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xuanvincent
28/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Cette histoire m'a touchée. J'ai surtout apprécié la deuxième partie du récit, le face à face sur le plateau télévisé entre le vieil homme encore épris de son amour de jeunesse et cette femme âgée qui se demande ce qu'elle fait là.
Une illustration d'un amour qui perdure dans le temps, hors de la vue de la personne aimée. Egalement de ces émissions télévisées qui font partager au télespectateur une tranche de vie de parfaits inconnus. PS : Je n'ai pas tout de suite vu que le vieil homme arrivait sur un plateau de télévision. |
Anonyme
29/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai aimé cette nouvelle toute en finesse et humour
Apprécié les divers surnoms du présentateur télé comme "une cerise sur un steak tartare" Tout ceci écrit avec légèreté cache un propos plus important qu'il n'y parait La différence de perception des deux personnages Et je trouve sublime que Jean recommence à chercher SA Rose à la fin... |
aldenor
31/12/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Je trouve que c’est bien écrit. Pas toujours percutant, mais coulant, soigné et en somme, un style assez personnel. Sur le fond, ça oscille entre réalisme et romantisme et la fin me laisse un peu perplexe.
PS: à la relecture, je suis encore plus sensible à la finesse de l’écriture. La fin me laisse cependant toujours perplexe : ce n’était donc pas vraiment Rose dans le programme télévisé ? |
Flupke
2/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Nobello.
J’aime beaucoup le style, mature, fluide, certaines bonnes trouvailles, la cerise sur le steak tartare, le poudré lyrique, les huées (évidemment qu’elle a changé !), la franche rigolade sur les mass-merdia pendant la deuxième partie. Par contre la fin n’est pas très claire pour moi. J’aurais préféré quelque chose de davantage tranché de moins cryptique. Ai-je raté quelque chose ? Merci d’éclairer ma lanterne (tiens donc, quelle drôle d’expression quand on y pense). Amicalement, Flupke |
Nobello
5/1/2009
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Un lien pour les questions en suspens, et mes excuses de néophyte...
http://www.oniris.be/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=5237&forum=6&post_id=58257#forumpost58257 |
guanaco
4/1/2009
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Une bien belle histoire.
La quête d'un idéal chamboulée ou réduite à néant soit par la guerre, soit par une télé réalité abrutissante et voyeuriste. L'une ne vaut pas mieux que l'autre (2 créations de l'Homme soit dit en passant!). Une jolie chute malgré tout pleine d'optimisme pour l'Humanité: les rêves continuent d'exister! Mais plus que tout dans cette histoire, c'est l'écriture et le style qui m'ont transporté. Un vocabulaire varié, recherché mais pas trop. Merci pour ce texte. Guanaco |
melonels
14/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est bien la première fois sur ce site qu'on me tire une larme...L'amour au delà du temps quoi de plus beau.
La fin moi je me la refais en pensant qu'elle sait très bien qui est derrière ce rideau, qu'elle préfère se noircir plutôt que de lui laisser quelque espoir. C'est beau, c'est juste beau cette histoire. Je n'ai qu'un regret, c'est que ce ne soit qu'une nouvelle, un tel sujet aurait pu faire un superbe roman, d'autant que les qualités de l'auteur sont indégnables. Merci et Bravo! |
widjet
26/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une facilité dans l’écriture, un style singulier, un langage précieux. Vrai pour tout ça. Pourtant, j’ai peiné à la lecture. Trop chargé pour moi, ça n’a pas coulé aussi facilement.
J’aurai préféré une forme plus simple, moins empesée pour cette histoire d’amour à travers le temps. Ca m’a rendu la lecture confuse (notamment le passage Quand la guerre, repue, avait fini par lâcher prise jusqu’à le fruit des promesses déchues . Autre exemple, cette phrase interminable au point qu’elle devient incompréhensible Il peine à admettre que cette silhouette lourde de plus que des années nombreuses lui rappelle bien peu l’image polie, magnifiée par plus d’un demi-siècle d’indulgence obligée, qu’il n’avait pas oublié de passer aux pastels de l’âge mais qui avait gardé un peu de ce qu’il cherche en vain sur l’arrivante Il y a de l’humour, c’est vrai, mais je le trouve déplacé compte tenu de la nature du récit. Ce parti pris, osé et audacieux, ne m’a pas convaincu ( Comme une cerise sur un steak tartare ou le peu flatteur telle une sorte de prime à la ténacité ). J’ai noté quelques autres maladresses sans fâcheuses conséquences. Mais je reconnais une patte chez Nobello et je vais lire ces deux autres récits car, une chose est sûre : l’auteur a dit des choses à dire. Et ça, j’aime. Widjet |
Anonyme
26/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne suis pas tellement d'accord avec le début de l'histoire qui contrebalance ou "brouille" le milieu et la fin.
Jean aurait pu la retrouver. Ce ne devait pas être si difficile. Il en savait assez pour remonter la piste. L'obsession est peut-être ailleurs. Dans ce qu'elle a été contrainte de faire alors que probablement, il n'était pas responsable de cet "incident". Je crois que c'est ça, enfin, moi je veux croire que l'obsession est née de là, de cette culpabilité. De toute façon c'est très bien comme ça : elle ne méritait pas cet amour là, elle ne l'aurait pas compris et il aurait été malheureux. C'est tout ça qui "brouille" mon appréciation concernant la fin : soulagement réel de Jean certes mais, toujours, enfin peut-être, pas pour ce que l'on croit. Dans cette histoire une seule personne est vraiment à plaindre : Germaine. Elle s'est contentée de miettes, alors qu'elle aurait pu tout avoir si Jean avait cherché. Vraiment cherché. Mitigée je suis. Elle est forte cette nouvelle et aussi bien écrite, bien que quelques tournures de phrases m'aient été moins faciles, moins, limpides. J'ai aimé la recherche de l'auteur, le soin, visible, qu'il a mis à écrire cette nouvelle. Je la trouve belle mais moins réussie que "Il faut marcher droit". Mais ça ne change pas d'un iota ce que je ressens à la lecture des textes de l'auteur que je viens de découvrir et que je n'oublierai plus. |
Menvussa
22/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est vrai qu'il peuvent en faire du mal avec ces émissions qui sous couvert d'humanité ne visent que l'audimat.
Fort bien écrit, ça devient une constante. |