, donc, une histoire agréable à lire pour moi, plutôt enlevée. Que demande le peuple ? |
hersen
16/6/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Pour être franche, je me suis un peu ennuyée à la lecture et je n'ai pas vraiment compris (ceci explique sans doute cela !)
je trouve qu'il y a quand même beaucoup de confusion, c'est une histoire d'espionnage mais je n'ai pas compris les tenants et les aboutissants; Il me semble que les faits ne sont pas clairement expliqués mais peut-être que leur enchainement a créé pour moi cette confusion. je suis désolée; |
jaimme
22/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une histoire très sympa, bien écrite et au rythme adéquat. J'étais dans un délire du niveau de MIB, c'est peu dire. Et j'ai même franchement ri à la référence: "ton fils, ta bataille".
Bravo, beau boulot! L’explication pour le "persuadotron" est de trop, c'est transparent. Peut-être une intervention du Big boss aurait été sympa. Au plaisir! |
Shepard
1/7/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut Ninja,
J'ai lu cette histoire en EL, je me suis douté de l'auteur (comme par hasard, ton retour, une nouvelle de SF peu de temps après...). L'humour est gentil dans l'ensemble, mais tout de même : "Extinction des baleines, le Japon pleure la fin de ses traditions" -> Ça, ça m'a fait rire. Beaucoup plus grinçant. Dommage qu'il n y en ai pas plus ! Ah ensuite je n'ai pu m'empêcher de sourire avec ces deux types portant... Des blouses blanches en cosmo... C'est pour protéger des rayonnements ? =p Je sais que c'est un cliché tenace du scientifique, mais mis à par en chimie ou en médecine on en porte pas vraiment. Bref détail, mais j'ai trouvé ça drôle, d'une certaine façon. Dans les autres détails que je n'ai pas trop compris... Que fait la fille à la fin ? Visiblement l'humanité se trouve dans le vivarium, et l'un des 'scientifiques' s'incarne en tant que Sam, donc comment se retrouve t-elle en dehors du vivarium, dans la dimension X des deux bonhommes ? Ou alors j'ai compris de travers et tout se déroule sur Terre, mais alors pourquoi incarner Sam pour voyager ? (Au vu du pouvoir à disposition des zozos, ça parait superflu, une petite justification dans l'histoire serait peut-être une idée) Mis à part ça l'écriture se lit sans problèmes... Par moment j'ai un peu confondu Al et Theo dans les dialogues, mais je n'étais pas forcément au top de concentration non plus. Dans le fond, un texte qui renvoie au bon vieux "Le dieux s'amusent avec l'humanité", qui serait une explication au bordel ambiant. Je regrette qu'il n y ait pas plus de cynisme mais après tout, c'est un choix d'auteur. Une histoire sympathique et bien réalisée avec ces deux "anges", cosmogonistes un peu foutoir. |
caillouq
1/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien rigolé. Jésus en immigré chicano, le gamin incontrôlable, les deux ingés un peu niaiseux, Ben Affleck puis le retour de Ben Affleck (ça a marché à tous les coups, pour moi), ton fils ta bataille, "nous ne sommes pas cotés en bourse", la madame dans qui papa était, tout (peut-être Barack aurait-il pu être davantage personnalisé ? Je le connais bien, j'aurais pu te filer des tuyaux).
Les indices étaient donnés avec le bon rythme pour que je comprenne au fur et à mesure, avec ce qu'il faut de doute au début. Au point de vue écriture, un sans faute, tout coule de source. Juste un détail : un "sauté au cou" qui devrait être remplacé par un "sauté à la gorge". Ben oui, on saute au cou des gens qu'on aime pour leur faire des gros poutous, et on saute à la gorge des gens qui disent vraiment des grosses conneries, pour les étrangler. Bref, du bon boulot, de la SF comme je l'aime, bien ancrée dans notre réel ! Merci Ninja. |
widjet
1/7/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Deux ans d’attente.
