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Asrya
22/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Simple, tendre, musical ; un court texte qui résume un amour "impossible" à cause d'une vocation.
L'écrit est délicat, la plume est agile, elle fait mouche. Les mots sont tendres, sonnent, résonnent, on écoute, on lit, on voit, on ressent presque. C'est un beau texte, pour lequel... il n'y aura pas grand chose à dire (pour ma part en tout cas). C'était un beau moment, Merci pour le partage (souvenir ?) Au plaisir de vous lire à nouveau, Asrya. |
Alexan
26/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cette nouvelle a eu le don de me rappeler les plus beaux souvenirs estivaux de mon adolescence. Quand tout ce qui est nouveaux semble magique. La joie qu’offre l’espoir d’une amourette que l’on croyait inaccessible. Et tout le merveilleux de l’éphémère.
« j’ai pu tenir ta main, effleurer tes hanches, m’enivrer du creux de ton cou et du parfum des mèches blondes qui balayaient ton visage et virevoltaient à chaque pas de danse. » Tout cela est magnifiquement raconté. Une écriture pleine de poésie, des images splendides avec un gout de merveilleux, et une fin très émouvante. |
Tadiou
31/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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(Lu et commenté en EL)
Des mots très bien choisis, des phrases tout en poésie. un bon rythme. La poésie rejoint le banal des ficelles et de l'arthrose : tant pis....ou dommage. Ça oscille entre le noir banal du quotidien et l'élévation d'une transcendance. On reste à la superficie, on ne sait rien des raisons de l'interruption des échanges. Et l'espoir se fait rare : choix de l'auteur(e). Moment d'émotion. Tadiou |
placebo
19/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Joli texte, bien écrit. Rimbaud est très à sa place.
Un peu sceptique pour les retrouvailles dans le journal local alors qu'il l'a cherchée là-bas. Bon, c'est après coup, car pendant la lecture ça ne pose pas de problème. Bonne continuation, placebo |
plumette
19/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Nino,
les amours d'adolescence laissent une trace indélébile surtout si elles n'ont pas pu se vivre pleinement. c'est sûr que vous nous parlez d'un autre temps, sans internet, ni les réseaux sociaux de tous poils qui permettent de renouer avec des copains perdus de vue à l'entrée dans l'âge adulte! L'évocation des émois du narrateur, de la fête foraine et des difficultés déjouées est ce qui m'a plu. J'ai moins aimé que le narrateur soit dans une telle amertume en découvrant que son amoureuse d'il y a 45 ans est morte. N'a-t-il pas vécu lui depuis toutes ces années? Ne pourrait-il pas simplement s'attendrir sur ce doux passé et se souvenir simplement sans cette déchirure? un moment d'agréable lecture toutefois. Plumette |
Marite
19/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Que dire ... j'ai terminé cette lecture avec la gorge serrée et les larmes aux yeux. Tant et tant de souvenirs inachevés hantent ainsi les mémoires au crépuscule de la vie. Ici, il est conté simplement, avec réalisme, délicatesse et élégance dans l'expression.
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Anonyme
19/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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J'adore ce genre de récit. Court, simple délié. Un aquarelle qui résume 50 ans de vie. Un quart de réalité, un quart de fiction et trois quart d'humour tout en finesse.
Bravo |
in-flight
20/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Le souvenir d'un amour traité en condensé poétique.
Ce qu'il y a de très surprenant dans ce texte c'est qu'on peut le lire dans les deux sens, c'est à dire commencer par la fin(le poème), puis l'annonce de la mort, puis le souvenir et enfin terminer par le premier paragraphe. Voulu ou inopiné? |
Anonyme
20/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir nino... Merci pour ce texte si court mais si beau au point de m'avoir beaucoup ému. Nous avons tous, hommes vieillissants, dans le cœur une Valentine que l'on n'a jamais oubliée et qui resurgit le plus souvent quand se dessine l'automne de la vie.
Votre histoire m'a ramené très loin en arrière... Vous avez une très belle plume, une écriture qui va à l'essentiel et je lirai avec plaisir vos productions prochaines. Bonne soirée et encore merci |
vb
21/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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(Lu et commenté en EL; retard dû à un problème technique))
Bonjour, j'ai trouvé ce texte mélancolique empli d'une fort belle poésie, qui le place avec -je trouve- assez de succès à l'espace frontière à la limite de la prose. Ce qui m'a cependant manqué c'est explication du pourquoi de la rupture de cette histoire d'amour. "Puis un jour, plus rien, plus de réponses à mes lettres enflammées, plus de projets et bientôt plus d’espoir..." Pourquoi? Le narrateur devrait s'en douter, se poser des question, donner quelques pistes au lecteur, mais non, fataliste, il s'embarque sur "des bateaux bien gros, parés pour la haute mer et qui partaient longtemps." (J'ai beaucoup aimé cette phrase!) |
Anonyme
27/11/2017
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Autant le dire tout de suite, j’aime beaucoup. Il n’y a qu’au début que j’ai tiqué sur la toile tendue de bleu pour désigner le ciel. Ça me semble de la fausse poésie.
Seconde remarque : vous semblez brouillé/e avec les virgules. Il vous en manque plein. En tout cas, si vous mettez la première, il ne faut pas oublier la seconde, comme ici : (' bout du compte’ devrait être encadré) « même celle des employeurs et tout cela, au bout du compte avait mis un peu de sel dans nos vies » Dans la phrase suivante, l’absence de virgule nuit carrément à la compréhension : « À femme de marin la vie de chagrin ressassait ton père, …» Sérieux, on bute dessus en se demandant pourquoi donc une vie de chagrin ressasserait-elle le père… Une faute ici : « À femme de marin la vie de chagrin ressassait ton père, apprenant ma vocation, interdisant nos rencontres et qui de ce sinistre adage en fît une antienne. » -> fît est un passe simple donc pas de chapeau il me semble. + Le ‘en’ vient doubler inutilement le ‘siniste adage’ Voilà, sinon c’est court, c’est bon, j’aime bien. |
Papillon26
7/12/2017
a aimé ce texte
Bien
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Un amour de jeunesse bien décrit avec poésie.
J'aurais aimé entrevoir le pourquoi du silence soudain de Valentine... Peut-être son père, un nouvel amour ? Triste fin. |
moschen
24/12/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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La force de ce récit tient dans l'usage de la première personne. Au delà, il y a ce tutoiement obsessionnel qui désigne l'objet de sa douleur. Le personnage principal a vécu de manière égoïste la vie qu'il souhaitait avoir et à l'heure de la mort et de la solitude, il ne peut que s'en prendre à lui-même. Le monologue qu'il tient devant le miroir le renvoie à ses choix et il est grand temps d'en assumer les conséquences.
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