Il est peu de dire que le brigand s’est fait attendre et qu’il était attendu (par moi et par d‘autres notamment certains anciens comme caillouq qui est sortie de sa caverne pour se manifester. Normal, pour les dinosaures comme nous, on sait tout ce qu’un auteur comme Ninjavert a apporté comme plaisir à ses lecteurs - profitez en les nouveaux, ses textes sont encore tous là). Bon, même si mon plaisir de te retrouver est bien réel, objectivement, la nouvelle est clairement en deçà de ce que l’auteur est capable de nous produire. J’étais prévenu, c’est sans prétention. Soit. Maintenant, sincèrement, est-ce que cela m’a diverti, amusé, est-ce que j’ai trouvé ça drôle ? Très moyennement. C’est même assez poussif malgré quelques clins d’oeil et autres références (Monica L., Balavoine, Matrix avec le John que le cinéma US utilise pour n’importe quel agent…). D’ailleurs, l’allusion graveleuse finale fait presque tâche (alors que je suis un grand client du pipi-caca moi) dans cet ensemble très sage, trop sage comme si tu réalisais toi même que tu avais eu la main bien légère tout du long. J’avoue avoir souri pour Ben Alleck. C’est maigre et d’autant frustrant que je n’ose imaginer ce qu’une belle idée (à fort potentiel en matière de délire) comme le persua machin aurait pu charrier comme déferlantes de conneries dans le scénar et les passages dialogués. J'ai aussi, je pense, au vu de l'incipit qui promettait (en tout cas, je l'ai perçu ainsi) une avalanche d'emmerdes provoquées par ce gosse, était mal orienté si j'ose dire. Un peu survendu le postulat de départ non ? Ou peut-être est-ce moi qui me suis monté le bourrichon, ce qui est aussi possible. Alors quoi ? C’était quoi le vrai projet m’sieur Ninj ? Le message, non ? Je me dis que tu étais davantage intéressé sur le message - et la critique - sous jacente (et plus acerbe, ça j’aime assez) que le simple fait de divertir. L’homme est le seul poison, mais aussi le seul remède aux affres et autres malheurs (écologiques, économiques, politiques etc...) du monde. Il est sa victime, son propre bourreau, mais aussi son seul espoir et sauveur. OK, ce n’est pas dit avec finesse, mais c’est un rappel jamais inutile. L’enjeu et la mise en scène est, je pense, assez confuse (pour moi), ça manque de fluidité et de clarté, on suit du coin de l’oeil l’évolution mais franchement ce n’est pas si gênant car encore une fois, on comprend la vue d’ensemble et la morale de l’histoire. Simplement, j’aurais aimé me poiler avant d’arriver à destination. De mon point de vue, ça reste trop verbeux (contrairement aux rebondissements et à l’action presque absents) - et comme déjà dit ce bavardage ne sert hélas pas assez de vecteur comique. (en tout cas pour moi) Alors, déçu, oui, je vais pas te mentir, je le suis. Mais, tellement content que tu sois de retour (et puis je me suis pas vraiment ennuyé). Stp n'attend pas deux piges, ok ? W |
Anonyme
1/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Moi je dis bravo Ninjavert.
Je me suis marré du début à la fin. Je dois dire que ce qui a retenu mon attention au début, c'est cet Albuquerque, qui est Portugais, et dont j'ai la photo de son buste, à Batalhia, suite à quelques péripéties survenu à mon voyage à Lisbonne l'année dernière. Bref, tout le monde s'en fout et vous auriez raison. Quoi dire de cet imbroglio, ou le patron est Dieu, ou bien le prince des ténèbres, tellement il aime que c'est le bordel dans sa chambre. Pourtant ils lui ont bien rangé, même que tout le monde aurait aimé l'avoir, la belle piaule ou on choppe pas de maladies. Et j'ai adoré la fin quand on sait que le gamin n'a touché qu'à un robinet, et c'est à ce moment-là précis finalement, où l'on se rend compte que suite à une broutille, on est capable de retourner la terre entière, car c'est possible si on veut, y a pas besoin de Dieu, mais juste de la bonne volonté de nous, les humains. C'est très bien écrit Ninjavert, et rendre intéressant tout un texte que par des dialogues, car ce sont eux qui font vivre l'histoire que vous racontez, est un exercice périlleux que vous avez parfaitement réussi. Je me suis régalé. Et ce mioche... Ce mioche. Mais qu'y revienne, et foute le boxon dans ce trop conventionnel ou on veut nous faire peur de tout. Merci Ninjavert pour ce superbe moment. |
MissNeko
1/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J ai vraiment passé un très bon moment grâce à ce texte.
J ai aimé l humour qui parsème le récit, l écriture est fluide : on lit comme sur du "velours" si je puis détourner l expression. Quant à l histoire je me suis parfois perdue entre Théo et Al, et j ai tout d abord pensé à la série code quantum ( d où le Sam-antha- beckett). Ce n est que vers la fin que je comprends qui vit dans le vivarium et qui sont les deux "chercheurs ". Merci pour ce moment de lecture : je n aime pas beaucoup la SF mais j ai beaucoup apprécié. Merci. |
vendularge
2/7/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'avais déjà lu ce texte en espace lecture, je ne l'ai pas commenté je savais qu'il allait sortir et je voulais le relire pour affiner un peu le ressenti; Il y a d'ailleurs quelques détails que je n'ai compris qu'en lisant les coms (lézards). J'aime bien l'idée (déjà utilisée) d'un Dieu qui ne fait rien pour nous sortir du chaos et nous observe nous anéantir, prenant quelques notes sans doute pour dessiner les contours d'un monde idéal, plus tard quand nous aurons disparu et que les algues vertes auront pris le contrôle après quelques mutations. C'est drôle, bien écrit, un bon moment de lecture. Je n'y cherche pas de message particulier autre que celui que nous connaissons bien. Les deux affreux sont très humains et assez détachés de ce qui passe vraiment dans le vivarium, un peu comme nous. Merci Vendularge |
Bidis
3/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je n'ai pas cherché la petite bête et avalé tous les indices sans y prêter attention (pas assez futée pour ça). En fait, j'ai lu ce texte à toute allure, emportée par le rythme, le suspense, les trouvailles et la bonne humeur ambiante. Bref, j'ai passé un très bon moment.
La seule chose qui m'a un peu gênée dans l'écriture, ce sont quelques possessifs : "son nez busqué plongé...", par exemple. Ce ne pouvait pas être le nez de quelqu'un d'autre, donc, le possessif m'a paru lourd, mais d'autre part il y avait "busqué". Moi, j'aurais dit : "le nez, qu'il avait long et busqué, plongé etc..." (avec deux adjectifs, ça passe mieux). Je me suis fait la réflexion une seconde fois dans le texte, mais je ne sais plus où. Sinon rien à dire. |
Perle-Hingaud
3/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Hello !
J'ai passé un très bon moment, pas grand chose de constructif à dire... Les dialogues sont enlevés, ça bouge, c'est drôle et bourré de références. J'attends l'explication de "Sam Beckett", pour ma part, plusieurs pistes étant possibles... Bon, l'intrigue n'est pas super originale, on est en territoire connu, mais c'est bien fait et je dis : OUI ! :) |
Jean_Meneault
4/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une jolie histoire, dramatique et complexe tout autant que légère et insignifiante; tout comme celle de l'humanité.
J'aime la permanente distanciation des choses, instaurée par votre humour. Il s'agissait bien là du thème pour le faire et vous nous promenez ainsi dans notre Monde en générant chez nous rires et interrogations. Dénonciations? Simple recul? Histoire drôle (avec le chic de terminer sur une blague d'une lourdeur assumée, je dis bravo, il faut s'autoriser contrastes et jeux avec le lecteur!)? Assurément tout cela à la fois, dans ce flou du tout et rien, du message-aucun message propres à nombre de belles oeuvres. Alors: merci! |
Robot
5/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime la fiction, surtout quand il se glisse un peu d'anticipation.
Je vais peut-être vous étonner Ninjavert, mais après avoir lu, et relu pour m'imprégner des scènes, j'ai trouvé que vos dialogues étaient jouables, que ça ferait un bon court-métrage. Ben oui, pourquoi un superbe écrit avec ses qualités littéraires ne pourrait-il pas être aussi un bon synopsis ? Vrai, ce que j'ai apprécié c'est cet humour un peu loufoque qu'il faut prendre au sérieux. |
Anonyme
5/7/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une histoire rigolote bien servie par une écriture agréable à parcourir. L'idée est vraiment sympa, surtout le retournement de situation à la fin où l'on se rend compte que le gamin n'est pas à l'origine de la pagaille.
Bon, il y a bien quelques facilités de scénario mais on pardonne, ce n'est pas du sérieux. Par exemple ce providentiel « persuadotron » qui aplanit toute difficulté, rend la tâche particulièrement aisée à nos deux acolytes. Car fichtre, assagir l'humanité ne serait pas une mince affaire en réalité ! (Pas compris la présence de Samantha à la fin, faut que j'aille lire tes explications.) |
Pouet
20/7/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bjr,
J'ai été relativement facilement happé par cette nouvelle, notamment parce qu'elle est basée en grande partie sur des dialogues ce qui rend la lecture plus aisée pour un fainéant comme moi. Alors bon je ne suis pas certain d'avoir tout compris, n'ai pas lu les commentaires précédents ni d'éventuels explications de l'auteur alors bon que celui-ci soit indulgent avec mon maigrelet cervelet... :) Pour moi donc on est dans le bureau de Dieu, le fameux Toupussan, le vivarium étant le Monde... Jusque là j'ai bon? Albuquerque et Théo, des sortes d'archanges pitêtre, Raoul quant à lui, je ne sais pas trop. D'autant plus que si les anges n'ont pas de sexe, ils doivent avoir du mal à avoir un fils.. Pis ce petit Raoul qui met le foutoir (enfin non en fait...Ouf... mais non pas ouf en fait puis si...) dans le Grand Plan du Patron, il a un sacré rôle mais je n'arrive pas à le personnifier en terme "religieux", bref. Sinon le truc que je n'ai pas vraiment capté c'est quand Théo prend possession du corps de cette Samantha Beckett (une référence à l'auteur irlandais?) qui, apparemment ne connait pas le président des USA, donc pourquoi ne pas se glisser dans le corps d'un de ses proches? Je trouve de plus qu'il est assez facile finalement de tailler une bavette avec le résident de la Maison Blanche... Mais j'essaie de rationaliser quelque chose qui n'a pas lieu d'être probablement. Les traits d'humour ne m'ont pas fait forcément vider ma vessie sur mon canapé, "Jésus ressuscité" et encore plus "Ton fils ta bataille"... Hummmmm mouais... La dernière phrase aussi, bien lourdaude, n'apporte pas grand chose, dessert la nouvelle même à mon sens. J'ai souri pour Ben Affleck en revanche. Quant au fond donc, un Dieu cynique qui aime jouer à l'apprenti sorcier, rien de bien innovant mais bon cela reste sympathique si je puis dire. Un texte que j'ai lu sans déplaisir malgré la relative longueur (pour moi) même si je ne pense pas en avoir saisi toutes les subtilités. C'est bien là le principal, lire sans déplaisir, pas ne pas avoir tout saisi... :) Cordialement |
Raoul
12/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je choisis toujours mes lectures nouvelles au hasard et au nez, en général, c'est pas mal…
Là, je me suis laissé entraîné avec plaisir par le décousu apparent, la fluidité des dialogues, le saugrenu en touches qui émaille ce récit utopicogéopolitique. Les personnages sont attachants bien qu'ils n'aient que peu d'aspérités - ou de ventouses -, ils parviennent à être mieux que des silhouettes par les "descriptions" vives, saisies d'un carnet de croquis. Visuellement j'ai localisé les événement du côté de M.I.B. (oui, mes ref. dans ce genre est très limitées). Ça dé-tricote - et ça brode - sur ze grand complot mondiale des forces du mal supplanté par l'artisanat de deux marmousets plombiers obscures - pas stagiaires chez sanofi mais presque - : ça c'est réjouissant ! Très distrayante lecture de bonne facture qui plus est. & merci au grain de sable qu'est Raoul (quel beau prénom !) pour sa participation aux effets bénéfiques. ;-) P.S. voir diff. de sens entre [sauter au cou] et [sauter à la gorge]. |
aldenor
28/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une idée énorme traitée avec humour et légèreté.
J’ai moins aimé les passages avec le président américain, mais dans l’ensemble le développement est harmonieux et riche en trouvailles et en rebondissements. Et le chaos expérimental de la conclusion a même des relents philosophiques... Au niveau de la clarté, il m’a fallu une certaine dose de concentration pour m’y retrouver, mais bon, la trame est complexe. En particulier, je n’ai pas bien compris de qui émanaient les dialogues en italiques. S’il s’agit d’un nouveau personnage, il me semble qu’il faudrait l’introduire. |